Catégorie : Crédits

  • Rachat crédit immobilier

    Rachat crédit immobilier

    Pourquoi c’est le moment de demander un rachat de crédit immobilier ?

    Le rachat de crédit immobilier a été mis en place pour convenir aux besoins des emprunteurs qui ont contracté un ou plusieurs prêts. Cela consiste à renégocier les crédits et à les regrouper pour bénéficier d’un seul et unique taux de remboursement. Le but principal est de trouver un meilleur taux ou de diminuer le montant des mensualités, ou encore les deux en même temps.

    Depuis plusieurs mois, les taux immobiliers ne cessent de chuter. En ce moment, on enregistre même les taux les plus bas de ces dernières années. C’est pourquoi de plus en plus d’emprunteurs se tournent vers le rachat de crédit immobilier en vue d’obtenir un coût global de prêt diminué.

    En effet, c’est le bon moment pour faire appel à un courtier immobilier comme Presta Finance. Un professionnel peut vous accompagner dans votre démarche et faire jouer ses connaissances du secteur pour négocier au mieux les taux. Il met en concurrence son réseau de partenaires bancaires, ainsi que leurs offres de regroupement de crédit pour vous proposer la solution la plus adaptée.

    Si vous souhaitez en savoir davantage sur le rachat de crédit immobilier, n’hésitez pas à nous contacter.

  • Prêt à taux fixe modulable

    Prêt à taux fixe modulable

    Quels sont les avantages d’un prêt à taux fixe modulable ?

    Un prêt à taux fixe modulable est comme son nom l’indique un crédit dont le taux d’intérêt est figé pendant toute la durée du remboursement mais dont les mensualités peuvent être réduites ou augmentées selon les circonstances. C’est l’un des types de prêt les plus sollicités pour un crédit immobilier, car il offre une grande souplesse.

    En effet, il est ainsi possible d’ajuster les remboursements en fonction des revenus du foyer. Par exemple en cas de besoin ou de dépenses imprévues, le bénéficiaire peut baisser ses mensualités. La durée totale du prêt s’ajuste quant à elle par rapport à la somme initiale à rembourser. Sous certaines conditions et selon le contrat, il est même possible de suspendre les mensualités pendant un certain temps.

    Par conséquent, en augmentant la valeur des remboursements, la durée du crédit sera diminuée. Vous avez l’occasion de réaliser des économies en bénéficiant de cette solution qui vous offre la possibilité de raccourcir le prêt. Selon les établissements bancaires, la hausse des mensualités est soumise à un plafonnement et peut varier de 10% à 30%.

    Le prêt à taux fixe modulable vous offre ainsi une marge de manœuvre en faisant évoluer votre prêt en fonction de votre situation. Le taux inchangé vous évite quant à lui les mauvaises surprises.

  • PRET A TAUX ZERO 2016 : LES NOUVELLES CONDITIONS

    PRET A TAUX ZERO 2016 : LES NOUVELLES CONDITIONS

    Depuis le 1er janvier 2016, le Prêt à Taux Zéro est renforcé et assoupli afin de soutenir l’accession à la propriété. Il va bénéficier à plus de ménages et est étendu aux logements anciens sous condition de travaux.
    Pour rappel, le PTZ s’adresse aux personnes souhaitant acquérir leur première résidence principale dans le neuf ou l’ancien (sous conditions).

    Le nouveau PTZ 2016 permet d’assurer :

    Le financement de 40 % (plafonné) de l’achat d’un logement neuf ou ancien
    Montant maximum du PTZ
    Nbr de personnes occupant le logement
    Zone A
    Zone B1
    Zone B2
    Zone C
    1
    60 000
    35 100
    44 000
    40 000
    2
    84 000
    75 600
    61 600
    56 000
    3
    102 000
    92 000
    74 800
    68 000
    4
    120 000
    108 000
    88 000
    80 000
    5 et plus
    138 000
    124 400
    101 200
    92 000
    Par exemple : pour un ménage avec 2 enfants qui achète un logement neuf dans la zone B2, le montant maximum du PTZ est de :
    60 000 € (soit 150 000 € x 40 %) si le coût de l’opération est de 150 000 €,
    88 000 € (soit 220 000 € x 40 %) si le coût de l’opération est égal ou supérieur à 220 000 €.

    L’accès à un plus grand nombre de ménages à ce dispositif avec l’augmentation des plafonds de revenus pris en compte.
    Les nouveaux plafonds de revenu (à partir du 1er janvier 2016) (revenu fiscal de référence)
    Nbr de personnes occupant le logement
    Zone A
    Zone B1
    Zone B2
    Zone C
    1
    37 000 €
    30 000 €
    27 000 €
    24 000 €
    2
    51 800 €
    42 000 €
    37 800 €
    33 600 €
    3
    62 900 €
    51 000 €
    45 900 €
    40 800 €
    4
    74 000 €
    60 000 €
    54 000 €
    48 000 €
    5
    85 100 €
    69 000 €
    62 100 €
    55 200 €
    6
    96 200 €
    78 000 €
    70 200 €
    62 400 €
    7
    107 300 €
    87 000 €
    78 300 €
    69 600 €
    A partir de 8
    118 400 €
    96 000 €
    86 400 €
    76 800 €
    A noter : le zonage A/B/C du territoire est établi en fonction de la tension du marché immobilier local :
    Zone A bis : comprend Paris et 29 communes de la petite couronne ;
    Zone A : comprend la partie agglomérée de l’Île-de-France, la Côte d’Azur et la partie française de l’agglomération genevoise ;
    Zone B1 : comprend les agglomérations de plus de 250.000 habitants, la grande couronne parisienne, quelques villes chères comme Annecy, Bayonne, Cluses, Chambéry, Saint-Malo ou La Rochelle, les départements d’Outre-Mer, la Corse et les autres îles non reliées au continent ;
    Zone B2 : comprend les autres communes de plus de 50 000 habitants et les franges de zone B1 ;
    Zone C : reste du territoire.

    La possibilité pour les ménages de commencer leur remboursement du PTZ dans un délai différé de 5, 10 ou 15 ans (en fonction des revenus).

    L’allongement de la durée du prêt sur 20 ans minimum afin de réduire le montant des mensualités.

    Le PTZ n’est plus limité à l’immobilier neuf : Ce PTZ dans l’ancien est subordonné à la réalisation d’importants travaux de rénovation qui doivent représenter au moins 25% du prix d’achat du bien.

    Auparavant, le logement devait être utilisé comme résidence principale jusqu’au remboursement complet du prêt. Aujourd’hui, le logement doit rester la résidence principale seulement 6 ans après le versement initial du prêt. Au-delà, le propriétaire est libre de louer !
    Par ailleurs, si un déménagement est justifié par un motif légitime prévu par la loi, comme une mutation professionnelle ou un divorce, le logement peut être mis en location avant la fin de ce délai de 6 ans.

  • Les taux de crédit rendent le contexte idéal pour l’achat immobilier

    Les taux de crédit rendent le contexte idéal pour l’achat immobilier

    En cette rentrée 2015, le contexte est idéal pour acheter, notamment si l’on tient compte des taux de crédit immobilier qui n’ont toujours pas remonté, et ne dépassent pas les 3 %.

    Des taux d’emprunt qui se maintiennent à des niveaux très bas
    Cela fait plusieurs mois que vous ne cessez de l’entendre : les taux d’intérêt se maintiennent à des niveaux historiquement bas et rendent le contexte propice aux achats immobiliers. Si l’on a pu relever une légère hausse en début d’été, de l’ordre de 0,20 %, l’attractivité des taux n’en est pas affectée dans l’absolu, étant donné que cette hausse infime n’a touché que les taux qui avaient atteint des niveaux historiques.

    D’autres facteurs peuvent vous inciter à acheter un bien immobilier
    Si les taux d’emprunt suscitent votre attention, d’autres paramètres rendent cette période de rentrée 2015 favorable à l’achat immobilier. Vous pouvez en effet compter sur des prix qui stagnent voire qui tendent à diminuer partout en France, quelle que soit la taille de la ville où vous souhaitez acheter.
    De plus, les banques accordent toujours des prêts immobiliers, ce qui leur permet d’attirer de nouveaux clients. Cependant, elles n’acceptent que les dossiers relativement solides, et n’accordent de prêts qu’aux emprunteurs qui présentent un dossier modèle. Le profil-type de l’emprunteur modèle n’a en réalité pas évolué : les banques accordent leur confiance aux emprunteurs bénéficiant d’un CDI depuis plus d’un an, dont les revenus sont stables et le taux d’endettement raisonnable. L’octroi de prêts à 110 % (comprenant les frais de notaire) se fait quant à lui, bien plus rare.
    Bon à savoir
    Vous devez compter sur des délais de traitement des dossiers rallongés, les banques devant à présent faire face à une multitude de demandes de négociation des taux d’intérêt. Prévoyez 70 jours, au lieu de 35 jours en moyenne auparavant.

  • Lyon : la hausse des taux de crédit immobilier se poursuit

    Lyon : la hausse des taux de crédit immobilier se poursuit

    Selon une étude de l’observatoire Crédit Logement/CSA, les taux de prêts à l’habitat ont atteint 2,06% en moyenne en juillet, contre 2,01% en juin.
    Ce mouvement est suscité par la remontée des taux auxquels l’Etat s’endette à 10 ans (OAT), qui sont passés d’environ 0,47?% début avril à 1,00?% début juillet et qui influent sur le coût des ressources nécessaires au refinancement des crédits. Il ne présage pas pourtant de la fin de l’ère des taux bas. La hausse des taux devrait rester «?lente et modérée?» au cours des prochains mois, estime en effet l’observatoire de Crédit Logement/CSA. Dans les grilles tarifaires bancaires que nous avons reçues pour le mois d’août, la hausse des taux des prêts à l’habitat reste contenue entre 0,1 et 0,15 point. Les politiques tarifaires devraient rester attractives à la rentrée, car les acteurs ne veulent pas prendre le risque de perdre de parts de marché, alors que le mois de septembre est traditionnellement très dynamique.

    Les taux ont poursuivi leur progression en région Rhône-Alpes et à Lyon
    Les hausses de taux se sont poursuivies en août en Rhône-Alpes et à Lyon. En cours de semaine dernière, nous avons pu remarquer de nouvelles hausses comprises entre 0,05% et 0,20% avaient été enregistrées selon les villes au début du mois d’août, mais que ces hausses étaient intervenues en tout début de mois, sans qu’il en ai eu depuis.
    Lyon reste 8ème en termes de pouvoir d’achat immobilier, juste devant Nice, et Paris. Pour 1000 euros par mois, il est ainsi possible d’acheter 53 m² (contre 51 m² à Nice et 23 à Paris).

    Délais importants
    Au-delà de l’augmentation des taux, les banques sont plus sélectives et affinent leurs critères car l’année est quasiment terminée pour elles. Pour les emprunteurs, il est plus nécessaire que jamais de bien choisir leur banque pour bénéficier des meilleures conditions de taux mais aussi d’un délai convenable pour voir aboutir leur projet. Les ménages doivent en effet toujours intégrer dans leur projet un délai de traitement plus important de la part des établissements bancaires. Le mois d’août, traditionnellement ralenti, n’a en cela pas changé une situation déjà tendue depuis quelques mois. Le risque lié étant que certains dossiers n’aboutissent pas, du fait du non-respect des conditions suspensives prévues dans les compromis de vente.

  • LE GOUVERNEMENT SIMPLIFIE LES TRANSACTIONS IMMOBILIERES

    LE GOUVERNEMENT SIMPLIFIE LES TRANSACTIONS IMMOBILIERES

    C’est un nouveau coup de canif donné à la loi ALUR (pour l’Accès au Logement et Urbanisme Rénové). Une ordonnance du gouvernement visant à simplifier les transactions immobilières concernant des biens en copropriété a été présentée mercredi 26 août en conseil des ministres.
    Objectif : amender une disposition de la loi ALUR prévoyant que les acheteurs de biens immobiliers en copropriété doivent se voir remettre une série de documents dès la promesse de vente. Une mesure louable car elle renforce leur protection, mais qui rallonge la durée des transactions et avait provoqué un tollé chez les professionnels de l’immobilier.
    L’ordonnance prévoir que « les éléments d’information et documents requis ne devront plus désormais être obligatoirement annexés à la promesse de vente, mais pourront être remis à l’acquéreur en amont de la signature de la promesse, et transmis sur tout support et tout moyen, y compris sous forme dématérialisée ».

    « Relancer ce secteur »
    Surtout, elle permettra « de cibler les informations financières de la copropriété sur les seuls éléments utiles pour l’acquéreur et de simplifier l’établissement des éléments nécessaires à cette information ». Un arrêté précisera le contenu de ces informations.
    Dernier point, le texte précise que l’information à transmettre sera adaptée en fonction de la situation de l’acquéreur ou du lot : « par exemple, elle supprime l’obligation de transmettre des informations sur la copropriété dans le cas où l’acquéreur est déjà copropriétaire d’un autre lot. De plus, les documents exigibles en cas de vente de lots secondaires tels que les caves, parking, etc., sont désormais allégés pour cibler les plus pertinents ».
    Cette ordonnance « s’inscrit dans une démarche de simplification du droit applicable au marché immobilier, afin de le rendre plus fluide, plus efficace et plus simple pour les Français, et de redonner de la confiance aux acteurs, indispensable pour relancer ce secteur », souligne le ministère du logement dans un communiqué.

  • Assurance de prêt immobilier : Deux très bonnes nouvelles pour les emprunteurs

    Assurance de prêt immobilier : Deux très bonnes nouvelles pour les emprunteurs

    L’assurance de prêt immobilier représente une manne financière de plus de 5,7 milliards d’euros de primes par an générant 2.2 milliards de marges (40%). Ce marché est capté à 85 % par les banques. Les 15 % restant sont distribués par les assureurs et les courtiers en crédits habilités. (source : Observatoire BAO de l’assurance emprunteur). Il s’agit donc d’un enjeu financier important pour les établissements en quasi position de monopole.

    Depuis juillet 2014 (Loi Hamon), les emprunteurs peuvent résilier leur contrat d’assurance de prêt dans le délai de 12 mois à compter de sa souscription. Cependant, jusqu’alors la banque qui bénéficie de cette garantie pouvait s’y opposer si elle estimait que le nouveau contrat n’apportait pas un niveau de garanties suffisant. Cette situation a naturellement donné naissance à de nombreux conflits qui ont rarement profité aux emprunteurs.
    Il faut dire que pour l’emprunteur l’enjeu financier est de taille puisqu’à garantie équivalente l’assurance de prêt peut représenter jusqu’à 40 % du coût total du crédit.
    Par exemple, pour un crédit de 200 000 € sur 20 ans, le taux d’assurance varie de 0,10 % à 0,40 % selon le contrat souscrit et le profil. Il s’agit donc d’un coût qui peut varier de 5 000 € à 15 000 €, soit du simple au triple !
    Saisi de ce dossier conflictuel par le Ministre des Finance Michel Sapin, le Comité consultatif du secteur financier (CCSF) constitué d’experts du secteur (assureurs, banquiers, courtiers, associations de consommateurs…), a adopté fin janvier 2015 deux règles de transparence exigibles des établissements de crédits.

    Premier volet de transparence : Désormais, depuis le 1er mai 2015, les banques sont tenues de justifier les raisons précises d’un refus de délégation d’assurance. L’arbitrage devra être fait sur la comparaison avec une liste de 18 garanties minimales arrêtées par le CCSF.
    C’est une excellente nouvelle. Avec cette disposition règlementaire, les banques ne pourront plus invoquer des défauts d’équivalence de garantie pour refuser les résiliations.
    C’est une avancée considérable qui profite directement à l’emprunteur lequel bénéficiera d’un nouveau contrat offrant les mêmes garanties pour un coût moindre.
    Deuxième volet de transparence : A compter du 1er octobre 2015, chaque établissement de crédits indiquera, dans une fiche standardisée, ses exigences en matière d’assurance de prêt. Dans cette configuration, l’emprunteur pourra s’appuyer sur un document invariant pour négocier une offre présentant les mêmes garanties mais moins chère.
    Sans aucun doute, ces nouvelles mesures sont de nature à libérer le marché de la distribution de l’assurance de prêt. En outre, ce développement d’une plus libre concurrence entre tous les intervenants devrait avoir pour conséquence une baisse des niveaux de primes.
    UFC-Que Choisir l’a également bien compris et indiquait dans une étude d’août 2013 : « Seule l’intervention des courtiers en crédit, disposant d’un pouvoir de négociation avec les banques, semble faciliter la souscription d’une assurance emprunteur déléguée ».

    Source : http://www.lavieimmo.com

  • PRET IMMOBILIER : POURQUOI LES TAUX ARRETENT DE BAISSER ?

    PRET IMMOBILIER : POURQUOI LES TAUX ARRETENT DE BAISSER ?

    De plus en plus d’organismes prêteurs commencent à remonter leurs tarifs. Faut-il s’en inquiéter lorsqu’on est acheteur ? Les hausses de taux de prêts immobiliers sont comprises entre 0,1 et 0,3 point en moyenne. Après presque deux ans de baisse sans interruption, le retournement de tendance en a surpris plus d’un.

    Comment expliquer cette hausse ?
    Plusieurs facteurs contribuent à faire progresser les taux. Le premier, c’est le retour de l’activité. La France a connu une progression de son PIB de 0,6% au premier trimestre, selon les données de l’INSEE. Certes, l’investissement des ménages est toujours en baisse de 1,4% par rapport au dernier trimestre 2014. Mais le redémarrage de l’économie commence à dégripper le secteur. La confiance des ménages a beaucoup progressé en début d’année, même si cette hausse a été stoppée en mai. Quoi qu’il en soit les acheteurs font progressivement leur retour.

    Le deuxième facteur de hausse est lié à la saisonnalité de l’activité immobilière. Une grosse partie des transactions se fait avant les vacances d’été, notamment pour des raisons d’organisation avec les établissements scolaires. Les banques ont dû faire face à un afflux de demandes, en particulier pour des renégociations et/ou rachats de crédits. Ce qui a naturellement poussé les grilles tarifaires à la hausse.
    Enfin, les taux des obligations souveraines à dix ans de la France, qui font office de référence sur le marché, ont rebondi de façon spectaculaire depuis plusieurs mois. Le taux de l’OAT français oscille entre 1.20 et 1.32% sur les derniers jours, contre 0,35% début avril. Soit une augmentation de près d’un point en moins de 3 mois. Si cette progression ne se répercute pas toujours mécaniquement sur les taux des crédits immobiliers, les courbes des taux de l’OAT et des crédits immobiliers se suivent sur le long terme. Car si l’Etat emprunte plus cher, les banques finissent par emprunter plus cher, se répercutant sur ceux qui achètent un appartement ou une maison.

  • Renégocier son prêt immobilier : quand et comment procéder

    Renégocier son prêt immobilier : quand et comment procéder

    Selon les chiffres de la banque de France, en juillet 2014, la part des renégociations et rachats dans les nouveaux crédits à l’habitat atteignait respectivement 6% et 7%, alors que ces opérations représentaient 35% des flux de crédits en 2013. Pourtant, ceux qui parviennent à renégocier leur prêt réalisent, en moyenne, 25 000 euros d’économies.

    Pourquoi renégocier son prêt immobilier
    Renégocier ou faire racheter son crédit immobilier revient à obtenir une diminution du taux de son prêt. Cette baisse du taux permet alors, soit de :
    réduire le montant de ses mensualités pour le reste de la durée de remboursement
    réduire sa durée de remboursement en conservant les mêmes mensualités.

    Condition pour renégocier son prêt immobilier
    Revisiter son crédit n’est pas toujours une opération rentable. Pour que ce soit le cas, plusieurs conditions doivent être réunies :
    L’écart entre le taux d’origine et le taux actuel doit être d’au moins 1 point. Pas besoin d’avoir emprunté dans les années 2000 pour satisfaire ce premier critère. Rien qu’entre décembre 2013 et mars 2015, les taux moyens des prêts ont reculé de 0,97 point dans l’ancien, à 2,11%, d’après les données de l’Observatoire Crédit Logement/CSA, et de 0,92 point dans le neuf, à 2,30%. La règle existe, mais elle peut être assouplie.
    La loi d’un capital restant dû minimum n’est, elle, pas dérogeable.
    La durée restante de remboursement doit être conséquente. Pourquoi ? Parce qu’il faut que le gain financier de la renégociation ou surtout du rachat soit supérieur aux frais engendrés (voir plus loin). De manière générale, une durée restante du prêt en cours doit être supérieure à la durée écoulée pour couvrir les frais liés au rachat de prêt. »
    Dernier point, ceux qui désirent vendre leur bien rapidement n’ont pas intérêt à faire racheter leur crédit : cette opération engendre souvent des frais de remboursement anticipé, plafonnés à 3% du capital restant dû avant remboursement, qu’ils n’auraient pas le temps d’amortir.

    Comment renégocier son prêt immobilier
    PRESTA FINANCE, votre courtier en crédit immobilier connait la politique commerciale de chaque banque sur le bout des doigts et a toutes les cartes en main pour vous décrocher le taux de financement le plus bas.

    Frais de renégociation de prêt immobilier
    Comme dit plus haut, renégocier un prêt immobilier peut engendrer des frais de dossier sur lesquels il faut se renseigner avant toute prise de décision : frais de remboursement anticipés réclamés par l’établissement bancaire du crédit original ou encore les diverses assurances inhérentes à tout crédit immobilier.

  • CREDIT IMMOBILIER : LA FICHE D’INFORMATION SUR LES GARANTIES D’EMPRUNT

    CREDIT IMMOBILIER : LA FICHE D’INFORMATION SUR LES GARANTIES D’EMPRUNT

    Objectifs de la loi Hamon de 2014, dans la lignée de la loi Lagarde : Faciliter le transfert d’assurance de la banque vers un autre assureur.
    A partir du 1er octobre 2015, les emprunteurs d’un CREDIT IMMOBILIER devront être en possession d’une fiche d’information sur les garanties d’emprunt, et ce dès la première simulation.
    Cette fiche d’information sur l’assurance que les emprunteurs sont obligés de souscrire en vue de garantir le remboursement de leurs emprunts à l’établissement prêteur en cas de défaillance de leur part.
    Le décret du 22 avril 2015 relatif à la remise de la fiche standardisée d’information mentionnée à l’article L. 312-6-2 du code de la consommation a été publié au Journal officiel du 24 avril. Cette loi entrera en vigueur le 1 er octobre 2015.
    Cette fiche d’information mentionnera la possibilité pour l’emprunteur de souscrire une assurance auprès de l’assureur de son choix.
    Cette fiche précisera très clairement :
    les types de garanties proposées au titre de l’assurance à l’emprunteur,
    les caractéristiques des garanties minimales exigées par le prêteur pour l’octroi du prêt immobilier,
    les types de garanties possibles et la part du capital emprunté à couvrir,
    une estimation personnalisée du coût de l’assurance envisagée