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  • RACHAT DE PRET

    RACHAT DE PRET

    Obligation à l’établissement d’origine de conserver le Prêt à Taux Zéro sous peine de sanctions dans le cas de rachat d’un prêt principal immobilier complémentaire ?

    Cette problématique a été évoquée par une question à l’Assemblée Nationale, la réponse du gouvernement étant la suivante :
    « Le Prêt à Taux Zéro, qui est destiné aux personnes physiques qui acquièrent un logement en vue de l’occuper à titre de résidence principale, constitue une avance remboursable ne portant pas intérêt, complémentaire à un ou plusieurs prêts immobiliers concourant au financement de l’opération. Le Prêt à Taux Zéro possède une autonomie complète pour participer au financement d’une opération d’accession à la propriété, même si sa gestion doit être coordonnée avec les autres prêts immobiliers.
    Conformément aux dispositions de l’arrêté interministériel du 2 octobre 1995 relatif aux conditions d’octroi du Prêt à Taux Zéro, les conditions de remboursement sont déterminées de façon définitive au stade de l’émission de l’offre de prêt.
    Selon les dispositions de l’article R. 317-6 du Code de la construction et de l’habitation, l’obligation de remboursement intégral du capital restant dû de l’avance existe uniquement dans le cas d’une mutation entre vifs du logement financé. Aucune disposition de la réglementation afférente au Prêt à Taux Zéro ne peut faire obstacle au remboursement préalable, du ou des prêts principaux, concourant au financement de l’opération. A cet égard, il n’est pas fait de distinction selon que le remboursement anticipé, du ou des prêts principaux, est dû à la mise en place d’un prêt substitutif par l’établissement d’origine, à un rachat par un établissement tiers ou à un apport personnel effectué par l’emprunteur.
    Une clause contractuelle qui comporterait une exigence de remboursement préalable du Prêt à Taux Zéro en cas de remboursement anticipé, partiel ou total, du ou des prêts principaux constituant une condition limitative de l’exercice du droit au remboursement par anticipation tel qu’institué à l’article L. 312-21 du Code de la consommation. Or ces dispositions étant d’ordre public en vertu de l’article L. 313-16 du même code, il ne peut y être dérogé par des conventions particulières. Non seulement de telles conventions ne peuvent être directement contraires aux dispositions légales impératives, mais elles ne peuvent pas davantage avoir pour effet de placer l’emprunteur dans une situation moins favorable que celle prévue par la loi.
    L’exécution du contrat par l’emprunteur ne peut pas valoir renonciation à la protection des dispositions d’ordre public.
    Dans ces conditions et sous réserve de l’appréciation souveraine du juge du contrat, la stipulation contractuelle prévoyant le remboursement préalable du Prêt à Taux Zéro revêt un caractère illicite. A défaut de parvenir à un accord avec l’établissement de crédit concerné, l’emprunteur pourra saisir le juge du contrat d’une action en nullité. »
    (Question publiée au JO le 02/08/1999 page 4668
    Réponse publiée au JO le 22/11/1999 page 6741)

    Ainsi, il appartient à chaque emprunteur de faire valoir auprès de sa banque son droit au remboursement anticipé du crédit immobilier principal au titre de l’article L. 312-21 du Code de la consommation. En cas de désaccord, le litige sera tranché par le juge civil, qui devra être en l’occurrence en principe le Tribunal de Grande Instance de Lyon.
    Par ailleurs, dans le cas où le contrat de prêt immobilier comporterait une clause contraire à l’article L. 312-21 du Code de la consommation (clause vous obligeant à racheter le Prêt à Taux Zéro en cas de rachat de prêt principal), l’emprunteur a la possibilité de porter plainte auprès de la Direction Départementale de la Protection des Populations. Cette action pourra rentrer dans le cadre de différentes missions de lutte contre les clauses abusives et les clauses illicites.

  • TAUX ZERO : Changements de zones géographiques applicables au 1er octobre 2014

    TAUX ZERO : Changements de zones géographiques applicables au 1er octobre 2014

    L’arrêté révisant le zonage en A, A bis, B1, B2 et C a été publié au Journal Officiel le 6 août 2014. Ce changement est applicable à partir du 1er octobre 2014.

    NOUVEAU ZONAGE
    1174 communes sont reclassées :
    – 187 communes reclassées en zone A
    162 communes anciennement classées en B1 :
    50 dans les Bouches-du-Rhône (Aix-en-Provence…)
    15 en Hérault (Montpellier…)
    7 dans le département du Nord (Lille…)
    2 dans le Rhône (Lyon et Villeurbanne)
    29 en Seine-et-Marne (Fontainebleau…)
    11 en Yvelines (Rambouillet…)
    26 dans le Var (Bandol…)
    3 en Essonne
    9 dans le Val-d’Oise (Beaumont-sur-Oise…)
    3 en Corse (Ajaccio, Porto-Vecchio et Bonifacio)

    25 communes anciennement classées en B2 :
    7 pour les Bouches-du-Rhône
    10 pour l’Hérault
    7 pour l’Oise
    1 en Haute-Savoie

    – 525 communes reclassées en zone B1
    358 communes anciennement classées en B2 :
    Beaucoup de communes des Bouches-du-Rhône et de l’Oise sont représentées
    Quelques grandes villes françaises : Caen, Dijon, Nîmes, Saint-Nazaire, Reims, Beauvais, Perpignan, Mulhouse, Le Havre, Amiens, Orange, Limoges…

    167 communes anciennement classées en zone C :
    18 départements sont concernés

    670 communes sont déclassées
    – 38 communes en zone A sont déclassées en zone B1
    Elles sont issues de 4 départements : Ain, Haute-Savoie, Seine-et-Marne et Yvelines

    – 13 communes en zone A sont déclassées en zone B2
    Cela concerne des communes de 3 départements (Alpes-Maritimes, Haute-Savoie et Var)

    – 619 communes en zone B1 sont déclassées en zone B2
    24 départements sont concernés : il s’agit principalement des départements de la grande banlieue parisienne, de la Moselle et des deux départements de la Corse

    La liste complète des communes est disponible sur le site du Ministère du Logement :
    http://www.territoires.gouv.fr/un-nouveau-zonage-a-b-c-applicable-des-le-1er-octobre-2014-pour-certains-dispositifs

    CONDTIONS DE RESSOURCES
    Personnes occupant le logement
    Zone A
    Zone B1
    Zone B2
    Zone C
    1
    33 000 €
    26 000 €
    24 000 €
    22 000 €
    2
    46 200 €
    36 400 €
    33 600 €
    30 800 €
    3
    56 100 €
    44 200 €
    40 800 €
    37 400 €
    4
    66 000 €
    52 000 €
    48 000 €
    44 000 €
    5
    75 900 €
    59 800 €
    55 200 €
    50 600 €
    6
    85 800 €
    67 600 €
    62 400 €
    57 200 €
    7
    95 700 €
    75 400 €
    69 600 €
    63 800 €
    8 et plus
    105 600 €
    83 200 €
    76 800 €
    70 400 €

    Les ressources prises en compte correspondent au plus élevé des 2 montants suivants :
    – la somme des revenus fiscaux de l’ensemble des occupants du logement pour l’année n-2
    – ou le coût total de l’opération divisé par 10

    MONTANTS MAXIMUM DE PRÊT

    Opérations dans le Neuf avec Label BBC 2005 ou RT 2012
    Opérations dans le Neuf PSLA avec DFA avant le 01/01/2012
    Quotité
    26%
    26%
    21%
    18%
    26%
    21%
    16%
    14%
    Personnes occupant logement
    Zone A
    Zone B1
    Zone B2
    Zone C
    Zone A
    Zone B1
    Zone B2
    Zone C
    1
    39 000 €
    35 100 €
    23 100 €
    18 000 €
    39 000 €
    28 350 €
    17 600 €
    14 000 €
    2
    54 600 €
    49 140 €
    32 340 €
    25 200 €
    54 600 €
    39 690 €
    24 640 €
    19 600 €
    3
    66 300 €
    59 800 €
    39 270 €
    30 600 €
    66 300 €
    48 300 €
    29 920 €
    23 800 €
    4
    78 000 €
    70 200 €
    46 200 €
    36 000 €
    78 000 €
    56 700 €
    35 200 €
    28 000 €
    5
    89 700 €
    80 860 €
    53 130 €
    41 400 €
    89 700 €
    65 310 €
    40 480 €
    32 000 €
    Evolutions Moyenne
    -24%
    15%
    27%
    26%
    -3%
    15%
    28%
    26%

    Ancien
    Logements issus du parc HLM
    Quotité
    10%
    10%
    10%
    10%
    Nombre de personnes destinées à occuper le logement
    Zone A
    Zone B1
    Zone B2
    Zone C
    1
    15 000 €
    13 500 €
    11 000 €
    10 000 €
    2
    21 000 €
    18 900 €
    15 400 €
    14 000 €
    3
    25 500 €
    23 000 €
    18 700 €
    17 000 €
    4
    30 000 €
    27 000 €
    22 000 €
    20 000 €
    5
    34 500 €
    31 100 €
    25 300 €
    23 000 €
    Evolutions Moyenne
    20,9%
    45,3%
    28%
    26,5%

    DISPOSITIFS CONCERNES

    Applicables au 1er octobre 2014
    – Le dispositif d’investissement locatif intermédiaire destiné aux particuliers
    Le nouveau zonage s’applique aux logements neufs ou assimilés ou en état futur d’achèvement, acquis à partir du 01/10/2014.
    Si le logement est en cours de construction, le nouveau zonage s’applique aux demandes de permis de construire déposées à partir du 01/10/2014.

    Les logements doivent se situer en zone A bis, A, B1. Ceux en zone B2 doivent faire l’objet d’un agrément délivré par le Préfet de Région. Les logements situés en zone C sont exclus du dispositif.

    – Exceptions
    Communes anciennement classées en zone A qui sont reclassées dans d’autres zones. Le nouveau zonage ne s’applique pas si la demande de permis de construire a été déposée avant le 01/10/2014 et si la signature de l’acte authentique intervient au plus tard dans les 18 mois qui suivent la délivrance du permis de construire ou si la promesse de vente a acquis une date certaine (enregistrement) avant le 01/10/2014.

    Communes anciennement classées B1 qui sont reclassées en B2. Le nouveau zonage ne s’applique pas si la demande de permis de construire a été déposée avant le 01/10/2014 et si la signature de l’acte authentique intervient au plus tard dans les 18 mois qui suivent la délivrance du permis de construire ou si la promesse de vente a acquis une date certaine (enregistrement) avant le 01/10/2014.

    Applicables au 1er janvier 2015
    – L’acquisition en zone ANRU (zone d’aménagement et de rénovation urbaine)
    Les logements doivent se situer en zone A bis, A, B1. Ceux en zone B2 doivent faire l’objet d’un agrément délivré par le Préfet de Région. Les logements situés en zone C sont exclus du dispositif.
    Le nouveau zonage ne s’applique pas si la demande de permis de construire a été déposée avant le 01/10/2014 et si la signature de l’acte authentique intervient au plus tard dans les 18 mois qui suivent la délivrance du permis de construire.

    – Les aides de l’ANAH (aides pour les travaux d’amélioration des logements)

    Applicables au 1er février 2015
    – Le Prêt Social Location Accession
    Application aux décisions favorables d’agrément délivrées à compter du 01/02/2015 (si les levées d’option sont financées par un PTZ+ ou un PAS, c’est la date d’émission de l’offre de prêt qui s’applique).

  • Le marché immobilier du 6ème arrondissement de Lyon

    Le marché immobilier du 6ème arrondissement de Lyon

    Le 6ème arrondissement de Lyon

    Situé au nord de Lyon, entre Villeurbanne et les rives du Rhône, l’arrondissement Lyon 6ème est notamment réputé pour abriter le parc de la Tête d’Or, lieu idéal pour se ressourcer en couple ou en famille et découvrir les nombreux animaux du zoo. Non loin, la Cité Internationale rassemble casino, cinéma, logements, musée d’art contemporain ou encore salles de conférences pour diverses manifestations nationales ou mondiales.

    Le marché immobilier de Lyon 6ème

    Avec une population de près de 50 000 habitants, Lyon 6ème compte parmi les arrondissements moyennement peuplés de la capitale des Gaules, avec, cependant, une importante densité au km² (environ 13 000).

    Les moyennes de prix varient selon les quartiers et leurs situations. Ceux plus proches du Rhône et du parc sont les plus chers (compter, en moyenne, plus de 4000€ au m²) tandis que le quartier « Charmettes / Bellecombe », jouxtant Villeurbanne, est plus près des 3000€/m². (source)

    Du à sa forte densité, la quasi-totalité des logements et opportunités immobilières à saisir sont des appartements, du T1 au T5 et plus.

    Contactez Prestafinance, votre courtier en crédit immobilier à Lyon 6ème, au 04 74 27 26 42 :

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  • Le prix de l’argent

    Le prix de l’argent

    Marché immobilier déprimé, taux d’intérêt à des bas niveaux historiques : C’est le moment de solliciter un prêt immobilier. La récente décision de la Banque Centrale Européenne de baisser son taux principal (celui que payent les banques lorsqu’elles empruntent à la BCE) à 0,15% et fixer un taux de dépôt négatif pour les banques (les banques paieront pour stocker leur argent à la BCE) impactera-t-elle le niveau des taux de crédit immobilier ? Pas sûr. Où alors à la marge. Car on oublie souvent que les taux ne recouvrent pas la même réalité. La BCE fixe des taux à court terme, alors que l’immobilier s’inscrit dans le moyen et long termes. Les banques empruntent à taux variables mais prêtent à taux fixe. Pour comprendre cela, il faut revenir sur la formation du taux de crédit, à savoir le coût de la matière première et la marge de la banque.
    Le coût de l’argent dépend de trois facteurs : le taux de marché, la couverture de taux calculé en fonction de la structure des dépôts à vue et de la durée réelle des durées de prêts, souvent renégociées à la baisse, et le coût de la liquidité, lié à la qualité de la signature de la banque. La structure du bilan des banques peut donc influer sur les taux de crédits alors que les conditions de marché sont identiques.
    La marge dépend du risque de contrepartie, du coût de la « casse » et de la rémunération de la banque. Intervient la stratégie commerciale, plus ou moins agressive en fonction des efforts que l’établissement est prêt à faire pour conquérir un nouveau client. Sur dix ans, sans apport, hors assurance, les taux se situent entre 2,5% et 2,6%. Ils peuvent grimper à 2,75% sur vingt ans. Mais aujourd’hui, dans un marché immobilier déprimé, les banques sont prêtes à faire quelques efforts significatifs. Et là, intervient la qualité de signature de l’emprunteur où dans certains cas, les taux peuvent descendre à 2,2%.
    Le contexte est-il favorable à la renégociation ? Au printemps 2013, lors de la dernière vague de baisse des taux, beaucoup d’emprunteurs avaient demandé à renégocier leurs prêts immobiliers. Il semble que cela ne soit pas le cas cette année. Du moins pour l’instant, car les banquiers anticipent une très légère baisse des taux de marché au cours des six prochains mois, au mieux une stabilisation. Ils pourraient en revanche augmenter si la collecte se réduisait ou si un nouveau séisme, de types subprimes, se produisait.

  • Vente en Copropriété : ce qui change avec ALUR

    Vente en Copropriété : ce qui change avec ALUR

    L’essentiel des modifications porte sur l’information de l’acquéreur : depuis fin mars, divers documents sont devenus obligatoires dès la signature du compromis ; tels que le règlement de copropriété à jour et de l’état descriptif de division. A cela peuvent s’ajouter des informations sur la vie de l’immeuble : procès-verbaux d’assemblée générale des copropriétaires, identité du syndic, montant des charges courantes et de travaux dus par le vendeur au cours des deux exercices comptables précédant la vente. Lorsque le syndicat des copropriétaires dispose d’un fonds de travaux, le montant de la part correspondant au lot vendu est le dernier montant versé par le vendeur pour ce fonds de travaux. Enfin, l’acheteur doit également être informé des sommes que le vendeur doit encore au syndicat des copropriétaires et des sommes qu’il aura à verser en tant que nouveau copropriétaire. Les professionnels de la vente immobilière sont peu à peu confrontés à des modifications en ce qui concerne les annonces, notamment les mentions relatives aux frais à charge de l’acquéreur et au nombre de lots de copropriété. Pour les ventes, les agences immobilières doivent récupérer auprès du propriétaire de nombreux documents. De ce fait, un retard considérable s’accumule pour la signature de certains compromis. Des vendeurs sont engagés par l’acceptation d’une offre, mais ne peuvent officialiser la vente par compromis notarié ; les acquéreurs eux, ne sont réellement engagés qu’après la signature du compromis et qu’après la purge du délai de rétractation et des conditions suspensives. Certains poursuivent leurs recherches et il se passe parfois de longues semaines avant que le vendeur soit certain de l’engagement de l’acquéreur ; la relation se trouve ainsi momentanément déséquilibrée et marquée par l’incertitude.

  • Le marché immobilier de Villeurbanne

    Le marché immobilier de Villeurbanne

    Villeurbanne, ville vivante dans l’ombre de Lyon

    Au nord-est de Lyon, sur les rives d’une des boucles du Rhône, Villeurbanne est une ville dynamique, de nombreuses fêtes, activités et manifestations en tout genre étant proposées tout au long de l’année
    Moins reconnue que la capitale des Gaules, Villeurbanne a tout de même de nombreux atouts à faire valoir.

    Bien desservie vers le centre-ville lyonnais (tramways T1 et T4, ligne A du métro et nombreuses lignes de bus), cette ville de près de 150 000 habitants s’est surtout développée au début du XXème siècle ainsi que dans l’après-guerre.

    L’immobilier à Villeurbanne

    Villeurbanne n’est pas Lyon et les prix s’en font ressentir. Avec une moyenne de 2 800€/m² pour une maison, l’agglomération est beaucoup plus intéressante que la ville lyonnaise.

    Les quartiers les plus « chers » se trouvent près de Lyon (notamment le quartier de Charpennes / Charmettes), tandis que les plus abordables se trouvent à l’est, près du périphérique, comme Cusset, Léon Blum ou encore Perralliere.

    Contactez Prestafinance, votre courtier en crédit immobilier à Lyon et à Villeurbanne, au 04 74 27 26 42 :

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  • Le marché immobilier du 4ème arrondissement de Lyon

    Le marché immobilier du 4ème arrondissement de Lyon

    Le 4ème arrondissement de Lyon

    Lyon 4ème est l’un des arrondissements les plus au nord de Lyon. Entre Rhône et Saône, le 4ème abrite le quartier de Croix-Rousse surplombant le centre-ville de Lyon et ses différents arrondissements.

    Abritant des quartiers historiques de Lyon, le 4ème garde un aspect « village » dans la ville qui fait sa singularité. Il est également apprécié pour ses nombreux restaurants branchés ainsi que son marché quasi-permanent sur près d’un kilomètre, au sein du boulevard de la Croix-Rousse.

    Le marché immobilier de Lyon 4ème

    Le 4ème arrondissement de Lyon compte un peu plus de 35 000 habitants pour une densité de près de 12 000 hab./km².

    Bien que moins « cher » que ces voisins, les 2ème et 6ème arrondissements, le 4ème n’est pas le plus abordable des quartiers lyonnais. Il faut compter, en moyenne, 3500€/m² pour un appartement et 4700€/m² pour une maison. Le quartier d’Hopital – Place Croix compte parmi les plus chers notamment à cause de la station de métro tout proche. A l’inverse, le quartier d’Ypres-Serein, en face du 9ème, est un peu plus abordable. (source)

    Contactez Prestafinance, votre courtier en crédit immobilier à Lyon 4ème, au 04 74 27 26 42 :

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  • Evolution du marché de l’immobilier de l’ancien au 1er trimestre 2014

    Evolution du marché de l’immobilier de l’ancien au 1er trimestre 2014

    La baisse des prix s’est poursuivie au premier trimestre sur un marché immobilier de l’ancien divisé en deux, « dynamique », en région parisienne et dans les grandes villes françaises, « hésitant » sur le reste du territoire.
    Le prix moyen au m² a reculé de 2.5% en France au 1er semestre mais s’est stabilisé à Paris (-0.4%) alors qu’il a baissé de 3.3% en province. Les six premiers mois de l’année ont vu le nombre de transactions progresser de 1% au plan national.
    Le rétablissement annoncé du Prêt à Taux Zéro (PTZ) dans l’ancien, limité aux zones rurales et subordonné à la réalisation de travaux, ne permettra certainement pas de redynamiser le marché. Au sein des transactions réalisées, les secondo-accédants bénéficient des meilleures ventes immobilières au premier semestre, avec 56%, suivis par les primo-accédants (33%). Les investisseurs locatifs quant à eux ont chuté de 50%.

  • EVOLUTIONS DU PRET A TAUX ZERO

    EVOLUTIONS DU PRET A TAUX ZERO

    Le PTZ+, devrait être prolongé en 2015 et se recentrer sur des zones géographiques (celles-ci ne ne sont pas encore connues). Cela s’adresserait aux ménages les plus modestes et aux classes moyennes. Ces évolutions ont pour objectif d’augmenter de plus de 60% le nombre de Prêts à Taux Zéro distribués, qui passerait de 44 000 à plus de 70 000 par an.
    Le Conseil des Ministres du 25 juin 2014 a annoncé les modifications suivantes qui seraient adoptées :
    A compter du 1er octobre 2014
    – Augmentation des plafonds de ressources : ce plafond serait élargi pour les classes moyennes
    – Augmentation des quotités et des montants maximum de prêt
    – Amélioration des conditions de remboursement : introduction d’un nouveau profil de prêt avec un différé total de 7 ans sur le PTZ+ probablement d’une durée globale de 25 ans (soit 7 ans de différé total + 18 ans d’amortissement)
    – Révision du zonage : ajustement du zonage A/B1/B2/C pour quelques villes dans le but de favoriser la construction de logements en zones tendues

    A compter de 2015
    – Ouverture du Prêt à Taux Zéro à l’achat de logements anciens à réhabiliter sur quelques territoires en zone rurale

    Le Prêt à l’Accession Sociale (PAS) est également concerné par ces mesures : tous les plafonds de ressources du Prêt à l’Accession Sociale seraient alignés sur ceux du Prêt à Taux Zéro afin de sécuriser sur l’Accession Sociale et de permettre à un plus grand nombre d’acquéreurs de bénéficier d’un PAS.

  • Mesures de la loi sur la transition énergétique concernant l’immobilier

    Mesures de la loi sur la transition énergétique concernant l’immobilier

    La loi sur la transition énergétique a été présentée ce mercredi 18 juin en Conseil des ministres par la ministre de l’écologie, du développement durable et de l’énergie.
    Le texte compte 80 articles traitant de la voiture électrique à la rénovation des biens immobiliers, en passant par le développement des énergies renouvelables ou encore par la pollution de l’air. L’ambition finale de cette loi est de réduire la facture énergétique de la France. Celle-ci devrait être réduite de 50% en 2050 par rapport à 2012.
    Les mesures se rapportant au secteur de l’immobilier
    « Quand on injecte 1 milliard d’euros dans la filière bâtiment, cela génère 10 milliards de travaux et derrière les emplois qui vont avec » : Voici l’un des piliers de la loi de la Rénovation thermique des logements.
    Pour relancer ce chantier qui peine à décoller, l’objectif étant de 500 000 logements rénovés par an d’ici à 2017, le texte prévoit un allègement fiscal de 30 % pour les travaux de rénovation énergétique engagés entre le 1er septembre 2014 et le 31 décembre 2015. Il introduit aussi des simplifications des critères d’éligibilité au crédit d’impôt développement durable : les ménages ne seront plus obligés de réaliser tous les travaux en même temps mais pourront les faire un par un : la toiture, puis la façade, etc.
    Un chèque énergie devrait également être mis en place pour les ménages modestes. Il devrait à terme remplacer les tarifs sociaux existants sur le gaz et l’électricité.
    Ségolène Royal ambitionne aussi de relancer les prêts à taux zéro dès le 1er juillet. Ces prêts immobiliers pourraient passer de 30 000 à 100 000 prêts par an. Pour lever les blocages, un décret sur l’éco-conditionnalité devrait être publié dans les prochains jours : il permettra aux entreprises agréées de valider elles-mêmes la qualité des travaux alors qu’aujourd’hui ce sont les banques qui ont cette responsabilité.