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  • Nouveau Prêt à Taux Zéro

    Nouveau Prêt à Taux Zéro

    Le Prêt à Taux Zéro (PTZ+) permet d’aider les particuliers à acquérir par le biais d’un financement immobilier leur premier logement. Qui peut bénéficier de ce prêt immobilier sans intérêt aidé par l’Etat ? A quelles conditions ? Voici l’explication en 5 phases.

    1- Les personnes concernées
    Le PTZ+ est réservé aux particuliers. Les personnes morales (société civile immobilière) n’y ont pas droit. De plus, cette aide s’adresse aux primo-accédants, c’est-à-dire aux personnes qui achètent pour la première fois. En effet, il ne faut pas avoir été propriétaire de sa résidence principale au cours des deux dernières années précédant la demande de prêt immobilier. Quelques exceptions : en cas d’invalidité grave ou encore de catastrophe (naturelle ou technologique) ayant conduit à rendre inhabitable de manière définitive la résidence principale précédente.

    2- Les logements éligibles
    Ce crédit immobilier bonifié finance en priorité la construction ou l’achat d’un logement neuf. Le bien acheté doit répondre à des critères de performance énergétique : soit respecter la réglementation énergétique RT 2012 soit être labellisé « bâtiment basse consommation énergétique » BBC 2015. De plus, le logement a vocation à devenir la résidence principale de l’emprunteur au plus tard un an après l’achat ou l’achèvement des travaux. Sauf cas particuliers (mutation professionnelle, divorce ou encore invalidité), le bien ne pourra pas être loué avant le remboursement en intégralité du prêt immobilier.

    3- Les conditions de ressources
    Dans l’optique d’aider les moins aisés, ce prêt immobilier sans intérêt est accordé sous conditions de ressources. Pour y avoir droit, deux critères : les revenus de l’année n-2 du foyer fiscal (figurant sur l’avis d’imposition 2012 pour une demande de prêt réalisée en 2013) et le prix total de l’acquisition divisé par dix (hors frais de notaire). Le plus élevé des deux chiffres ne doit pas dépasser un plafond de ressources fixé en fonction du nombre d’occupants du logement et de sa localisation :
    ZONE
    Exemple de communes
    Revenus maximum du dossier à ne pas dépasser, selon le nombre d’occupants
    A
    Paris, certaines communes d’Ile-de-France et de Côte d’Azur
    Entre 36 000 € et 115 200 €
    B1
    Villes de plus de 250 000 habitants, certaines communes d’Ile-de-France et de Côte d’Azur, DOM, Corse
    Entre 26 000 € et 83 200 €
    B2

    Villes de plus de 50.000 habitants, certaines communes littorales ou frontalières, pourtour d’Île-de-France
    Entre 20 000 € et 64 000 €
    C
    Reste du territoire
    Entre 18 500 € et 59 200 €

    4- Le montant du prêt
    Le PTZ+ ne finance qu’une partie de l’acquisition d’une résidence principale. Il est accordé en complément d’un autre prêt immobilier bancaire. Son montant maximal est également réglementé et ne peut dépasser une certaine somme calculée en fonction de la taille du foyer et de la zone d’implantation du logement. De plus, un pourcentage est appliqué à ce montant en lien avec la situation géographique du bien (33 % en zone A ; 26 % en zone B1 ; 21 % en zone B2 et 18 % en zone C).

    5- La durée du remboursement
    Plus les revenus du foyer sont faibles et plus la famille est nombreuse, plus la durée du remboursement est longue. Elle s’étend de 12 à 25 ans selon les cas, les mensualités des prêts sollicités ne devront pas dépasser 33% des revenus globaux du foyer. En fonction de ses revenus, l’emprunteur pourra bénéficier d’un différé de remboursement. De son côté, l’établissement prêteur doit avoir signé une convention avec l’Etat. Il est libre ou non d’accorder le PTZ+.

  • Prêt à taux zéro 2014 – Du changement !!!

    Prêt à taux zéro 2014 – Du changement !!!

    Pour le financement d’un prêt immobilier, ll sera encore possible de bénéficier d’un crédit immobilier à taux zéro pour 2014.

    Quelques modifications vont avoir lieu. Elles porteront vraisemblablement sur un reclassement des communes qui certaines seront déqualifiées tant en matière de montant de PTZ+ que d’éligibilité au PTZ+ et au PAS.
    Le zonage de ces communes n’est pas encore défini.
    PTZ + concerné
    Modifications à venir
    Conditions de mise en œuvre
    Tous les PTZ +
    (neuf ou en vente d’HLM)
    Révision du zonage (A, Abis,B1, B2,C)
    Certaines communes seraient déclassées, d’autres seraient surclassées
    Impact important concernant l’éligibilité ou le montant du PTZ+
    Aucun changement consernant les plafonds de ressources et les profils de remboursement.
    Application annoncée pour les offres à compter du 01/01/2014 (sous réserve de la parution d’un arrêté).
    PTZ + Neuf
    PTZ +majorations HPE et THPE :
    Introduction de nouvelles quotités majorées si le logement est titulaire du label HPE2012 ou THPE 2012
    Applications aux offres émises à compter du 01/01/2014 (sous réserves que les textes définissant les labels HPE 2012 et THPE 2012 soit préalablement publiés)
    PTZ + vente HLM
    Assouplissement de la décote du prix de vente :
    La décote pourra représenter entre 10 % et 35 % de la valeur estimée des domaines
    Applicable après la promulgation de la loi ALUR ( attendue pour avril 2014 et sous réserve que cette disposition soit maintenue dan le texte définitif).

    Pour les PRETS PAS, les plafonds de ressources restent inchangés.
    Toutes ces informations restent à être confirmées après publication du texte législatif.
    Presta Finance, votre courtier en prêt immobilier sur Lyon 2ème est à votre disposition pour vous informer sur les nouvelles mesures du prêt à taux zéro qui rentrerons en vigueur en janvier 2014 et ce, gratuitement.
    Nous nous tenons à votre disposition pour toutes simulations de prêt immobilier. Nous pouvons également procéder à des calculs le rachat et la renégociation d’un prêt immobilier.
    Nous avons mis à disposition sur notre site internet différente calculette financière, permettant de simuler l’échéance d’un prêt, le calcul d’une échéance, la capacité d’emprunt et bien d’autre….

  • Niches fiscales : les nouveautés applicables en 2013

    Niches fiscales : les nouveautés applicables en 2013

    La deuxième partie du projet de loi de Finances, sur les niches, a été légèrement amendée.

    Au cours de l’examen de la deuxième partie du texte, concernant les mesures entrant en vigueur en 2013 mais n’ayant un impact financier qu’à partir de 2014, quelques dispositifs ont été amendés par les députés. Les débats se sont concentrés sur deux gros sujets : le plafonnement global des niches à 10.000 euros et le dispositif « Duflot » d’incitation à l’investissement locatif.

    Investissements outre-mer

    Cette niche contestée, soumise à un plafonnement spécifique équivalant à 18.000 euros + 4 % du revenu imposable, a fait l’objet de plusieurs amendements, à droite comme à gauche. Le rapporteur du budget, Christian Eckert (PS), souhaitait limiter à un an le statu quo sur ce dispositif. Il a dû faire machine arrière face à la mobilisation des élus ultra-marins, mais a obtenu qu’un rapport sur le sujet soit remis par le gouvernement au plus tard le 1 er mai 2013. Ce dernier s’est engagé à ce qu’un nouveau système soit proposé d’ici à un an, qui pourrait transformer la niche fiscale en subventions. La défiscalisation moyenne pour les 100 plus gros contribuables bénéficiant des niches est de 428.000 euros (lire ci-dessous).

    Investissements dans le cinéma

    Christian Eckert a fait adopter, contre l’avis du gouvernement, un amendement plafonnant la niche fiscale pour les investissements dans le cinéma (Sofica). Le plafond est commun à celui de l’outre-mer (18.000 euros + 4 %). Il était soutenu sur ce point par le président de la commission des Finances, Gilles Carrez (UMP), qui a souligné que « les 1.000 contribuables qui investissent le plus dans les Sofica paient un montant moyen d’impôt sur le revenus de 68.000 euros ».

    Investissements dans les PME

    Le dispositif « Madelin » (déduction représentant 25 % du montant de l’investissement dans une entreprise en phase d’amorçage et de démarrage), qui devait entrer dans le plafonnement global des niches à 10.000 euros, a été aménagé par un amendement du gouvernement, et prolongé jusqu’en 2016. L’avantage figurera bien dans le plafond global, mais les contribuables pourront reporter pendant cinq ans la réduction d’impôt excédant la limite de 10.000 euros.

    Investissement locatif dans le meublé non professionnel

    Le dispositif dit « Censi-Bouvard », qui prévoit un crédit d’impôt pour les investissements dans les résidences étudiantes ou pour personnes âgées, est prolongé pendant quatre ans.
    Immobilier locatif

    Le « Duflot », qui remplace le « Scellier » en 2013, a été rendu plus avantageux pour l’outre-mer, avec une réduction d’impôt de 29 % sur le prix de vente dans ces territoires (plafonné à 300.000 euros), contre 18 % en métropole. Par ailleurs, l’avantage « Scellier » a été prolongé jusqu’à la fin mars 2013 pour les investissements engagés avant la fin 2012.

  • LES BONNES RAISONS DE CREER UNE SCI

    LES BONNES RAISONS DE CREER UNE SCI

    La création d’une SCI (société civile immobilière) procure de nombreux avantages en matière de gestion et transmission de patrimoine immobilier. En France, on en compte d’ailleurs près de 1.4 millions.
    La SCI propose un cadre souple qui permet notamment suite à un décès, d’échapper aux inconvénients de l’indivision qui impose aux héritiers une unanimité dans la prise de décisions. Avec une SCI, la majorité des voix suffit pour les choix importants. Il est également possible qu’avec un même nombre de parts sociales, un associé ait plus de droit de vote qu’un autre.
    En cas de décès d’une personne au sein d’un couple non marié, le conjoint survivant est protégé de manière à ce que ce dernier reçoive l’usufruit de ses parts.
    En ce qui concerne la transmission de patrimoine, la SCI s’avère une bonne option : le coût des parts de SCI transmises est moins important que celui des biens détenus en direct. Par ailleurs, les enfants détiennent la nue-propriété pendant que les parents en gardent l’usufruit.
    Choisir une SCI imposée à l’IS pour tout ce qui concerne les biens immobiliers professionnels acquis par les chefs d’entreprise peut s’avérer particulièrement intéressant. Il est alors possible de déduire des loyers l’amortissement de la valeur comptable des biens.
    Il est par ailleurs important de rappeler que l’accès au prêt à taux zéro et au PEL est dispensé lors de l’acquisition d’une résidence principale en SCI.

    Synthèse rédigée à l’aide de l’article des Echos http://www.lesechos.fr/29/03/2013/LesEchos/21407-161-ECH_quatre-bonnes-raisons-de-creer-une-sci.htm

  • IMMOBILIER : LES PLUS-VALUES DEVRAIENT DESORMAIS ETRE EXONEREES APRES 22 ANS SELON LE PRESIDENT

    IMMOBILIER : LES PLUS-VALUES DEVRAIENT DESORMAIS ETRE EXONEREES APRES 22 ANS SELON LE PRESIDENT

    L’impôt sur les plus-values immobilières s’élève à près de 34.5% en France soit 15.5% de prélèvements sociaux qui s’ajoutent à une base de 19%.

    Depuis le 1er janvier 2013, une nouvelle taxe a été appliquée lorsque la plus-value immobilière est supérieure à 50 000 € (après l’abattement pour durée de détention).

    Une fois le plafond atteint, c’est sur le montant total de la plus-value imposable qu’est calculée la taxe dont le taux varie entre 2 et 6 %.

    Cette nouvelle taxe s’ajoute à celle de base (à hauteur de 34.5%) pour atteindre une imposition globale pouvant s’élever à 40.5%.

    Concernant le régime des abattements, ce dernier est beaucoup moins avantageux que précédemment dans la mesure où aucun abattement n’est appliqué avant 6 ans de détention, 2% entre la 6ème et la 17ème année, 4% entre la 18ème et la 24ème et 8% au-delà. L’exonération totale n’est donc actuellement effective qu’après 30 ans.

    Synthèse rédigée à partir de l’article extrait du site des Echos écrit par Marie-Christine SONKIN.

  • Donations et héritages

    Donations et héritages

    Dans le cas où un défunt n’aurait pas rédigé son testament au préalable, le Code Civil a fixé des règles bien précises d’attribution des biens aux héritiers.
    Le tableau ci-après reprend l’ordre d’héritage légal en l’absence de testament et de conjoint survivant :
    Ordres

    Degrés
    1er ordre
    2ème ordre
    3ème ordre
    4ème ordre
    1er degré
    Enfants
    Père et mère


    2ème degré
    Petits-enfants
    Frères et sœurs
    Grands-parents
    Oncles et tantes
    3ème degré
    Arrières petits-enfants
    Neveux et nièces
    Arrières grands- parents
    Grands-oncles et grandes-tantes
    4ème degré
    Etc…
    Petits neveux et petites nièces
    Etc…
    Cousins germains
    Source : http://www.internet-juridique.net/succession-sans-testament,m21.html

    Par ailleurs, certains principes de base peuvent être intéressants à rappeler.
    Que donner ?
    Les biens immobiliers et mobiliers, les dons d’argent : la liste est longue car il n’y a pas de restrictions particulières en la matière. Il est important de souligner le fait que la donation d’un portefeuille titres permet d’en purger les plus-values latentes. A l’inverse, cependant, il est conseillé de vendre les titres dégageant des moins-values.

    Quelles limites ?
    Il est toutefois indispensable de garder un certain bon sens et une certaine équité dans le sens ou la donation reste un acte fort et ou le respect de la règle du rapport successoral reste primordial.

    Sous quelle forme ?
    La donation-partage est généralement la manière la plus simple d’anticiper sa succession. Elle est définie comme un « acte juridique par lequel les parents de leur vivant font donation de leurs biens à leurs enfants en opérant la distribution et le partage équitables de ces biens. La donation-partage bénéficie d’un régime fiscal avantageux et permet aux parents de régler leur succession de leur vivant. »

    A qui donner et combien ?
    Le tableau ci-après reprend les montants d’abattement en fonction du lien de parenté avec le défunt :
    LIEN DE PARENTE
    MONTANT D’ABATTEMENT
    Enfants
    100 000 €
    Petits-enfants
    31 865 €
    Arrière-petits-enfants
    5310 €
    Epoux ou partenaires d’un pacs
    80 724 €
    Frères et sœurs
    15 932 €
    Neveux et nièces
    7967 €
    Héritier handicapé
    159 325 €
    Source : http://www.lesechos.fr/patrimoine/guides/famille/la-fiscalite-de-la-famille/calcul-des-droits-de-donation-237533.php
    Rappelons toutefois que les droits sont, dans 90 % des cas, à la charge du donataire.

  • INFORMATION CONCERNANT LES PRIMO ACCEDANTS

    INFORMATION CONCERNANT LES PRIMO ACCEDANTS

    Un projet a été voté vous concernant : un « chèque premier logement » vient d’être voté par la Communauté urbaine du Grand Lyon.
    Les prix de l’immobilier continuant d’augmenter, l’achat d’un logement s’avère souvent être mission impossible pour les ménages à revenus modestes. Avec ses partenaires, le Grand Lyon propose un plan offensif : le plan 3A « Accession A prix Abordable ».
    Des logements sont ainsi proposés à des prix inférieurs à ceux du marché : les « premiers prix » dont les prix sont inférieurs à 2800 € le m² et une autre gamme de logements qui propose des prix compris entre 2800 et 3600 €/m².
    De plus, le label Plan 3A « accession à prix abordable » sera délivré par la Communauté urbaine aux logements qui répondent à ces critères.
    Une prime sera par ailleurs accordée par le Grand Lyon aux ménages qui pouvaient bénéficier du prêt à taux zéro. Elle s’élèvera à 3000 € pour les ménages composés de 3 personnes et moins, et de 4000 € pour ceux composés de 4 personnes ou plus.
    Le dispositif devrait débuter le 15 juin 2013 afin de toucher 1100 ménages jusqu’au 31 décembre 2014. Pour l’année 2013, le budget du Grand Lyon concernant cette réforme sera de 1 650 000 € et de 3 600 000 € pour 2014.
    Par ailleurs, si les résultats dégagés par ce programme s’avèrent concluants, le plan 3A pourra être reconduit en 2015.

    Cet article a été rédigé à l’aide du site du Grand Lyon http://www.grandlyon.com/L-accession-a-prix-abordable.5601.0.html.

  • LE CONTRAT DE GENERATION

    LE CONTRAT DE GENERATION

    Le contrat de génération découle de la loi n°2013-185 mise en place le 1er mars 2013 et a pour objectif que d’ici à 2017, 500 000 contrats de travail soient signés pour favoriser l’embauche des jeunes et le maintien des seniors dans l’emploi. Ce dispositif s’applique à près de 99.5% des entreprises françaises.

    Ainsi, les entreprises de moins de 300 salariés, qui embauchent un jeune de moins de 26 ans en CDI tout en conservant l’emploi d’un salarié de plus de 57 ans, pourront bénéficier d’une aide de l’Etat s’élevant à 4000 euros par ans et ce pendant 3 ans.

    Cette aide de 4000 euros se décompose selon le binôme : 2000 euros pour l’emploi d’un jeune et 2000 euros pour le maintien d’un sénior au sein de l’entreprise. L’aide pourra toutefois être suspendue dans le cas d’une résiliation du contrat de travail de l’un des 2 binômes.

    Pour ce qui implique les personnes handicapées, l’âge peut être porté à 30 ans et abaissé à 55.

    En ce qui concerne les entreprises de plus de 300 salariés, le dispositif ne s’applique pas, l’objectif étant aussi de soutenir les PME, mais ces entreprises doivent cependant, et ce avant septembre 2013, négocier un accord concernant la transmission des savoirs entre générations et des engagements visant à faciliter l’emploi des plus jeunes et des plus âgés.

    Au delà de l’aide octroyée, un des autres objectifs de ce dispositif est de valoriser la diffusion de connaissances entre les plus anciens et les plus jeunes. La création d’une certaine dynamique entre les employés de l’entreprise viendra nourrir le dialogue social qui est aussi l’un des principaux objectifs du gouvernement dans la mise en place de ce dispositif.

    Synthèse réalisée avec l’aide du site du gouvernement http://www.gouvernement.fr/gouvernement/le-contrat-de-generation-entre-en-vigueur. Pour plus de renseignements, consultez le site www.contrat-generation.gouv.fr.

  • RAPPEL DES DISPOSITIONS FISCALES EN COURS

    RAPPEL DES DISPOSITIONS FISCALES EN COURS

    SCELLIER
    Nouveaux plafonds mensuels de loyer par m² pour Scellier libre et social
    Situation géographique
    Scellier libre (ex-Robien)
    Scellier Social / intermédiaire (ex-Borloo)
    Zone A bis
    22,08 €/m²
    17,66 €/m²
    Zone A
    16,38 €/m²
    13,10 €/m²
    Zone B1
    13,22 €/m²
    10,58 €/m²
    Zone B2
    10,78 €/m²
    8,62 €/m²
    Zone C
    7,50 €/m²
    6,00 €/m²
    DOM, Mayotte
    12,62 €/m²
    10,10 €/m²
    Polynésie française, Nouvelle-Calédonie
    15,97 €/m²
    13,31 €/m²

    Outre-mer

    Composition du foyer locataire
    Départements d’outre-mer Saint-Martin Saint-Barthélemy Mayotte
    Polynésie française Nouvelle-Calédonie Saint-Pierre-et-Miquelon Iles Wallis-et-Futuna
    Personne seule
    27 686 €
    24 273 €
    Couple
    36 973 €
    44 890 €
    Personne seule ou couple ayant une personne à charge
    44 462 €
    47 486 €
    Personne seule ou couple ayant deux personnes à charge
    53 671 €
    50 083 €
    Personne seule ou couple ayant trois personnes à charge
    63 141 €
    53 551 €
    Personne seule ou couple ayant quatre personnes à charge
    71 159 €
    57 022 €
    Majoration par personne à charge à partir de la cinquième
    + 7 940 €
    + 3 643 €

    ROBIEN
    Nouveaux plafonds de loyers mensuels par m²

    a) Dispositif classique

    Zones
    Déduction au titre de l’amortissement Robien classique
    Zones A
    22,71 euros par m2
    Zone B
    15,79 euros par m2
    Zone C
    11,36 euros par m2

    b) Dispositif recentré

    Zones
    Déduction au titre de l’amortissement Robien recentré
    Zones A
    22,71 euros par m2
    Zone B1
    15,79 euros par m2
    Zone B2
    12,91 euros par m2
    Zone C
    9,46 euros par m2

    BORLOO
    a) Borloo neuf

    Borloo neuf : plafonds de loyers du locataire
    Zones
    Zone A
    Zone B1
    Zone B2
    Zone C
    Plafonds de loyers
    18,17 €
    12,63 €
    10,32 €
    7,57 €

    Borloo neuf
    (plafonds de ressources)
    Composition du foyer
    Zone A
    Zone B1
    ZoneB2
    Zone C
    Personne Seule
    46 214 €
    34 328 €
    31 467 €
    31 255 €
    Couple
    69 066 €
    50 410 €
    46 210 €
    42 008 €
    1 personne à charge
    83 023 €
    60 348 €
    55 319 €
    50 289 €
    2 personnes à charge
    99 448 €
    73 035 €
    66 949 €
    60 863 €
    3 personnes à charge
    117 728 €
    85 720 €
    78 579 €
    71 432 €
    4 personnes à charge
    132 474 €
    96 692 €
    88 636 €
    80 578 €
    Par personne supplémentaire
    14 766 €
    10 983 €
    10 068 €
    9 153 €

    b) Borloo ancien
    Borloo ancien secteur social et très social : plafond mensuels de loyers
    (convention signée depuis 2012)
    Zones
    Zone A
    Zone B1 et B2
    Zone C
    Logements sociaux
    – normal
    6,50 €
    5,92 €
    5,31 €
    – dérogatoire
    9,73 €
    8,04 €
    6,26 €
    Logements très sociaux
    – normal
    6,15€
    5,75 €
    5,12 €
    – dérogatoire
    8,88 €
    6,87 €
    5,68 €

    BESSON
    a) Besson neuf
    Besson neuf : plafonds de loyers du locataire
    Zones
    Zone
    Zone
    Zone
    Zone
    A (Ibis)
    B1 (I)
    B2 (II)
    C (III)
    Plafonds de loyers
    16,27 €
    14,41 €
    11,13 €
    10,50 €

    b) Besson ancien
    Besson ancien :
    plafonds de loyers du locataire
    Zones
    Zone A
    Zone B1 et B2
    Zone C
    Plafonds de loyers
    18,16€
    11,87€
    8,60 €

  • LA LOI DUFLOT

    LA LOI DUFLOT

    La loi Duflot permet une réduction d’impôt sur le revenu de 18% répartie sur 9 ans minimum (cette période est plafonnée à 12 ans) lors de l’acquisition d’un bien immobilier neuf entre le 1er janvier 2013 et le 31 décembre 2016.
    Elle a remplacé la loi Scellier et concerne l’achat de logements neufs conformes aux caractéristiques de très basses consommations énergétiques et se situant dans les zones A, A bis, B1 et B2 (zone C exclue).
    Ce dispositif limite le plafond d’investissement à 300 000 euros et à 2 logements par an.

    Plafonds de loyers mensuel en €/m²

    Plafonds Duflot révisés tous les ans au 1er janvier
    ZONE A Bis
    ZONE A
    ZONE B1
    Zone B2
    16.52 €
    12.27 €
    9.88 €
    8.59 €

    Plafonds de ressources

    ZONE A Bis
    ZONE A
    ZONE B1
    Zone B2
    PS
    36 502 €
    36 502 €
    29 751 €
    26 776 €
    Couple
    54 554 €
    54 554 €
    39 731 €
    35 757 €
    PS ou C + 1P
    71 515 €
    65 579 €
    47 780 €
    43 002 €
    PS ou C + 2P
    85 384 €
    78 550 €
    57 681 €
    51 913 €
    PS ou C + 3P
    101 589 €
    92 989 €
    67 854 €
    61 069 €
    PS ou C + 4P
    114 315 €
    104 642 €
    76 472 €
    68 824 €
    Majoration par P à partir de la 5e
    + 12 736 €
    + 11 659 €
    + 8 531 €
    + 7 677 €

    Légende :
    PS : Personne Seule
    C : Couple
    P : Personne à charge