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  • L’ACCES AU CREDIT IMMOBILIER S’AMELIORE POUR LES JEUNES ET LES MENAGES MODESTES

    L’ACCES AU CREDIT IMMOBILIER S’AMELIORE POUR LES JEUNES ET LES MENAGES MODESTES

    Selon l’Observatoire CSA / Crédit Logement, les taux de crédit immobilier continuent de battre des records à la baisse en se fixant à 2.03% en moyenne en avril 2015. En parallèle, les banques acceptent de prêter sur des durées plus longues, une combinaison favorable aux ménages jeunes et modestes qui accèdent davantage à l’emprunt.

    Si la chute des taux n’est pas une nouveauté, l’observatoire note que les ménages les plus jeunes (moins de 35 ans) et les plus modestes (moins de 3 Smic par mois) en bénéficient désormais. Ce qui n’était pas le cas auparavant. En effet, l’observatoire relève que ces ménages étaient écartés du marché il y a quelques années, généralement dû à un apport personnel insuffisant.
    Le recul des taux d’emprunt n’explique pas tout. Par rapport à fin mars 2014, la durée moyenne des prêts s’est allongée de huit mois pour atteindre 212 mois (17 ans et 8 mois). Une tendance qui profite massivement aux jeunes ménages : 61.2% des prêts accordés aux moins de 35 ans entre janvier et mars 2015 s’étalaient sur 20 ans ou plus, dont près de 25% sur 25 ans et plus.

    En définitive, quelque soit l’indicateur retenu, on est sur un marché de redémarrage rapide, tiré par les emprunteurs jeunes et/ou aux revenus modestes. Au premier trimestre 2015, l’accession est en progression de 16% ; le nombre d’accédants modestes s’élève à 19% et celui des moins de 35 ans augmente de 12%. Autre preuve de l’importance du retour de cette clientèle composée essentiellement de primo-accédants, l’apport personnel moyen chute de 15.1% sur un an.

  • RACHAT DE CREDIT IMMOBILIER PAR UNE AUTRE BANQUE OU COURTIER

    RACHAT DE CREDIT IMMOBILIER PAR UNE AUTRE BANQUE OU COURTIER

    [cs_content][cs_element_section _id= »1″ ][cs_element_layout_row _id= »2″ ][cs_element_layout_column _id= »3″ ][cs_element_text _id= »4″ ][/cs_element_layout_column][/cs_element_layout_row][/cs_element_section][/cs_content][cs_content_seo]Les taux de crédit immobiliers ont atteint un plancher historique. Les emprunteurs peuvent aujourd’hui prétendre à des taux fixes moyens de 1 , 70 % sur 15 ANS , 2,05 % sur 20 ANS , 2, 50 sur 25 ANS hors assurance.
    Ces taux très attractifs ne bénéficient pas forcément aux emprunteurs qui souhaitent traiter directement avec les banques, c’est pourquoi un Courtier spécialisé en Crédit Immobilier est là pour vous aider à obtenir la meilleure offre du marché (taux, assurance, montage….) Aujourd’hui, on considère un courtier comme un intermédiaire grossiste en taux qui s’impose comme un super technicien du crédit immobilier auprès des banques.
    Les taux de crédit ont chuté en 2 ans de près de 1 ,5 à 2 points en moyenne suivant les durées. PRESTA FINANCE peut encore faire descendre le coût de l’intérêt en obtenant des décotes particulières pour ces emprunteurs.Il est donc encore temps de faire racheter votre crédit immobilier en passant par un autre établissement.Notre expertise, notre savoir faire, notre ancienneté sur la place lyonnaise sont nettement imposés face à nos partenaires banquiers. Nous accompagnons les clients dans toute la démarche et nous négocions en plus des taux, les pénalités de remboursement anticipé que les banques ont du mal à accorder en direct à leur client.
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    A savoir :Le rachat du prêt est intéressent quand il y a une différence de taux quasiment de 1 point ; en effet, une différence de taux suffisante doit être observée pour compenser les frais relatifs au rachat.De plus, l’opération est souvent avantageuse pour les prêts contracté récemment, quand l’emprunt est au stade du remboursement des intérêts.Le rachat du prêt n’est pas intéressent si vous envisagez de vendre votre bien dans les 2 années qui viennent car les frais liés au rachat ne seront pas amortisPRESTA FIANCE, courtier spécialisé depuis près de 20 ans en CREDIT IMMOBILIER sur LYON vous accompagnera dans vos démarches. Un simulation gratuite en quelques minutes en contactant directement de nos conseillers.
     [/cs_content_seo]

  • PRET A TAUX ZERO (PTZ+) : MODIFICATIONS PREVUES AU 1er JANVIER 2015

    PRET A TAUX ZERO (PTZ+) : MODIFICATIONS PREVUES AU 1er JANVIER 2015

    Prolongation du PTZ jusqu’au 31 décembre 2017

    Modification du mode de calcul du revenu plancher pour l’éligibilité et la tranche de remboursement du PTZ
    Pour déterminer les ressources prises en compte pour le calcul du barème, le revenu plancher sera égal au montant d’opération divisé par 9 et non plus par 10
    Spécificités pour le « Neuf et assimilé Neuf (rendu neuf au sens fiscal du terme) »
    Suppression de la condition de performance énergétique : Il ne sera plus demandé à l’emprunteur de justifier du respect de la RT 2012 ou de l’obtention du label BBC (ou de la RTAA dans les DOM ou des exigences ad hoc dans la remise à neuf ou la transformation de local non destiné à l’habitation)
    Spécificités pour l’ « Ancien »
    Création d’un « PTZ Ancien sous conditions de localisation et de travaux »
    Réservé aux opérations situées dans les communes éligibles (nous consulter pour le projet d’arrêté de la liste des communes éligibles)
    Le montant des travaux réalisés doit représenter au moins 25% du coût total réglementaire (prix d’acquisition + travaux, hors frais d’acte notarié et frais d’enregistrement)
    Les travaux doivent être déterminés au moment de la demande de prêt mais peuvent être réalisés dans un délai de 3 ans à compter de la date d’émission de l’offre de prêt
    Travaux éligibles : travaux ayant pour objet la création de surfaces habitables nouvelles ou de surfaces annexes définies par arrêté, la modernisation, l’assainissement ou l’aménagement des surfaces habitables ou des surfaces annexes, ainsi que les travaux destinés à réaliser des économies d’énergies non financés par un Eco Prêt à Taux Zéro

    Suppression de l’obligation de décote de prix minimal de 10% sur l’estimation de France Domaines pour les logements issus du parc HLM
    Sont désormais éligibles au PTZ les logements issus du parc HLM dont le prix de vente est strictement inférieur à l’estimation faite par Frances Domaines. Les conditions d’éligibilité liées au bénéficiaire restent inchangées

    Ces informations sont données sous réserve de la promulgation de la loi de Finances pour 2015 dans sa version définitive et de la publication des décrets et arrêtés qui s’y réfèrent.
    Nous vous tiendrons informés dès parution de ces textes

  • DE NOUVEAUX ABATTEMENTS POUR LES DONATIONS DE LOGEMENTS NEUFS

    DE NOUVEAUX ABATTEMENTS POUR LES DONATIONS DE LOGEMENTS NEUFS

    Comme le gouvernement l’avait annoncé dans son plan de relance du logement, les donations de logements neufs devraient bénéficier, au terme de l’examen du projet de loi de finances pour 2015, d’un abattement supplémentaire de 100 000 € pour les transmissions en ligne directe (enfants, petits-enfants) ou consenties au profit du conjoint.
    L’abattement serait fixé à 45000 € pour les donations faites au profit d’un frère ou d’une sœur et à 35000 € pour tout autre bénéficiaire.
    Cet abattement exceptionnel devrait se cumuler avec les abattements de droit commun, si ces derniers n’ont pas été épuisés.
    Toutefois, alors que les abattements de droit commun (100 000 € lorsque la donation se fait au profit d’un enfant et 31865 € pour un petit-enfant) s’appliquent pour chaque bénéficiaire, l’abattement exceptionnel serait limité à 100 000 € par donateur. Ainsi, un couple ayant plusieurs enfants pourra leur transmettre sans droit de donation un logement qui pourrait leur servir de résidence secondaire et dont ils seraient ainsi propriétaires en indivision d’une valeur de 200 000 €, augmentée de 200 000 € par enfant si aucun des parents n’a déjà utilisé les abattements de droit commun.
    La donation devra être constatée par acte authentique et porter sur la pleine propriété d’un logement qui n’a jamais été occupé et dont le permis de construire a été délivré entre le 1er septembre 2014 et le 31 décembre 2016.

    Source : http://patrimoine.lesechos.fr

  • COMMENT FINANCER AU MIEUX SON INVESTISSEMENT IMMOBILIER ?

    COMMENT FINANCER AU MIEUX SON INVESTISSEMENT IMMOBILIER ?

    Dans la décision d’un achat immobilier, les niveaux de taux de crédit sont un élément clé. Ceux-ci n’ont jamais été aussi bas pour un futur propriétaire souhaitant financer son logement via un crédit immobilier.

    Quelles sont les pistes à suivre pour optimiser son prêt ?

    – Profiter des taux avant qu’ils ne remontent
    Les futurs propriétaires, qui suspendent leur projet dans l’attente d’une correction plus forte des prix, doivent toutefois prendre garde. Les faibles taux de crédit pourraient ne pas durer. Les banques soumises à de nouvelles contraintes réglementaires sur la liquidité et la solvabilité pourraient se retrouver dans la nécessité d’équilibrer le rapport entre les crédits qu’elles consentent et les dépôts collectés, ce qui les conduirait à relever progressivement leurs taux. Autre facteur en faveur d’une hausse : la remontée des taux longs en cas de reprise dans l’activité économique dans la zone euro, même si ce scénario n’est pas aujourd’hui très évident. L’entrée en vigueur depuis le 26 juillet de la loi Hamon, adoptée en mars 2014, pourrait aussi pousser à une hausse. Cette réforme autorise l’emprunteur à changer librement de contrat d’assurance, sans frais pendant un an à compter de la signature de l’offre de prêt. Or, les banques bénéficient sur ce produit de marges intéressantes, qui leur permettent parfois d’être plus avantageuses sur les taux de crédit immobilier. Dans ce nouveau contexte, elles pourraient prêter à des taux plus élevés. Ainsi, il faut rester attentif aux réajustements des banques dans les mois à venir.
    – Décrocher le meilleur taux
    Même quand les taux sont au plus bas, il n’est pas toujours aisé d’obtenir les meilleures conditions auprès de son conseiller habituel. Les banques doivent être mises en concurrence sur le taux de crédit immobilier. Passer par l’intermédiaire d’un courtier en crédit immobilier permet, outre le gain de temps, de donner accès à une marge de négociation supplémentaire. La période est donc particulièrement propice aux renégociations. Au-delà du taux, les professionnels du courtage ont pour mission de trouver la solution de financement la plus adéquate au regard de tous les éléments du prêt : durée, type, options comme le report d’échéance ou l’exonération des indemnités de remboursement anticipé, les garanties…
    – Peaufiner son profil bancaire
    Les futurs emprunteurs doivent soigner leurs dossiers. Revenus élevés et stabilité professionnelle ont naturellement la faveur des banques. Deux types de clients ont des atouts en main pour négocier au mieux leur prêt : d’un côté les jeunes de moins de 35 ans, cible prioritaire et à fort potentiel que les banques courtisent et qu’elles veulent fidéliser et de l’autre, les plus de 50 ans, aux revenus et à l’épargne élevés.
    Pour améliorer son profil bancaire, il est recommandé de démontrer sa capacité d’épargne. C’est moins le montant que la régularité de l’effort d’épargne qui importe. L’apport personnel est quasi indispensable aujourd’hui, il doit être au moins de 20%, hors frais, pour accéder à des conditions avantageuses.
    Il est aussi plus aisé d’acheter en couple que seul. Les revenus demandés à un célibataire sont proportionnellement plus élevés car le risque ne repose que sur une seule personne. Il en est de même pour le « reste-à-vivre », c’est-à-dire la somme restante une fois la mensualité du prêt remboursée.

  • RACHAT DE PRET

    RACHAT DE PRET

    Obligation à l’établissement d’origine de conserver le Prêt à Taux Zéro sous peine de sanctions dans le cas de rachat d’un prêt principal immobilier complémentaire ?

    Cette problématique a été évoquée par une question à l’Assemblée Nationale, la réponse du gouvernement étant la suivante :
    « Le Prêt à Taux Zéro, qui est destiné aux personnes physiques qui acquièrent un logement en vue de l’occuper à titre de résidence principale, constitue une avance remboursable ne portant pas intérêt, complémentaire à un ou plusieurs prêts immobiliers concourant au financement de l’opération. Le Prêt à Taux Zéro possède une autonomie complète pour participer au financement d’une opération d’accession à la propriété, même si sa gestion doit être coordonnée avec les autres prêts immobiliers.
    Conformément aux dispositions de l’arrêté interministériel du 2 octobre 1995 relatif aux conditions d’octroi du Prêt à Taux Zéro, les conditions de remboursement sont déterminées de façon définitive au stade de l’émission de l’offre de prêt.
    Selon les dispositions de l’article R. 317-6 du Code de la construction et de l’habitation, l’obligation de remboursement intégral du capital restant dû de l’avance existe uniquement dans le cas d’une mutation entre vifs du logement financé. Aucune disposition de la réglementation afférente au Prêt à Taux Zéro ne peut faire obstacle au remboursement préalable, du ou des prêts principaux, concourant au financement de l’opération. A cet égard, il n’est pas fait de distinction selon que le remboursement anticipé, du ou des prêts principaux, est dû à la mise en place d’un prêt substitutif par l’établissement d’origine, à un rachat par un établissement tiers ou à un apport personnel effectué par l’emprunteur.
    Une clause contractuelle qui comporterait une exigence de remboursement préalable du Prêt à Taux Zéro en cas de remboursement anticipé, partiel ou total, du ou des prêts principaux constituant une condition limitative de l’exercice du droit au remboursement par anticipation tel qu’institué à l’article L. 312-21 du Code de la consommation. Or ces dispositions étant d’ordre public en vertu de l’article L. 313-16 du même code, il ne peut y être dérogé par des conventions particulières. Non seulement de telles conventions ne peuvent être directement contraires aux dispositions légales impératives, mais elles ne peuvent pas davantage avoir pour effet de placer l’emprunteur dans une situation moins favorable que celle prévue par la loi.
    L’exécution du contrat par l’emprunteur ne peut pas valoir renonciation à la protection des dispositions d’ordre public.
    Dans ces conditions et sous réserve de l’appréciation souveraine du juge du contrat, la stipulation contractuelle prévoyant le remboursement préalable du Prêt à Taux Zéro revêt un caractère illicite. A défaut de parvenir à un accord avec l’établissement de crédit concerné, l’emprunteur pourra saisir le juge du contrat d’une action en nullité. »
    (Question publiée au JO le 02/08/1999 page 4668
    Réponse publiée au JO le 22/11/1999 page 6741)

    Ainsi, il appartient à chaque emprunteur de faire valoir auprès de sa banque son droit au remboursement anticipé du crédit immobilier principal au titre de l’article L. 312-21 du Code de la consommation. En cas de désaccord, le litige sera tranché par le juge civil, qui devra être en l’occurrence en principe le Tribunal de Grande Instance de Lyon.
    Par ailleurs, dans le cas où le contrat de prêt immobilier comporterait une clause contraire à l’article L. 312-21 du Code de la consommation (clause vous obligeant à racheter le Prêt à Taux Zéro en cas de rachat de prêt principal), l’emprunteur a la possibilité de porter plainte auprès de la Direction Départementale de la Protection des Populations. Cette action pourra rentrer dans le cadre de différentes missions de lutte contre les clauses abusives et les clauses illicites.

  • TAUX ZERO : Changements de zones géographiques applicables au 1er octobre 2014

    TAUX ZERO : Changements de zones géographiques applicables au 1er octobre 2014

    L’arrêté révisant le zonage en A, A bis, B1, B2 et C a été publié au Journal Officiel le 6 août 2014. Ce changement est applicable à partir du 1er octobre 2014.

    NOUVEAU ZONAGE
    1174 communes sont reclassées :
    – 187 communes reclassées en zone A
    162 communes anciennement classées en B1 :
    50 dans les Bouches-du-Rhône (Aix-en-Provence…)
    15 en Hérault (Montpellier…)
    7 dans le département du Nord (Lille…)
    2 dans le Rhône (Lyon et Villeurbanne)
    29 en Seine-et-Marne (Fontainebleau…)
    11 en Yvelines (Rambouillet…)
    26 dans le Var (Bandol…)
    3 en Essonne
    9 dans le Val-d’Oise (Beaumont-sur-Oise…)
    3 en Corse (Ajaccio, Porto-Vecchio et Bonifacio)

    25 communes anciennement classées en B2 :
    7 pour les Bouches-du-Rhône
    10 pour l’Hérault
    7 pour l’Oise
    1 en Haute-Savoie

    – 525 communes reclassées en zone B1
    358 communes anciennement classées en B2 :
    Beaucoup de communes des Bouches-du-Rhône et de l’Oise sont représentées
    Quelques grandes villes françaises : Caen, Dijon, Nîmes, Saint-Nazaire, Reims, Beauvais, Perpignan, Mulhouse, Le Havre, Amiens, Orange, Limoges…

    167 communes anciennement classées en zone C :
    18 départements sont concernés

    670 communes sont déclassées
    – 38 communes en zone A sont déclassées en zone B1
    Elles sont issues de 4 départements : Ain, Haute-Savoie, Seine-et-Marne et Yvelines

    – 13 communes en zone A sont déclassées en zone B2
    Cela concerne des communes de 3 départements (Alpes-Maritimes, Haute-Savoie et Var)

    – 619 communes en zone B1 sont déclassées en zone B2
    24 départements sont concernés : il s’agit principalement des départements de la grande banlieue parisienne, de la Moselle et des deux départements de la Corse

    La liste complète des communes est disponible sur le site du Ministère du Logement :
    http://www.territoires.gouv.fr/un-nouveau-zonage-a-b-c-applicable-des-le-1er-octobre-2014-pour-certains-dispositifs

    CONDTIONS DE RESSOURCES
    Personnes occupant le logement
    Zone A
    Zone B1
    Zone B2
    Zone C
    1
    33 000 €
    26 000 €
    24 000 €
    22 000 €
    2
    46 200 €
    36 400 €
    33 600 €
    30 800 €
    3
    56 100 €
    44 200 €
    40 800 €
    37 400 €
    4
    66 000 €
    52 000 €
    48 000 €
    44 000 €
    5
    75 900 €
    59 800 €
    55 200 €
    50 600 €
    6
    85 800 €
    67 600 €
    62 400 €
    57 200 €
    7
    95 700 €
    75 400 €
    69 600 €
    63 800 €
    8 et plus
    105 600 €
    83 200 €
    76 800 €
    70 400 €

    Les ressources prises en compte correspondent au plus élevé des 2 montants suivants :
    – la somme des revenus fiscaux de l’ensemble des occupants du logement pour l’année n-2
    – ou le coût total de l’opération divisé par 10

    MONTANTS MAXIMUM DE PRÊT

    Opérations dans le Neuf avec Label BBC 2005 ou RT 2012
    Opérations dans le Neuf PSLA avec DFA avant le 01/01/2012
    Quotité
    26%
    26%
    21%
    18%
    26%
    21%
    16%
    14%
    Personnes occupant logement
    Zone A
    Zone B1
    Zone B2
    Zone C
    Zone A
    Zone B1
    Zone B2
    Zone C
    1
    39 000 €
    35 100 €
    23 100 €
    18 000 €
    39 000 €
    28 350 €
    17 600 €
    14 000 €
    2
    54 600 €
    49 140 €
    32 340 €
    25 200 €
    54 600 €
    39 690 €
    24 640 €
    19 600 €
    3
    66 300 €
    59 800 €
    39 270 €
    30 600 €
    66 300 €
    48 300 €
    29 920 €
    23 800 €
    4
    78 000 €
    70 200 €
    46 200 €
    36 000 €
    78 000 €
    56 700 €
    35 200 €
    28 000 €
    5
    89 700 €
    80 860 €
    53 130 €
    41 400 €
    89 700 €
    65 310 €
    40 480 €
    32 000 €
    Evolutions Moyenne
    -24%
    15%
    27%
    26%
    -3%
    15%
    28%
    26%

    Ancien
    Logements issus du parc HLM
    Quotité
    10%
    10%
    10%
    10%
    Nombre de personnes destinées à occuper le logement
    Zone A
    Zone B1
    Zone B2
    Zone C
    1
    15 000 €
    13 500 €
    11 000 €
    10 000 €
    2
    21 000 €
    18 900 €
    15 400 €
    14 000 €
    3
    25 500 €
    23 000 €
    18 700 €
    17 000 €
    4
    30 000 €
    27 000 €
    22 000 €
    20 000 €
    5
    34 500 €
    31 100 €
    25 300 €
    23 000 €
    Evolutions Moyenne
    20,9%
    45,3%
    28%
    26,5%

    DISPOSITIFS CONCERNES

    Applicables au 1er octobre 2014
    – Le dispositif d’investissement locatif intermédiaire destiné aux particuliers
    Le nouveau zonage s’applique aux logements neufs ou assimilés ou en état futur d’achèvement, acquis à partir du 01/10/2014.
    Si le logement est en cours de construction, le nouveau zonage s’applique aux demandes de permis de construire déposées à partir du 01/10/2014.

    Les logements doivent se situer en zone A bis, A, B1. Ceux en zone B2 doivent faire l’objet d’un agrément délivré par le Préfet de Région. Les logements situés en zone C sont exclus du dispositif.

    – Exceptions
    Communes anciennement classées en zone A qui sont reclassées dans d’autres zones. Le nouveau zonage ne s’applique pas si la demande de permis de construire a été déposée avant le 01/10/2014 et si la signature de l’acte authentique intervient au plus tard dans les 18 mois qui suivent la délivrance du permis de construire ou si la promesse de vente a acquis une date certaine (enregistrement) avant le 01/10/2014.

    Communes anciennement classées B1 qui sont reclassées en B2. Le nouveau zonage ne s’applique pas si la demande de permis de construire a été déposée avant le 01/10/2014 et si la signature de l’acte authentique intervient au plus tard dans les 18 mois qui suivent la délivrance du permis de construire ou si la promesse de vente a acquis une date certaine (enregistrement) avant le 01/10/2014.

    Applicables au 1er janvier 2015
    – L’acquisition en zone ANRU (zone d’aménagement et de rénovation urbaine)
    Les logements doivent se situer en zone A bis, A, B1. Ceux en zone B2 doivent faire l’objet d’un agrément délivré par le Préfet de Région. Les logements situés en zone C sont exclus du dispositif.
    Le nouveau zonage ne s’applique pas si la demande de permis de construire a été déposée avant le 01/10/2014 et si la signature de l’acte authentique intervient au plus tard dans les 18 mois qui suivent la délivrance du permis de construire.

    – Les aides de l’ANAH (aides pour les travaux d’amélioration des logements)

    Applicables au 1er février 2015
    – Le Prêt Social Location Accession
    Application aux décisions favorables d’agrément délivrées à compter du 01/02/2015 (si les levées d’option sont financées par un PTZ+ ou un PAS, c’est la date d’émission de l’offre de prêt qui s’applique).

  • Le prix de l’argent

    Le prix de l’argent

    Marché immobilier déprimé, taux d’intérêt à des bas niveaux historiques : C’est le moment de solliciter un prêt immobilier. La récente décision de la Banque Centrale Européenne de baisser son taux principal (celui que payent les banques lorsqu’elles empruntent à la BCE) à 0,15% et fixer un taux de dépôt négatif pour les banques (les banques paieront pour stocker leur argent à la BCE) impactera-t-elle le niveau des taux de crédit immobilier ? Pas sûr. Où alors à la marge. Car on oublie souvent que les taux ne recouvrent pas la même réalité. La BCE fixe des taux à court terme, alors que l’immobilier s’inscrit dans le moyen et long termes. Les banques empruntent à taux variables mais prêtent à taux fixe. Pour comprendre cela, il faut revenir sur la formation du taux de crédit, à savoir le coût de la matière première et la marge de la banque.
    Le coût de l’argent dépend de trois facteurs : le taux de marché, la couverture de taux calculé en fonction de la structure des dépôts à vue et de la durée réelle des durées de prêts, souvent renégociées à la baisse, et le coût de la liquidité, lié à la qualité de la signature de la banque. La structure du bilan des banques peut donc influer sur les taux de crédits alors que les conditions de marché sont identiques.
    La marge dépend du risque de contrepartie, du coût de la « casse » et de la rémunération de la banque. Intervient la stratégie commerciale, plus ou moins agressive en fonction des efforts que l’établissement est prêt à faire pour conquérir un nouveau client. Sur dix ans, sans apport, hors assurance, les taux se situent entre 2,5% et 2,6%. Ils peuvent grimper à 2,75% sur vingt ans. Mais aujourd’hui, dans un marché immobilier déprimé, les banques sont prêtes à faire quelques efforts significatifs. Et là, intervient la qualité de signature de l’emprunteur où dans certains cas, les taux peuvent descendre à 2,2%.
    Le contexte est-il favorable à la renégociation ? Au printemps 2013, lors de la dernière vague de baisse des taux, beaucoup d’emprunteurs avaient demandé à renégocier leurs prêts immobiliers. Il semble que cela ne soit pas le cas cette année. Du moins pour l’instant, car les banquiers anticipent une très légère baisse des taux de marché au cours des six prochains mois, au mieux une stabilisation. Ils pourraient en revanche augmenter si la collecte se réduisait ou si un nouveau séisme, de types subprimes, se produisait.

  • EVOLUTIONS DU PRET A TAUX ZERO

    EVOLUTIONS DU PRET A TAUX ZERO

    Le PTZ+, devrait être prolongé en 2015 et se recentrer sur des zones géographiques (celles-ci ne ne sont pas encore connues). Cela s’adresserait aux ménages les plus modestes et aux classes moyennes. Ces évolutions ont pour objectif d’augmenter de plus de 60% le nombre de Prêts à Taux Zéro distribués, qui passerait de 44 000 à plus de 70 000 par an.
    Le Conseil des Ministres du 25 juin 2014 a annoncé les modifications suivantes qui seraient adoptées :
    A compter du 1er octobre 2014
    – Augmentation des plafonds de ressources : ce plafond serait élargi pour les classes moyennes
    – Augmentation des quotités et des montants maximum de prêt
    – Amélioration des conditions de remboursement : introduction d’un nouveau profil de prêt avec un différé total de 7 ans sur le PTZ+ probablement d’une durée globale de 25 ans (soit 7 ans de différé total + 18 ans d’amortissement)
    – Révision du zonage : ajustement du zonage A/B1/B2/C pour quelques villes dans le but de favoriser la construction de logements en zones tendues

    A compter de 2015
    – Ouverture du Prêt à Taux Zéro à l’achat de logements anciens à réhabiliter sur quelques territoires en zone rurale

    Le Prêt à l’Accession Sociale (PAS) est également concerné par ces mesures : tous les plafonds de ressources du Prêt à l’Accession Sociale seraient alignés sur ceux du Prêt à Taux Zéro afin de sécuriser sur l’Accession Sociale et de permettre à un plus grand nombre d’acquéreurs de bénéficier d’un PAS.

  • 4 moyens de réduire le coût d’un crédit immobilier

    4 moyens de réduire le coût d’un crédit immobilier

    1- Négocier les frais de dossier de la banque
    Il est toujours possible de négocier une partie de ces frais. Ils sont facturés entre 1 et 1,5% du montant emprunté et sont réglés lors de la souscription. PRESTA FINANCE a négocié ces frais forfaitairement avec toutes les banques de l’ordre de 300 €.

    2- Faire un prêt complémentaire
    Même si les montants sont plafonnés, ces petits prêts sont octroyés à des taux préférentiels.
    Dans le cas d’un investissement au titre de la résidence principale neuve, un prêt à taux zéro (PTZ) peut être proposé. Ce crédit, sans intérêt, s’adresse aux personnes achetant pour la première fois et soumis à revenus. De plus, le logement doit être aux normes écologiques (RT 2012 ou bien norme BBC).
    Il existe également le prêt proposé par Action Logement (ex-1% Logement). Afin de souscrire à cet emprunt, il faut être salarié d’une entreprise privée d’au moins 10 personnes. Il permet de compléter le financement l’acquisition immobilière.

    3- Réduire le coût de l’assurance du prêt
    L’assurance de prêt représente une part important du coût du crédit. Néanmoins, il est possible d’économiser dessus en optant pour la délégation d’assurance et non pas le contrat groupe proposé par la banque prêteuse.

    4- Economiser sur la garantie
    La garantie financière la mieux adaptée doit être choisie. Différentes garanties existent :
    – L’hypothèque : elle se fait sur le bien immobilier à financer en cours de construction ou sur un autre logement libre d’hypothèque détenu par l’emprunteur. Un acte authentique rédigé par le notaire est inscrit à la conservation des hypothèques.
    – Le Privilège de Prêteur de Deniers : Cette garantie moins onéreuse s’applique aux logements anciens.
    – La Caution Mutuelle : Elle n’exige pas de formalités. Elle est toutefois subordonnée au bon vouloir de la société de caution consultée. Cependant, une somme comprise entre 1,5% et 3% du montant emprunté est exigée. En effet, ce sont des organismes financiers qui se portent caution au regard de la banque. Au terme du prêt immobilier, une partie de la somme versée peut ou non être restituée.