Catégorie : Conseils

  • Le lissage d’un prêt immobilier : définition

    Le lissage d’un prêt immobilier : définition

    Qu’appelle-t-on le lissage d’un prêt immobilier ? Si vous souhaitez acheter un bien immobilier, il se peut que vous ayez déjà en cours des crédits à rembourser comme des crédits à la consommation. Pour pouvoir tout de même acheter et optimiser le montant de vos mensualités ainsi que la durée de tous ces prêts, vous pouvez avoir besoin de ce que l’on appelle un lissage de crédits. Le fait de lisser un prêt immobilier permet de recalculer vos échéances mensuelles, le temps que vos crédits en cours soient remboursés.

    Ainsi, grâce au lissage de prêt immo, vous pouvez faire débuter le paiement des mensualités plus tard. Lisser un prêt immobilier vous permet donc d’emprunter sans contraintes malgré les différents crédits auxquels vous avez déjà souscrits tout en bénéficiant d’un report de vos remboursements mensuels. Vous pouvez devenir propriétaires sans contraintes, vous gérez mieux votre budget et vous remboursez vos crédits de manière constante chaque mois. Un lissage de prêt immobilier concerne également les prêts à taux zéro, les prêts 1% employeur ou encore les PEL qui ont des durées de remboursement assez courtes et surtout imposées.

    Presta Finance vous permet d’accéder à un lissage de prêt immobilier en toute simplicité. Lorsque l’on a contracté plusieurs crédits, l’achat d’un bien immobilier peut paraît irréalisable. Voilà pourquoi Presta Finance étudie votre dossier avec attention et vous propose toujours la meilleure solution, et lisser votre prêt peut être celle-ci.

  • Rachat crédit immobilier

    Rachat crédit immobilier

    Pourquoi c’est le moment de demander un rachat de crédit immobilier ?

    Le rachat de crédit immobilier a été mis en place pour convenir aux besoins des emprunteurs qui ont contracté un ou plusieurs prêts. Cela consiste à renégocier les crédits et à les regrouper pour bénéficier d’un seul et unique taux de remboursement. Le but principal est de trouver un meilleur taux ou de diminuer le montant des mensualités, ou encore les deux en même temps.

    Depuis plusieurs mois, les taux immobiliers ne cessent de chuter. En ce moment, on enregistre même les taux les plus bas de ces dernières années. C’est pourquoi de plus en plus d’emprunteurs se tournent vers le rachat de crédit immobilier en vue d’obtenir un coût global de prêt diminué.

    En effet, c’est le bon moment pour faire appel à un courtier immobilier comme Presta Finance. Un professionnel peut vous accompagner dans votre démarche et faire jouer ses connaissances du secteur pour négocier au mieux les taux. Il met en concurrence son réseau de partenaires bancaires, ainsi que leurs offres de regroupement de crédit pour vous proposer la solution la plus adaptée.

    Si vous souhaitez en savoir davantage sur le rachat de crédit immobilier, n’hésitez pas à nous contacter.

  • Prêt à taux fixe modulable

    Prêt à taux fixe modulable

    Quels sont les avantages d’un prêt à taux fixe modulable ?

    Un prêt à taux fixe modulable est comme son nom l’indique un crédit dont le taux d’intérêt est figé pendant toute la durée du remboursement mais dont les mensualités peuvent être réduites ou augmentées selon les circonstances. C’est l’un des types de prêt les plus sollicités pour un crédit immobilier, car il offre une grande souplesse.

    En effet, il est ainsi possible d’ajuster les remboursements en fonction des revenus du foyer. Par exemple en cas de besoin ou de dépenses imprévues, le bénéficiaire peut baisser ses mensualités. La durée totale du prêt s’ajuste quant à elle par rapport à la somme initiale à rembourser. Sous certaines conditions et selon le contrat, il est même possible de suspendre les mensualités pendant un certain temps.

    Par conséquent, en augmentant la valeur des remboursements, la durée du crédit sera diminuée. Vous avez l’occasion de réaliser des économies en bénéficiant de cette solution qui vous offre la possibilité de raccourcir le prêt. Selon les établissements bancaires, la hausse des mensualités est soumise à un plafonnement et peut varier de 10% à 30%.

    Le prêt à taux fixe modulable vous offre ainsi une marge de manœuvre en faisant évoluer votre prêt en fonction de votre situation. Le taux inchangé vous évite quant à lui les mauvaises surprises.

  • Immobilier: c’est le moment d’acheter !

    Immobilier: c’est le moment d’acheter !

    Les taux de crédit restent à un niveau historiquement bas, les prix ont baissé et les vendeurs négocient. Tous les ingrédients sont réunis pour inciter les acheteurs à réaliser leur projet. PRESTA FINANCE vous aide avec ce tour complet du marché.
    De nombreux acheteurs ont repris le chemin des agences, après des années de doute et d’attentisme. Le niveau historique des taux de crédit, la correction des prix, plus ou moins forte selon les régions – mesurée à Paris et dans les grandes métropoles, importante dans les villes moyennes -, ont encouragé les familles à envisager à nouveau un projet de déménagement. Depuis 2011, le pouvoir d’achat immobilier a augmenté de 25%.
    Un assainissement bénéfique et nécessaire, qui sort le secteur de sa longue torpeur. Dans l’ancien, le frémissement du printemps et du début d’été est une divine surprise. Dans le neuf, c’est presque l’euphorie: les ventes, en pleine dégringolade en 2014, ont bondi, au premier trimestre 2015, de près de 15%, en province comme en région parisienne.
    Profiter d’une opportunité
    Pourtant, en cette rentrée, tout emballement serait prématuré. L’équilibre et l’engouement des acheteurs reste fragile: la situation économique française et européenne, avec la crise grecque, inquiète, comme l’alourdissement de la fiscalité ou la hausse continue du chômage, et empêche de se projeter trop loin dans l’avenir.
    Le soufflé peut vite retomber, notamment si les taux augmentent un peu trop – ils ont déjà gagné +0,2% en juillet – et si les prix, en voie de stabilisation, repartent à la hausse. Raison de plus pour profiter de cette opportunité, et de se lancer à la recherche de son nouveau toit. C’est vraiment le moment !
    Pour une fois, l’hirondelle a fait le printemps. Après un premier trimestre encore maussade, le marché a subitement retrouvé des couleurs. Dans l’ancien, les agences ont vu revenir des acquéreurs plus décidés que jamais. Les transactions, elles, se réalisent de plus en plus rapidement. Chez Guy Hoquet, par exemple, les délais de vente ont baissé de quinze jours depuis la fin de 2014. De quoi dégonfler les stocks d’appartements, parfois en vitrine depuis six mois ou un an!

    Dans le neuf, le décollage est encore plus flagrant. Partout, les ventes se sont accélérées au printemps. Chez Kaufman & Broad, elles ont grimpé de 31% entre le premier et le deuxième trimestre.
    Un engouement, essentiellement dû à un retour en force des investisseurs privés. Ce type d’acheteurs providentiels est passé de 30% entre 2011 et 2014, à 50% en 2015.
    Le phénomène est encore plus prononcé en province. La volonté du gouvernement de relancer le secteur, accompagnée du dispositif fiscal Pinel, plus souple et plus avantageux que le précédent, a fait revenir ceux qui veulent acheter pour louer.
    Les primo-accédants de retour, mais en nombre insuffisant
    Cet élan unanime a fait exploser les demandes de crédits. A la fin du printemps, les banques ont été submergées par un flot de dossiers impressionnant. Pourquoi un tel réveil, aussi soudain qu’inattendu ? Les raisons ne manquent pas. D’abord, les acheteurs ne pouvaient plus repousser éternellement leur projet immobilier.
    Après quatre années de retenue, pendant lesquelles seules les ventes contraintes (divorce, mobilité professionnelle) ont alimenté le marché – moins de 700000 transactions pour la France entière en 2014 -, l’attente a soudain paru trop longue, voire impossible.
    Le mouvement a été ensuite amplifié par l’anticipation, de la part des acquéreurs, de la hausse des taux d’emprunt, annoncée depuis quelques mois et effective – mais plutôt limitée – depuis juillet. Cette perspective a incité les acheteurs à conclure le plus rapidement possible. Depuis plus d’une décennie, l’immobilier vit sous perfusion des crédits. Elle a fortement contribué à solvabiliser les ménages, souvent incapables de devenir propriétaires sans ce précieux soutien.
    La baisse des prix a enfin été un vrai élément déclencheur dans la prise de décision. Certes, ils n’ont chuté que très progressivement, décrochant davantage en province – jusqu’à 20 à 30% dans certaines villes moyennes au marché sinistré – qu’en Ile-de-France, et particulièrement à Paris (- 6% en moyenne en trois ans). Cette décrue encourage les acheteurs à pousser leur avantage et à négocier sans relâche. Une demande facilitée par l’assouplissement de l’attitude des vendeurs.

  • Les taux de crédit rendent le contexte idéal pour l’achat immobilier

    Les taux de crédit rendent le contexte idéal pour l’achat immobilier

    En cette rentrée 2015, le contexte est idéal pour acheter, notamment si l’on tient compte des taux de crédit immobilier qui n’ont toujours pas remonté, et ne dépassent pas les 3 %.

    Des taux d’emprunt qui se maintiennent à des niveaux très bas
    Cela fait plusieurs mois que vous ne cessez de l’entendre : les taux d’intérêt se maintiennent à des niveaux historiquement bas et rendent le contexte propice aux achats immobiliers. Si l’on a pu relever une légère hausse en début d’été, de l’ordre de 0,20 %, l’attractivité des taux n’en est pas affectée dans l’absolu, étant donné que cette hausse infime n’a touché que les taux qui avaient atteint des niveaux historiques.

    D’autres facteurs peuvent vous inciter à acheter un bien immobilier
    Si les taux d’emprunt suscitent votre attention, d’autres paramètres rendent cette période de rentrée 2015 favorable à l’achat immobilier. Vous pouvez en effet compter sur des prix qui stagnent voire qui tendent à diminuer partout en France, quelle que soit la taille de la ville où vous souhaitez acheter.
    De plus, les banques accordent toujours des prêts immobiliers, ce qui leur permet d’attirer de nouveaux clients. Cependant, elles n’acceptent que les dossiers relativement solides, et n’accordent de prêts qu’aux emprunteurs qui présentent un dossier modèle. Le profil-type de l’emprunteur modèle n’a en réalité pas évolué : les banques accordent leur confiance aux emprunteurs bénéficiant d’un CDI depuis plus d’un an, dont les revenus sont stables et le taux d’endettement raisonnable. L’octroi de prêts à 110 % (comprenant les frais de notaire) se fait quant à lui, bien plus rare.
    Bon à savoir
    Vous devez compter sur des délais de traitement des dossiers rallongés, les banques devant à présent faire face à une multitude de demandes de négociation des taux d’intérêt. Prévoyez 70 jours, au lieu de 35 jours en moyenne auparavant.

  • Immobilier : Comment évolue le marché à Lyon ?

    Immobilier : Comment évolue le marché à Lyon ?

    Selon la dernière note de conjoncture de l’agence immobilière Laforêt portant sur l’évolution du marché immobilier lyonnais entre le premier semestre 2014 et celui de 2015, le retour des mutations professionnelles annonce une reprise de l’économie.
    Les agences de Lyon intra-muros constatent en effet une hausse sensible de la demande, dont 20% pour mutation professionnelle. « Ce qui augure une forte attractivité pour les entreprises qui se lancent dans une délocalisation vers Lyon, principalement des activités du tertiaire » souligne un communiqué. De nombreux chantiers redémarrent, en particulier dans le quartier Part-Dieu où 2 000 logements sont en projet de construction. Ce développement économique dynamisera en parallèle le marché de l’ancien.

    Représentant 35% de la demande, ce sont les primo-accédants qui progressent le plus avec une hausse de 15%.
    Les secundo-accédants évoluent plus modestement avec 3% de progression et représentent 57% de la demande.
    Enfin, les investisseurs augmentent de 2% mais ne représentent que 8% de la demande totale. Ces derniers sont plus attirés par la défiscalisation proposée dans le neuf. Ils craignent également un plafonnement des loyers sur Lyon comme à Paris.

    Les acheteurs recherchent en priorité des appartements récents et fonctionnels et ils sont prêts à en payer le prix. Leur budget se situe à 350 000 € maximum pour un appartement des années 90, 3 pièces avec balcon et garage. Les apports sont en moyenne de 30%.

    Enfin selon Laforêt, « la baisse des prix s’établit aujourd’hui à -3,5% alors que Lyon a fait partie des villes les plus tardives à baisser. La plus forte baisse concerne l’ancien avec travaux, même bien situé ».

    Source : http://www.leprogres.fr

  • LES JEUNES ACQUEREURS SONT DE RETOUR A L’ACHAT

    LES JEUNES ACQUEREURS SONT DE RETOUR A L’ACHAT

    Devenir propriétaire n’est plus un rêve inaccessible pour les jeunes ménages. Après avoir déserté le marché immobilier, ces jeunes sont de retour grâce à des taux d’intérêt qui restent historiquement attractifs. Les primo-accédants progresser de 35% contre 31%.
    Des jeunes en couple âgés de 25 à 34 ans
    Acheter un bien immobilier est avant tout l’accomplissement d’un projet de couple : c’est le profil de 80% des primo-accédants. Plus de la moitié ont un ou plusieurs enfants. Seuls 20% des célibataires se lancent dans cette aventure. Leur niveau de revenu est assez élevé : 46% déclarent toucher plus de 3.000 euros par mois.
    >Ils rêvent d’une maison
    Pour leur premier achat, les jeunes aspirent dans 63% des cas à une maison ou à un pavillon déjà construits. Seuls 37% ont envie d’un appartement dans l’ancien. Pour concrétiser leur projet, ils sont prêts à des concessions, y compris à s’éloigner des grandes agglomérations. Près d’une transaction sur deux se fait dans les villes de moins de 20.000 habitants. 28% des couples optent pour les communes rurales.
    Ils disposent d’un budget de 164.000 euros
    Il s’agit d’une moyenne qui varie beaucoup selon la taille de l’agglomération : en région parisienne par exemple, les jeunes disposent d’une enveloppe de 223.000 euros frais d’agence et de notaire inclus tandis que dans les communes rurales, elle est de 146.000 euros.
    Un tiers n’a pas d’apport
    68% des primo-accédants disposent d’un apport personnel. Dans cette catégorie, ce sont majoritairement des cadres, en couple et sans enfant, qui grâce à un niveau de vie aisée ont réussi à épargner 31.000 euros en moyenne. 33 % se sont faits aider par la famille.
    Ils empruntent auprès des banques
    Avec ou sans apport, les banques sont prêtes à jouer le jeu. Décrocher un prêt immobilier s’impose comme le passage incontournable pour 87% des personnes sondées. Une démarche qui s’est révélée globalement plus facile que prévue notamment pour ceux réalisant un achat entre particuliers et qui disposant d’un budget de moins de 100.000 euros.
    Ils profitent des dispositifs d’aide
    Pour boucler le financement de leur achat, 61% des avouent avoir bénéficié d’un dispositif d’aide. On trouve en premier lieu des personnes élevant seules des enfants aux revenus modestes. Il y a également l’aide du prêt à taux zéro pôur les personnes qui s’orientent dans sur un projet neuf.
    7 mois pour réaliser leur achat
    C’est le temps qui s’écoule entre le début des recherches et la remise des clés chez le notaire. 9 primo-accédants sur 10 ont fait leur acquisition moins d’un an après avoir engagé les premières démarches. Dans les grandes villes, les transactions s’effectuent en grande majorité via les agences immobilières. D’ailleurs, dans la recherche de l’appartement de nos rêves, l’agent immobilier est perçu comme l’un des meilleurs conseillers, au même titre que les parents et le banquier.

    Article réalisée d’après un sondage de l’agence immobilière Guy Hoquet

  • LYON, DEUXIEME MEILLEURE VILLE OU INVESTIR DANS L’IMMOBILIER

    LYON, DEUXIEME MEILLEURE VILLE OU INVESTIR DANS L’IMMOBILIER

    La ville de Lyon arrive en effet en deuxième position du classement des dix villes où investir.
    Lyon qui a récemment atteint le demi-million d’habitant est vanté pour son dynamisme. Avec une démographie et un marché de l’emploi en développement, un pôle universitaire fort, il était nécessaire pour la ville que son parc immobilier puisse répondre à la demande.

    La ville de Lyon se place derrière Toulouse mais détrône Nantes, qui repasse à la troisième position.
    Lyon , Une ville attractive
    Pour mesurer l’attractivité des villes, les spécialistes de l’immobilier ont regardé l’évolution démographique, de l’emploi et se sont concentrés sur les chiffres de l’immobilier à l’achat et à la location. Malgré une légère baisse des prix observée à l’acquisition (-0,7% dans le neuf) et à la location (-2.2% pour les studios), la ville, qui voit sa population croître de 5% et le nombre d’étudiants de 2,6% fait partie des plus dynamiques. «Lyon offre à ceux qui cherchent à investir dans l’immobilier de solides fondamentaux. Parallèlement, elle peaufine son image, utilisant ses grandes friches urbaines pour des réaménagements d’ampleur : Lyon Confluence, Lyon Part-Dieu, Carré de Soie ou encore Gerland», précisent les spécialistes de l’immobilier.
    Dans la plupart de ces quartiers, logements, équipements publics, bureaux, commerces… s’y construisent pour accueillir les entreprises et la population. Dans le neuf, le nouveau zonage qui fait passer Lyon de B1 en en zone A améliore les rendements avec le dispositif Pinel.

    A noter que Villeurbanne prend la 6e place de ce classement.
    Article réalisée d’après l’étude faite par Explorimmo et Explorimmoneuf pour la quatrième édition du palmarès des dix villes où investir en France.

  • L’INVESTISSEMENT LOCATIF A LYON ET DANS SES COMMUNES ENVIRONNANTES

    L’INVESTISSEMENT LOCATIF A LYON ET DANS SES COMMUNES ENVIRONNANTES

    L’investissement immobilier locatif est un moyen de vous constituer un patrimoine, de générer des revenus complémentaires, de protéger vos proches tout en réduisant vos impôts.
    L’investissement peut en effet être optimisé grâce à des avantages fiscaux qui réduisent l’impôt sur le revenu.
    Attention, l’avantage fiscal, la réduction d’impôt, ne doit pas être la seul motivation de votre projet.
    L’investissement locatif est le seul placement permettant de se constituer un patrimoine financé à crédit, dont la plus grande partie est payée grâce aux loyers que vous percevez, le solde étant réglé par une économie d’impôt et un effort d’épargne réduit.
    Pour réussir votre investissement immobilier, Presta Finance pourra vous conseiller :
    Sur le dispositif le mieux adapté à votre situation : location classique, ou dans le cadre d’un loi fiscal, le type de bien (studio, T1, maisons, résidence étudiante, murs commerciaux)
    Des conseils sur le choix de l’investissement : neuf ou ancien, à rénover, son emplacement, les commodités environnantes
    Des conseils pour le financement de votre projet locatif : avec ou sans apport, prêt classique ou prêt in fine, durée, taux fixe taux variable plafonné

  • Renégocier son prêt immobilier : quand et comment procéder

    Renégocier son prêt immobilier : quand et comment procéder

    Selon les chiffres de la banque de France, en juillet 2014, la part des renégociations et rachats dans les nouveaux crédits à l’habitat atteignait respectivement 6% et 7%, alors que ces opérations représentaient 35% des flux de crédits en 2013. Pourtant, ceux qui parviennent à renégocier leur prêt réalisent, en moyenne, 25 000 euros d’économies.

    Pourquoi renégocier son prêt immobilier
    Renégocier ou faire racheter son crédit immobilier revient à obtenir une diminution du taux de son prêt. Cette baisse du taux permet alors, soit de :
    réduire le montant de ses mensualités pour le reste de la durée de remboursement
    réduire sa durée de remboursement en conservant les mêmes mensualités.

    Condition pour renégocier son prêt immobilier
    Revisiter son crédit n’est pas toujours une opération rentable. Pour que ce soit le cas, plusieurs conditions doivent être réunies :
    L’écart entre le taux d’origine et le taux actuel doit être d’au moins 1 point. Pas besoin d’avoir emprunté dans les années 2000 pour satisfaire ce premier critère. Rien qu’entre décembre 2013 et mars 2015, les taux moyens des prêts ont reculé de 0,97 point dans l’ancien, à 2,11%, d’après les données de l’Observatoire Crédit Logement/CSA, et de 0,92 point dans le neuf, à 2,30%. La règle existe, mais elle peut être assouplie.
    La loi d’un capital restant dû minimum n’est, elle, pas dérogeable.
    La durée restante de remboursement doit être conséquente. Pourquoi ? Parce qu’il faut que le gain financier de la renégociation ou surtout du rachat soit supérieur aux frais engendrés (voir plus loin). De manière générale, une durée restante du prêt en cours doit être supérieure à la durée écoulée pour couvrir les frais liés au rachat de prêt. »
    Dernier point, ceux qui désirent vendre leur bien rapidement n’ont pas intérêt à faire racheter leur crédit : cette opération engendre souvent des frais de remboursement anticipé, plafonnés à 3% du capital restant dû avant remboursement, qu’ils n’auraient pas le temps d’amortir.

    Comment renégocier son prêt immobilier
    PRESTA FINANCE, votre courtier en crédit immobilier connait la politique commerciale de chaque banque sur le bout des doigts et a toutes les cartes en main pour vous décrocher le taux de financement le plus bas.

    Frais de renégociation de prêt immobilier
    Comme dit plus haut, renégocier un prêt immobilier peut engendrer des frais de dossier sur lesquels il faut se renseigner avant toute prise de décision : frais de remboursement anticipés réclamés par l’établissement bancaire du crédit original ou encore les diverses assurances inhérentes à tout crédit immobilier.