Catégorie : Investissement

  • Cautionnement immobilier : Vers un système plus transparent

    Cautionnement immobilier : Vers un système plus transparent

    L’Autorité de la concurrence appelle à plus de transparence dans les contrats de cautionnement proposés aux emprunteurs immobiliers. Tant dans l’information que dans les tarifs.

    Dans un avis publié le jeudi 9 juillet, l’Autorité de la concurrence veut remettre de l’ordre dans le cautionnement immobilier. Saisi par l’association UFC-Que Choisir, qui dénonçait un « marché sclérosé », « tenu à 95 % par les banques », l’organisme chargé de lutter contre les pratiques anticoncurrentielles a enquêté sur le dispositif largement utilisé par les banques, qui permet à un organisme prêteur de se porter garant de l’emprunteur en cas de difficultés à rembourser son crédit.

    Des tarifs variables
    Premier constat : les tarifs de ces organismes sont variables en fonction du service fourni à l’emprunteur. « Le taux de commissionnement peut varier de 0,5 points de pourcentage, ce qui équivaut à une différence en valeur absolue de 1 000 euros pour un prêt de 200 000 euros », indique l’Autorité de la concurrence. Les grilles devront être plus claires, l’autorité administrative appelant à une « information tarifaire complète » pour que les emprunteurs puissent choisir entre les offres de crédit immobilier assorties des garanties correspondantes. Ils devront ainsi avoir notamment accès, outre le TEG (taux effectif globale, élément obligatoire qui représente le coût « réel » du prêt sans les frais annexes), aux intérêts du crédit, aux frais d’assurance et de garantie.

    Un découplage pas recommandé
    L’Autorité de la concurrence se montre en revanche « réservée» sur un découplage de l’offre de crédit et de l’offre de cautionnement, préconisé par les associations de consommateurs. En effet, dans la plupart des cas, l’emprunteur ne peut pas librement choisir la société qui se portera caution de son remboursement. L’option étant le plus souvent limitée aux organismes partenaires de l’établissement de crédit, qui privilégie généralement ses propres filiales de cautionnement. Or, l’avis juge sur ce point que « l’offre de cautionnement bénéficie en effet exclusivement aux établissements prêteurs à qui il appartient de sélectionner l’organisme de caution en fonction, notamment, de sa gestion du risque, de sa notation financière, des modalités d’indemnisation et de recouvrement et du prix proposé, qui influera sur la compétitivité des offres de prêt ». Il sera donc difficile de faire jouer la concurrence sur tous les fronts…

  • Immobilier : Comment évolue le marché à Lyon ?

    Immobilier : Comment évolue le marché à Lyon ?

    Selon la dernière note de conjoncture de l’agence immobilière Laforêt portant sur l’évolution du marché immobilier lyonnais entre le premier semestre 2014 et celui de 2015, le retour des mutations professionnelles annonce une reprise de l’économie.
    Les agences de Lyon intra-muros constatent en effet une hausse sensible de la demande, dont 20% pour mutation professionnelle. « Ce qui augure une forte attractivité pour les entreprises qui se lancent dans une délocalisation vers Lyon, principalement des activités du tertiaire » souligne un communiqué. De nombreux chantiers redémarrent, en particulier dans le quartier Part-Dieu où 2 000 logements sont en projet de construction. Ce développement économique dynamisera en parallèle le marché de l’ancien.

    Représentant 35% de la demande, ce sont les primo-accédants qui progressent le plus avec une hausse de 15%.
    Les secundo-accédants évoluent plus modestement avec 3% de progression et représentent 57% de la demande.
    Enfin, les investisseurs augmentent de 2% mais ne représentent que 8% de la demande totale. Ces derniers sont plus attirés par la défiscalisation proposée dans le neuf. Ils craignent également un plafonnement des loyers sur Lyon comme à Paris.

    Les acheteurs recherchent en priorité des appartements récents et fonctionnels et ils sont prêts à en payer le prix. Leur budget se situe à 350 000 € maximum pour un appartement des années 90, 3 pièces avec balcon et garage. Les apports sont en moyenne de 30%.

    Enfin selon Laforêt, « la baisse des prix s’établit aujourd’hui à -3,5% alors que Lyon a fait partie des villes les plus tardives à baisser. La plus forte baisse concerne l’ancien avec travaux, même bien situé ».

    Source : http://www.leprogres.fr

  • LES JEUNES ACQUEREURS SONT DE RETOUR A L’ACHAT

    LES JEUNES ACQUEREURS SONT DE RETOUR A L’ACHAT

    Devenir propriétaire n’est plus un rêve inaccessible pour les jeunes ménages. Après avoir déserté le marché immobilier, ces jeunes sont de retour grâce à des taux d’intérêt qui restent historiquement attractifs. Les primo-accédants progresser de 35% contre 31%.
    Des jeunes en couple âgés de 25 à 34 ans
    Acheter un bien immobilier est avant tout l’accomplissement d’un projet de couple : c’est le profil de 80% des primo-accédants. Plus de la moitié ont un ou plusieurs enfants. Seuls 20% des célibataires se lancent dans cette aventure. Leur niveau de revenu est assez élevé : 46% déclarent toucher plus de 3.000 euros par mois.
    >Ils rêvent d’une maison
    Pour leur premier achat, les jeunes aspirent dans 63% des cas à une maison ou à un pavillon déjà construits. Seuls 37% ont envie d’un appartement dans l’ancien. Pour concrétiser leur projet, ils sont prêts à des concessions, y compris à s’éloigner des grandes agglomérations. Près d’une transaction sur deux se fait dans les villes de moins de 20.000 habitants. 28% des couples optent pour les communes rurales.
    Ils disposent d’un budget de 164.000 euros
    Il s’agit d’une moyenne qui varie beaucoup selon la taille de l’agglomération : en région parisienne par exemple, les jeunes disposent d’une enveloppe de 223.000 euros frais d’agence et de notaire inclus tandis que dans les communes rurales, elle est de 146.000 euros.
    Un tiers n’a pas d’apport
    68% des primo-accédants disposent d’un apport personnel. Dans cette catégorie, ce sont majoritairement des cadres, en couple et sans enfant, qui grâce à un niveau de vie aisée ont réussi à épargner 31.000 euros en moyenne. 33 % se sont faits aider par la famille.
    Ils empruntent auprès des banques
    Avec ou sans apport, les banques sont prêtes à jouer le jeu. Décrocher un prêt immobilier s’impose comme le passage incontournable pour 87% des personnes sondées. Une démarche qui s’est révélée globalement plus facile que prévue notamment pour ceux réalisant un achat entre particuliers et qui disposant d’un budget de moins de 100.000 euros.
    Ils profitent des dispositifs d’aide
    Pour boucler le financement de leur achat, 61% des avouent avoir bénéficié d’un dispositif d’aide. On trouve en premier lieu des personnes élevant seules des enfants aux revenus modestes. Il y a également l’aide du prêt à taux zéro pôur les personnes qui s’orientent dans sur un projet neuf.
    7 mois pour réaliser leur achat
    C’est le temps qui s’écoule entre le début des recherches et la remise des clés chez le notaire. 9 primo-accédants sur 10 ont fait leur acquisition moins d’un an après avoir engagé les premières démarches. Dans les grandes villes, les transactions s’effectuent en grande majorité via les agences immobilières. D’ailleurs, dans la recherche de l’appartement de nos rêves, l’agent immobilier est perçu comme l’un des meilleurs conseillers, au même titre que les parents et le banquier.

    Article réalisée d’après un sondage de l’agence immobilière Guy Hoquet

  • LYON, DEUXIEME MEILLEURE VILLE OU INVESTIR DANS L’IMMOBILIER

    LYON, DEUXIEME MEILLEURE VILLE OU INVESTIR DANS L’IMMOBILIER

    La ville de Lyon arrive en effet en deuxième position du classement des dix villes où investir.
    Lyon qui a récemment atteint le demi-million d’habitant est vanté pour son dynamisme. Avec une démographie et un marché de l’emploi en développement, un pôle universitaire fort, il était nécessaire pour la ville que son parc immobilier puisse répondre à la demande.

    La ville de Lyon se place derrière Toulouse mais détrône Nantes, qui repasse à la troisième position.
    Lyon , Une ville attractive
    Pour mesurer l’attractivité des villes, les spécialistes de l’immobilier ont regardé l’évolution démographique, de l’emploi et se sont concentrés sur les chiffres de l’immobilier à l’achat et à la location. Malgré une légère baisse des prix observée à l’acquisition (-0,7% dans le neuf) et à la location (-2.2% pour les studios), la ville, qui voit sa population croître de 5% et le nombre d’étudiants de 2,6% fait partie des plus dynamiques. «Lyon offre à ceux qui cherchent à investir dans l’immobilier de solides fondamentaux. Parallèlement, elle peaufine son image, utilisant ses grandes friches urbaines pour des réaménagements d’ampleur : Lyon Confluence, Lyon Part-Dieu, Carré de Soie ou encore Gerland», précisent les spécialistes de l’immobilier.
    Dans la plupart de ces quartiers, logements, équipements publics, bureaux, commerces… s’y construisent pour accueillir les entreprises et la population. Dans le neuf, le nouveau zonage qui fait passer Lyon de B1 en en zone A améliore les rendements avec le dispositif Pinel.

    A noter que Villeurbanne prend la 6e place de ce classement.
    Article réalisée d’après l’étude faite par Explorimmo et Explorimmoneuf pour la quatrième édition du palmarès des dix villes où investir en France.

  • LYON : DEUXIEME VILLE DE FRANCE OU INVESTIR

    LYON : DEUXIEME VILLE DE FRANCE OU INVESTIR

    Si vous souhaitez investir dans l’immobilier cette année à Lyon, voici un palmarès qui devrait finir de vous convaincre : La ville arrive en effet en deuxième position du classement des dix villes où investir, dévoilé en mai 2015 par Explorimmo et Explorimmoneuf. La capitale des Gaules se place derrière Toulouse mais détrône Nantes, qui repasse à la troisième position.

    Pour mesurer l’attractivité des villes, les spécialistes de l’immobilier ont regardé l’évolution démographique, de l’emploi et se sont concentrés sur les chiffres de l’immobilier à l’achat et à la location. Pour Lyon, malgré une légère baisse des prix observée à l’acquisition (-0,7% dans le neuf) et à la location (-2.2% pour les studios), la ville, qui voit sa population croître de 5% et le nombre d’étudiants de 2,6%, fait partie des plus dynamiques. Lyon offre à ceux qui cherchent à investir dans l’immobilier de solides fondamentaux. Parallèlement, elle peaufine son image, utilisant ses grandes friches urbaines pour des réaménagements d’ampleur : Lyon Confluence, Lyon Part-Dieu, Carré de Soie ou encore Gerland.
    Source : http://www.explorimmo.com/

  • L’INVESTISSEMENT LOCATIF A LYON ET DANS SES COMMUNES ENVIRONNANTES

    L’INVESTISSEMENT LOCATIF A LYON ET DANS SES COMMUNES ENVIRONNANTES

    L’investissement immobilier locatif est un moyen de vous constituer un patrimoine, de générer des revenus complémentaires, de protéger vos proches tout en réduisant vos impôts.
    L’investissement peut en effet être optimisé grâce à des avantages fiscaux qui réduisent l’impôt sur le revenu.
    Attention, l’avantage fiscal, la réduction d’impôt, ne doit pas être la seul motivation de votre projet.
    L’investissement locatif est le seul placement permettant de se constituer un patrimoine financé à crédit, dont la plus grande partie est payée grâce aux loyers que vous percevez, le solde étant réglé par une économie d’impôt et un effort d’épargne réduit.
    Pour réussir votre investissement immobilier, Presta Finance pourra vous conseiller :
    Sur le dispositif le mieux adapté à votre situation : location classique, ou dans le cadre d’un loi fiscal, le type de bien (studio, T1, maisons, résidence étudiante, murs commerciaux)
    Des conseils sur le choix de l’investissement : neuf ou ancien, à rénover, son emplacement, les commodités environnantes
    Des conseils pour le financement de votre projet locatif : avec ou sans apport, prêt classique ou prêt in fine, durée, taux fixe taux variable plafonné

  • LE SOUTIEN DU GRAND LYON AU LOGEMENT : PLAN 3 A

    LE SOUTIEN DU GRAND LYON AU LOGEMENT : PLAN 3 A

    Le Grand Lyon renforce sa politique de soutien au logement accessible nommé Plan 3 A pour Accession A prix Abordable.
    Le 15 septembre 2014, le Grand Lyon a adopté l’amélioration de son dispositif avec son ouverture à tous les ménages éligibles aux conditions du Prêt à Taux Zéro (PTZ+) qu’ils y aient ou non recours, et son prolongement jusqu’en 2015 afin d’atteindre l’objectif initial de 1 100 primes.
    Ce Plan 3 A à destination des ménages à revenus modestes et intermédiaires comprend trois volets :
    – La prime à l’accession abordable
    – Le développement d’une offre de logement à loyer intermédiaire
    – La cession de logements aux bailleurs sociaux
    La labellisation des logements Plan 3 A exclusivement à la demande des promoteurs désireux d’intégrer ce dispositif est obligatoire avant toute commercialisation. Le but étant d’accroître la visibilité du dispositif auprès des acquéreurs. C’est également le moyen de contrôler son utilisation auprès des opérateurs.
    Plan 3 A s’applique à deux gammes de logements abordables :
    – Les logements « premiers prix » à des prix inférieurs à 2 800 €/m²
    – Les logements au prix inférieur de 20% au prix du marché compris entre 2 800 €/m² et 3 600 €/m² selon les communes et les quartiers (fourchette basse à Vénissieux et fourchette haute dans le VIème arrondissement de Lyon par exemple).
    Dans ce cadre, les ménages à revenus modestes ou intermédiaires, locataires depuis un minimum de 2 ans et sous plafonds de ressources, se voient accorder une prime par le Grand Lyon : 3 000 € pour un ménage de 3 personnes maximum et 4 000 € au-delà.

  • Les villes autour de Lyon où investir

    Les villes autour de Lyon où investir

    [cs_content][cs_element_section _id= »1″ ][cs_element_layout_row _id= »2″ ][cs_element_layout_column _id= »3″ ][x_custom_headline level= »h2″ looks_like= »h4″ accent= »false »]VILLEURBANNE : Un marché très varié[/x_custom_headline][cs_text]Moins cher que Lyon, mais tout aussi bien desservie par les transports en commun, Villeurbanne est un peu l’eldorado des primo-accédants qui ne veulent pas s’éloigner du centre-ville. Trois micro-marchés peuvent se distinguer : Entre Charpennes et Gratte-Ciel, les prix sont relativement élevés. Ils sont un peu plus bas dans le secteur du Tonkin et aux abords du 3ème arrondissement de Lyon. Enfin, sur le secteur de Flachet, Cusset et Laurent-Bonnevay, les prix sont toujours très bas.[/cs_text][x_custom_headline level= »h2″ looks_like= »h4″ accent= »false »]BRON : Le compromis entre la ville et la banlieue[/x_custom_headline][cs_text]Dans la petite couronne de Lyon, Bron est une ville de banlieue calme, extrêmement bien desservie par les transports en commun avec les trams T2 et T5, mais qui n’attire plus aujourd’hui autant les acquéreurs que Décines ou Meyzieu. Reste que selon le type de biens, leur localisation et leur état, les prix peuvent faire le « grand écart ».[/cs_text][x_custom_headline level= »h2″ looks_like= »h4″ accent= »false »]OULLINS : Une ville en plein développement[/x_custom_headline][cs_text]Accessible en métro grâce au prolongement de la ligne B, Oullins attire des Lyonnais qui recherchent une maison ou un grand appartement, tout en restant proche de Lyon.[/cs_text][x_custom_headline level= »h2″ looks_like= »h4″ accent= »false »]CALUIRE : L’esprit de village à deux pas de Lyon[/x_custom_headline][cs_text]Avec son centre-ville accessible en quinze minutes depuis le cœur de Lyon, Caluire-et-Cuire a des allures de village malgré ses 42 000 habitants. Le calme et les nombreux espaces verts permettent au secteur de connaître une forte demande. La commune compte plusieurs micro-secteurs (Montessuy, Cuire le bas, Cuire centre, le Vernet, Vassieux, les rives du Rhône, Saint-Clair…) où les prix varient énormément. Les alentours du métro C font partie des plus chers, tandis que les prix les plus bas se trouvent dans le quartier de Saint-Clair.[/cs_text][x_custom_headline level= »h2″ looks_like= »h4″ accent= »false »]TASSIN : Le nouveau « 10ème arrondissement de Lyon »[/x_custom_headline][cs_text]Depuis 2013, Tassin a complètement rénové son centre-ville. Une dynamique accompagnée d’une baisse des prix d’environ 10%.[/cs_text][/cs_element_layout_column][cs_element_layout_column _id= »14″ ][x_image type= »none » src= »1827:full » alt= »où investir autour de Lyon » link= »false » href= »# » title= » » target= » » info= »none » info_place= »top » info_trigger= »hover » info_content= » »][/cs_element_layout_column][/cs_element_layout_row][/cs_element_section][/cs_content]

  • LES QUARTIERS DE LYON OU IL FAUT INVESTIR

    LES QUARTIERS DE LYON OU IL FAUT INVESTIR

    [cs_content][cs_element_section _id= »1″ ][cs_element_layout_row _id= »2″ ][cs_element_layout_column _id= »3″ ][cs_element_text _id= »4″ ][cs_content_seo]Le marché de l’immobilier est reparti en 2014 et affiche une bonne santé. Malgré des difficultés de redressement du secteur au niveau national, les quartiers de Lyon affichent une progression constante avec une augmentation totale des ventes de 3.1% en 2014. Cela peut s’expliquer par la dynamique économique et la qualité de vie qu’offre l’agglomération lyonnaise. Au final, Lyon reste une terre d’investissement intéressante où les prix sont stables par rapport à l’an dernier, que ce soit dans l’ancien (3 303 €/m² en moyenne) ou dans le neuf (3 738 €/m² en moyenne).\n\n[/cs_content_seo][cs_element_headline _id= »5″ ][cs_content_seo]Les quartiers de Lyon où investir :\n\nSubheadline space\n\n[/cs_content_seo][cs_element_headline _id= »6″ ][cs_content_seo]PRESQU’ILE : Le prestige d’une belle adresse\n\nSubheadline space\n\n[/cs_content_seo][cs_element_text _id= »7″ ][cs_content_seo]Aujourd’hui, les rues les plus plébiscitées se situent entre les Cordeliers et la place Bellecour. Même si le quartier Grolée est déserté par les commerces, il est aujourd’hui recherché par les acquéreurs, séduits par le charme des immeubles haussmanniens.\n\n[/cs_content_seo][cs_element_headline _id= »8″ ][cs_content_seo]CONFLUENCE : Un quartier en devenir\n\nSubheadline space\n\n[/cs_content_seo][cs_element_text _id= »9″ ][cs_content_seo]Depuis l’ouverture du centre commercial et plus récemment du musée des Confluences, la demande a explosé dans ce quartier qui souffrait auparavant d’une réputation sulfureuse. Aujourd’hui moderne et écologique, Confluence a été reconnu comme le premier quartier durable en France par la WWF. C’est désormais l’un des plus chers de Lyon en termes d’immobilier. C’est également le quartier qui compte le plus grand nombre d’immeubles neufs, près de 40% du parc immobilier.\n\n[/cs_content_seo][cs_element_headline _id= »10″ ][cs_content_seo]MONTCHAT : Un village dans la ville\n\nSubheadline space\n\n[/cs_content_seo][cs_element_text _id= »11″ ][cs_content_seo]Le quartier Montchat est un quartier résidentiel qui attire les familles ne souhaitant pas quitter Lyon, de par de ses petites maisons individuelles, ses immeubles bas et ses nombreux parcs.\n\n[/cs_content_seo][cs_element_headline _id= »12″ ][cs_content_seo]CROIX-ROUSSE : Le Montmartre lyonnais\n\nSubheadline space\n\n[/cs_content_seo][cs_element_text _id= »13″ ][cs_content_seo]Ce quartier a de nombreux attraits pour les familles : écoles, collèges et lycées, activité commerciale forte, grand marché quotidien, nombreux parcs… Le tout à deux pas du centre-ville.\n\n[/cs_content_seo][cs_element_headline _id= »14″ ][cs_content_seo]POINT-DU-JOUR : Le charme de la banlieue à l’intérieur de Lyon\n\nSubheadline space\n\n[/cs_content_seo][cs_element_text _id= »15″ ][cs_content_seo]C’est l’un des quartiers, avec le 7ème arrondissement, où les prix ont le plus baissé à Lyon : -6% du m². Pourtant, avec son allure de village, ses commerces de proximité, son marché et ses écoles, le Point-du-Jour semble une bonne option pour les familles qui recherchent le calme, mais aussi une certaine proximité avec la ville.\n\n[/cs_content_seo][cs_element_headline _id= »16″ ][cs_content_seo]BROTTEAUX : Le prestige de l’adresse\n\nSubheadline space\n\n[/cs_content_seo][cs_element_text _id= »17″ ][cs_content_seo]Le quartier des Brotteaux fait partie des plus chers de Lyon. Des prix élevés, justifiés par la proximité du parc de la Tête d’Or, de la gare de la Part-Dieu et le dynamisme du quartier. Ici, les appartements de type haussmanniens ont le plus la cote avec leurs beaux volumes et leurs hauteurs de plafonds.\n\n[/cs_content_seo][cs_element_headline _id= »18″ ][cs_content_seo]JEAN-MACE : Ici, tout se fait à pied\n\nSubheadline space\n\n[/cs_content_seo][cs_element_text _id= »19″ ][cs_content_seo]Depuis l’arrivée du tram et de la gare TER, le quartier Jean-Macé à la cote. Pratique pour sortir de Lyon en voiture grâce à sa proximité avec le périphérique sud, ce quartier tranquille a aussi l’avantage d’être vivant. En effet, c’est le quartier le plus étudiant de Lyon avec les universités Lyon 2 et Lyon 3, et la prochaine arrivée de l’Inseec dans l’ancien garage Citroën.\n\n[/cs_content_seo][cs_element_headline _id= »20″ ][cs_content_seo]GERLAND : Désenclavé grâce à Confluence\n\nSubheadline space\n\n[/cs_content_seo][cs_element_text _id= »21″ ][cs_content_seo]Le prix du m² à Gerland est plus faible que dans les autres parties du 7ème, ce qui le rend particulièrement attractif pour les acheteurs et les investisseurs. Avec l’arrivée du tram T1 et le prolongation de la ligne B du métro, sa proximité avec les axes autoroutiers, le sud de Lyon devient attractif.\n\n[/cs_content_seo][cs_element_headline _id= »22″ ][cs_content_seo]VAISE : Un quartier en expansion\n\nSubheadline space\n\n[/cs_content_seo][cs_element_text _id= »23″ ][cs_content_seo]Ces dernières années, Vaise était le quartier des bonnes affaires, mais aujourd’hui, l’écart de prix avec le reste de Lyon tend à se réduire. La place Valmy et la rue Marietton sont aujourd’hui très plébiscitées. Dans ce quartier en pleine mutation, de nombreux logements neufs sont sur le point de sortir de terre.\n\n[/cs_content_seo][/cs_element_layout_column][cs_element_layout_column _id= »24″ ][cs_element_image _id= »25″ ][/cs_element_layout_column][/cs_element_layout_row][/cs_element_section][/cs_content]

  • PLUS-VALUES IMMOBILIERES

    PLUS-VALUES IMMOBILIERES

    La loi de Finances 2015 légalise les nouvelles règles d’imposition des plus-values de cession de terrains à bâtir mises en place depuis le 01.09.2014 par voie d’instruction administrative :
    – Alignement du calcul de la plus-value imposable sur celui applicable aux immeubles bâtis
    – Et institution d’un abattement exceptionnel de 30% pour les cessions réalisées entre le 01.09.2014 et le 31.12.2015 (abattement applicable pour la détermination de l’assiette imposable à l’impôt sur le revenu et aux prélèvements sociaux).

    Bénéficient également d’un abattement de 30% les cessions réalisées en 2015 de biens immobiliers dès lors :
    – Qu’ils sont situés en zones tendues
    – Que l’acheteur s’engage à les démolir en vue de réaliser des locaux destinés à l’habitation.

    L’exonération d’impôt sur le revenu des plus-values immobilières résultant de la cession d’un droit de surélévation d’immeubles existants qui devait expirer le 31.12.2014 est prorogée jusqu’au 31.12.2017. Néanmoins, cette exonération s’applique à la condition que l’acquéreur s’engage à créer et à achever des locaux destinés à l’habitation dans un délai de 4 ans, calculé de date à date à compter de l’acquisition.