[cs_content][cs_element_section _id= »1″ ][cs_element_layout_row _id= »2″ ][cs_element_layout_column _id= »3″ ][x_custom_headline level= »h2″ looks_like= »h4″ accent= »false »]VILLEURBANNE : Un marché très varié[/x_custom_headline][cs_text]Moins cher que Lyon, mais tout aussi bien desservie par les transports en commun, Villeurbanne est un peu l’eldorado des primo-accédants qui ne veulent pas s’éloigner du centre-ville. Trois micro-marchés peuvent se distinguer : Entre Charpennes et Gratte-Ciel, les prix sont relativement élevés. Ils sont un peu plus bas dans le secteur du Tonkin et aux abords du 3ème arrondissement de Lyon. Enfin, sur le secteur de Flachet, Cusset et Laurent-Bonnevay, les prix sont toujours très bas.[/cs_text][x_custom_headline level= »h2″ looks_like= »h4″ accent= »false »]BRON : Le compromis entre la ville et la banlieue[/x_custom_headline][cs_text]Dans la petite couronne de Lyon, Bron est une ville de banlieue calme, extrêmement bien desservie par les transports en commun avec les trams T2 et T5, mais qui n’attire plus aujourd’hui autant les acquéreurs que Décines ou Meyzieu. Reste que selon le type de biens, leur localisation et leur état, les prix peuvent faire le « grand écart ».[/cs_text][x_custom_headline level= »h2″ looks_like= »h4″ accent= »false »]OULLINS : Une ville en plein développement[/x_custom_headline][cs_text]Accessible en métro grâce au prolongement de la ligne B, Oullins attire des Lyonnais qui recherchent une maison ou un grand appartement, tout en restant proche de Lyon.[/cs_text][x_custom_headline level= »h2″ looks_like= »h4″ accent= »false »]CALUIRE : L’esprit de village à deux pas de Lyon[/x_custom_headline][cs_text]Avec son centre-ville accessible en quinze minutes depuis le cœur de Lyon, Caluire-et-Cuire a des allures de village malgré ses 42 000 habitants. Le calme et les nombreux espaces verts permettent au secteur de connaître une forte demande. La commune compte plusieurs micro-secteurs (Montessuy, Cuire le bas, Cuire centre, le Vernet, Vassieux, les rives du Rhône, Saint-Clair…) où les prix varient énormément. Les alentours du métro C font partie des plus chers, tandis que les prix les plus bas se trouvent dans le quartier de Saint-Clair.[/cs_text][x_custom_headline level= »h2″ looks_like= »h4″ accent= »false »]TASSIN : Le nouveau « 10ème arrondissement de Lyon »[/x_custom_headline][cs_text]Depuis 2013, Tassin a complètement rénové son centre-ville. Une dynamique accompagnée d’une baisse des prix d’environ 10%.[/cs_text][/cs_element_layout_column][cs_element_layout_column _id= »14″ ][x_image type= »none » src= »1827:full » alt= »où investir autour de Lyon » link= »false » href= »# » title= » » target= » » info= »none » info_place= »top » info_trigger= »hover » info_content= » »][/cs_element_layout_column][/cs_element_layout_row][/cs_element_section][/cs_content]
Blog
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EVOLUTION DES PRIX DES APPARTEMENTS A LYON
Evolution des prix des appartements Lyonnais dans l’ANCIEN par Arrondissement
ARRONDISSEMENT
PRIX 2013 (EN €/M²)
PRIX 2014 (EN €/M²)
EVOLUTION (EN %)
Lyon 1
Non significatif
2 905
Non significatif
Lyon 2
4 203
4 185
0 %
Lyon 3
3 533
3 612
+ 0.02 %
Lyon 4
3 463
3 683
+ 0.06 %
Lyon 5
2 652
2 491
-0.06 %
Lyon 6
4 379
4 436
+ 0.01 %
Lyon 7
3 470
3 236
-0.07 %
Lyon 8
2 925
2 906
-0.01 %
Lyon 9
Non significatif
2 852
Non significatif
Prix moyen à Lyon d’un appartement : 3 303 €/m² (-1.7 % sur un an)
Source : FNAIM (Décembre 2014)Evolution des prix des appartements Lyonnais dans le NEUF par Arrondissement (en collectif / hors stationnement / TVA normale)
ARRONDISSEMENT
PRIX 2013 (EN €/M²)
PRIX 2014 (EN €/M²)
EVOLUTION (EN %)
Lyon 1Lyon 2
5 194
4 956
-4.58 %
Lyon 3
4 690
4 730
+0.84 %
Lyon 4
5 669
5 628
-0.73 %
Lyon 5
4 363
4 363
-0.01 %
Lyon 6
6 595
6 331
-4 %
Lyon 7
4 252
3 979
-6.41 %
Lyon 8
4 022
4 021
-0.02 %
Lyon 9
3 873
4 122
+6.42 %
Lyon Ville
4 444
4 408
-0.81 %
Villeurbanne
3 879
3 754
-3.21 %
Caluire et Cuire
4 434
4 534
+2.25 %
Métro Lyon Est
3 309
3 159
-4.53 %
Métro Lyon Nord
3 437
3 414
-0.67 %
Métro Lyon Nord-Ouest
4 222
4 312
+2.14 %
Métro Lyon Sud-Ouest
3 909
3 632
-7.09 %
Total Métropole de Lyon
3 488
3 412
-2.19 %
Source : CECIM (Décembre 2014) -
LES QUARTIERS DE LYON OU IL FAUT INVESTIR
[cs_content][cs_element_section _id= »1″ ][cs_element_layout_row _id= »2″ ][cs_element_layout_column _id= »3″ ][cs_element_text _id= »4″ ][cs_content_seo]Le marché de l’immobilier est reparti en 2014 et affiche une bonne santé. Malgré des difficultés de redressement du secteur au niveau national, les quartiers de Lyon affichent une progression constante avec une augmentation totale des ventes de 3.1% en 2014. Cela peut s’expliquer par la dynamique économique et la qualité de vie qu’offre l’agglomération lyonnaise. Au final, Lyon reste une terre d’investissement intéressante où les prix sont stables par rapport à l’an dernier, que ce soit dans l’ancien (3 303 €/m² en moyenne) ou dans le neuf (3 738 €/m² en moyenne).\n\n[/cs_content_seo][cs_element_headline _id= »5″ ][cs_content_seo]Les quartiers de Lyon où investir :\n\nSubheadline space\n\n[/cs_content_seo][cs_element_headline _id= »6″ ][cs_content_seo]PRESQU’ILE : Le prestige d’une belle adresse\n\nSubheadline space\n\n[/cs_content_seo][cs_element_text _id= »7″ ][cs_content_seo]Aujourd’hui, les rues les plus plébiscitées se situent entre les Cordeliers et la place Bellecour. Même si le quartier Grolée est déserté par les commerces, il est aujourd’hui recherché par les acquéreurs, séduits par le charme des immeubles haussmanniens.\n\n[/cs_content_seo][cs_element_headline _id= »8″ ][cs_content_seo]CONFLUENCE : Un quartier en devenir\n\nSubheadline space\n\n[/cs_content_seo][cs_element_text _id= »9″ ][cs_content_seo]Depuis l’ouverture du centre commercial et plus récemment du musée des Confluences, la demande a explosé dans ce quartier qui souffrait auparavant d’une réputation sulfureuse. Aujourd’hui moderne et écologique, Confluence a été reconnu comme le premier quartier durable en France par la WWF. C’est désormais l’un des plus chers de Lyon en termes d’immobilier. C’est également le quartier qui compte le plus grand nombre d’immeubles neufs, près de 40% du parc immobilier.\n\n[/cs_content_seo][cs_element_headline _id= »10″ ][cs_content_seo]MONTCHAT : Un village dans la ville\n\nSubheadline space\n\n[/cs_content_seo][cs_element_text _id= »11″ ][cs_content_seo]Le quartier Montchat est un quartier résidentiel qui attire les familles ne souhaitant pas quitter Lyon, de par de ses petites maisons individuelles, ses immeubles bas et ses nombreux parcs.\n\n[/cs_content_seo][cs_element_headline _id= »12″ ][cs_content_seo]CROIX-ROUSSE : Le Montmartre lyonnais\n\nSubheadline space\n\n[/cs_content_seo][cs_element_text _id= »13″ ][cs_content_seo]Ce quartier a de nombreux attraits pour les familles : écoles, collèges et lycées, activité commerciale forte, grand marché quotidien, nombreux parcs… Le tout à deux pas du centre-ville.\n\n[/cs_content_seo][cs_element_headline _id= »14″ ][cs_content_seo]POINT-DU-JOUR : Le charme de la banlieue à l’intérieur de Lyon\n\nSubheadline space\n\n[/cs_content_seo][cs_element_text _id= »15″ ][cs_content_seo]C’est l’un des quartiers, avec le 7ème arrondissement, où les prix ont le plus baissé à Lyon : -6% du m². Pourtant, avec son allure de village, ses commerces de proximité, son marché et ses écoles, le Point-du-Jour semble une bonne option pour les familles qui recherchent le calme, mais aussi une certaine proximité avec la ville.\n\n[/cs_content_seo][cs_element_headline _id= »16″ ][cs_content_seo]BROTTEAUX : Le prestige de l’adresse\n\nSubheadline space\n\n[/cs_content_seo][cs_element_text _id= »17″ ][cs_content_seo]Le quartier des Brotteaux fait partie des plus chers de Lyon. Des prix élevés, justifiés par la proximité du parc de la Tête d’Or, de la gare de la Part-Dieu et le dynamisme du quartier. Ici, les appartements de type haussmanniens ont le plus la cote avec leurs beaux volumes et leurs hauteurs de plafonds.\n\n[/cs_content_seo][cs_element_headline _id= »18″ ][cs_content_seo]JEAN-MACE : Ici, tout se fait à pied\n\nSubheadline space\n\n[/cs_content_seo][cs_element_text _id= »19″ ][cs_content_seo]Depuis l’arrivée du tram et de la gare TER, le quartier Jean-Macé à la cote. Pratique pour sortir de Lyon en voiture grâce à sa proximité avec le périphérique sud, ce quartier tranquille a aussi l’avantage d’être vivant. En effet, c’est le quartier le plus étudiant de Lyon avec les universités Lyon 2 et Lyon 3, et la prochaine arrivée de l’Inseec dans l’ancien garage Citroën.\n\n[/cs_content_seo][cs_element_headline _id= »20″ ][cs_content_seo]GERLAND : Désenclavé grâce à Confluence\n\nSubheadline space\n\n[/cs_content_seo][cs_element_text _id= »21″ ][cs_content_seo]Le prix du m² à Gerland est plus faible que dans les autres parties du 7ème, ce qui le rend particulièrement attractif pour les acheteurs et les investisseurs. Avec l’arrivée du tram T1 et le prolongation de la ligne B du métro, sa proximité avec les axes autoroutiers, le sud de Lyon devient attractif.\n\n[/cs_content_seo][cs_element_headline _id= »22″ ][cs_content_seo]VAISE : Un quartier en expansion\n\nSubheadline space\n\n[/cs_content_seo][cs_element_text _id= »23″ ][cs_content_seo]Ces dernières années, Vaise était le quartier des bonnes affaires, mais aujourd’hui, l’écart de prix avec le reste de Lyon tend à se réduire. La place Valmy et la rue Marietton sont aujourd’hui très plébiscitées. Dans ce quartier en pleine mutation, de nombreux logements neufs sont sur le point de sortir de terre.\n\n[/cs_content_seo][/cs_element_layout_column][cs_element_layout_column _id= »24″ ][cs_element_image _id= »25″ ][/cs_element_layout_column][/cs_element_layout_row][/cs_element_section][/cs_content]
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PLUS-VALUES IMMOBILIERES
La loi de Finances 2015 légalise les nouvelles règles d’imposition des plus-values de cession de terrains à bâtir mises en place depuis le 01.09.2014 par voie d’instruction administrative :
– Alignement du calcul de la plus-value imposable sur celui applicable aux immeubles bâtis
– Et institution d’un abattement exceptionnel de 30% pour les cessions réalisées entre le 01.09.2014 et le 31.12.2015 (abattement applicable pour la détermination de l’assiette imposable à l’impôt sur le revenu et aux prélèvements sociaux).Bénéficient également d’un abattement de 30% les cessions réalisées en 2015 de biens immobiliers dès lors :
– Qu’ils sont situés en zones tendues
– Que l’acheteur s’engage à les démolir en vue de réaliser des locaux destinés à l’habitation.L’exonération d’impôt sur le revenu des plus-values immobilières résultant de la cession d’un droit de surélévation d’immeubles existants qui devait expirer le 31.12.2014 est prorogée jusqu’au 31.12.2017. Néanmoins, cette exonération s’applique à la condition que l’acquéreur s’engage à créer et à achever des locaux destinés à l’habitation dans un délai de 4 ans, calculé de date à date à compter de l’acquisition.
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DISPOSITIF PINEL POUR INVESTISSEMENT LOCATIF (LOI DE FINANCES 2015)
Le dispositif de la réduction d’impôt Pinel est assoupli.
L’engagement de location devient modulable (de 6 à 9 ans) avec une possibilité de prorogation jusqu’à 12 ans maximum.
Le taux de réduction d’impôt varie en fonction de la durée de l’engagement de location. Il est ainsi fixé à :
12% (23% outre-mer) pour un engagement de location de 6 ans : prorogation triennale possible 2 fois, soit une réduction d’IR maximale de 21% (32% outre-mer),
18% (29% outre-mer) pour un engagement de location de 9 ans : prorogation triennale possible une seule fois, soit une réduction d’IR maximale de 21% (32% outre-mer).
Désormais, la location à un ascendant ou un descendant est dans tous les cas autorisée, sans perte du bénéfice de l’avantage fiscal, dès lors que les conditions tenant aux plafonds de loyer et de ressources du locataire sont respectées.
Ces dispositions sont applicables aux investissements réalisés à compter du 01.09.2014 (01.01.2015 pour ceux concernant les ascendants et descendants). -
PROJET DE LOI DE FINANCES 2015 : DU NOUVEAU POUR L’HABITAT
Si la mesure phare du projet de loi de finances 2015 est l’allégement d’impôt sur le revenu de certains contribuables, d’autres nouveautés sont à noter du côté des mesures concernant l’habitat.
Permettre à des contribuables devenus imposables d’être à nouveau exonérés ou de voir leur impôt sur le revenu allégé, tel est l’un des objectifs du projet de loi de finances pour 2015. Pour cela, le barème sera revisité :
– suppression de la première tranche
– abaissement de la deuxième tranche à 14%
– revalorisation des tranches de +0.5%.
Toutefois, il ne concernera que les ménages dont le taux d’imposition ne dépasse pas la tranche à 14%.Un crédit d’impôt pour la transition énergétique
En dehors de cette mesure symbolique, le projet de loi de finances introduit plusieurs nouveautés destinées à relancer le secteur de l’habitat :
– Instauration d’un crédit d’impôt pour la transition énergétique CITE) en remplacement du crédit d’impôt développement durable (CIDD), avec un taux unique de réduction d’impôt de 30%, sans obligation de réaliser un bouquet de travaux
– Les dépenses visées sont élargies, et soumises à un plafond qui varie selon que le contribuable occupe ou loue son bien.
Ces dispositions s’appliqueraient également aux dépenses payées à compter du 1er septembre 2014.Alignement en matière de plus-values
Autre innovation : l’alignement du régime des plus-values de cession de terrains à bâtir avec celui des plus-values de cessions d’immeubles, qui permet une exonération d’impôt sur le revenu au-delà de 22 ans, et une exonération de prélèvements sociaux au-delà de 30 ans.
Ce dispositif devrait être complété d’un abattement exceptionnel de 30% sur la plus-value applicable aux cessions dont la promesse de vente aura été signée entre le 1er septembre 2014 et le 31 décembre 2015.Donation en pleine propriété de terrains à bâtir ou de logements neufs
Dans un but de fluidifier le marché, le projet de loi de finances prévoit un abattement de 100 000 € par donateur en cas de donation de terrains à bâtir, sous réserve de construction de logements neufs dans un délai de 4 ans.
Cet abattement s’applique également aux donations d’immeubles neufs.
Il est réservé aux donations en ligne directe.Remplacement du dispositif de défiscalisation immobilière « Duflot » par « Pinel »
Il est désormais possible avec la loi PINEL de louer à un ascendant (parents) ou à un descendant (enfants) à condition que le locataire ne fasse pas parti du foyer fiscal du propriétaire.A noter
Le projet de loi de finances 2015 conserve le dispositif de plafonnement des niches fiscales, en vigueur depuis 2013. Ainsi, le cumul des avantages fiscaux (emploi d’un salarié à domicile, investissement dans un fonds commun de placement dans l’innovation…) ne peut excéder un plafond général de 10 000 €.
Mais ce plafond peut être porté à 18 000 € en cas d’investissement dans l’immobilier social en Outre-mer (loi Girardin social) et/ou dans le cinéma par le biais de Sofica. -
PRET A TAUX ZERO (PTZ+) : MODIFICATIONS PREVUES AU 1er JANVIER 2015
Prolongation du PTZ jusqu’au 31 décembre 2017
Modification du mode de calcul du revenu plancher pour l’éligibilité et la tranche de remboursement du PTZ
Pour déterminer les ressources prises en compte pour le calcul du barème, le revenu plancher sera égal au montant d’opération divisé par 9 et non plus par 10
Spécificités pour le « Neuf et assimilé Neuf (rendu neuf au sens fiscal du terme) »
Suppression de la condition de performance énergétique : Il ne sera plus demandé à l’emprunteur de justifier du respect de la RT 2012 ou de l’obtention du label BBC (ou de la RTAA dans les DOM ou des exigences ad hoc dans la remise à neuf ou la transformation de local non destiné à l’habitation)
Spécificités pour l’ « Ancien »
Création d’un « PTZ Ancien sous conditions de localisation et de travaux »
Réservé aux opérations situées dans les communes éligibles (nous consulter pour le projet d’arrêté de la liste des communes éligibles)
Le montant des travaux réalisés doit représenter au moins 25% du coût total réglementaire (prix d’acquisition + travaux, hors frais d’acte notarié et frais d’enregistrement)
Les travaux doivent être déterminés au moment de la demande de prêt mais peuvent être réalisés dans un délai de 3 ans à compter de la date d’émission de l’offre de prêt
Travaux éligibles : travaux ayant pour objet la création de surfaces habitables nouvelles ou de surfaces annexes définies par arrêté, la modernisation, l’assainissement ou l’aménagement des surfaces habitables ou des surfaces annexes, ainsi que les travaux destinés à réaliser des économies d’énergies non financés par un Eco Prêt à Taux ZéroSuppression de l’obligation de décote de prix minimal de 10% sur l’estimation de France Domaines pour les logements issus du parc HLM
Sont désormais éligibles au PTZ les logements issus du parc HLM dont le prix de vente est strictement inférieur à l’estimation faite par Frances Domaines. Les conditions d’éligibilité liées au bénéficiaire restent inchangéesCes informations sont données sous réserve de la promulgation de la loi de Finances pour 2015 dans sa version définitive et de la publication des décrets et arrêtés qui s’y réfèrent.
Nous vous tiendrons informés dès parution de ces textes -
DE NOUVEAUX ABATTEMENTS POUR LES DONATIONS DE LOGEMENTS NEUFS
Comme le gouvernement l’avait annoncé dans son plan de relance du logement, les donations de logements neufs devraient bénéficier, au terme de l’examen du projet de loi de finances pour 2015, d’un abattement supplémentaire de 100 000 € pour les transmissions en ligne directe (enfants, petits-enfants) ou consenties au profit du conjoint.
L’abattement serait fixé à 45000 € pour les donations faites au profit d’un frère ou d’une sœur et à 35000 € pour tout autre bénéficiaire.
Cet abattement exceptionnel devrait se cumuler avec les abattements de droit commun, si ces derniers n’ont pas été épuisés.
Toutefois, alors que les abattements de droit commun (100 000 € lorsque la donation se fait au profit d’un enfant et 31865 € pour un petit-enfant) s’appliquent pour chaque bénéficiaire, l’abattement exceptionnel serait limité à 100 000 € par donateur. Ainsi, un couple ayant plusieurs enfants pourra leur transmettre sans droit de donation un logement qui pourrait leur servir de résidence secondaire et dont ils seraient ainsi propriétaires en indivision d’une valeur de 200 000 €, augmentée de 200 000 € par enfant si aucun des parents n’a déjà utilisé les abattements de droit commun.
La donation devra être constatée par acte authentique et porter sur la pleine propriété d’un logement qui n’a jamais été occupé et dont le permis de construire a été délivré entre le 1er septembre 2014 et le 31 décembre 2016.Source : http://patrimoine.lesechos.fr
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Réforme des IOBSP : « Un courtier est devenu quelqu’un de fréquentable » (Jean-Bernard Valade)
Depuis janvier 2013, les intermédiaires en opérations de banque et en services de paiement (IOBSP) doivent être immatriculés à l’Orias, le registre unique des intermédiaires en assurance, banque et finance, et doivent pour cela répondre notamment à de nouvelles exigences de formation. Plus d’un an après la mise en place du nouveau statut des courtiers et mandataires, quel bilan peut-on tirer de cette réforme ? Jean-Bernard Valade, président honoraire de l’association française des intermédiaires bancaires (Afib) et administrateur à l’Orias répond à nos questions. Interview.
Jean-Bernard Valade, pouvez-vous nous rappeler ce qui a changé pour les intermédiaires en opérations de banque et en services de paiement (IOBSP) en 2013 ?
« La Loi Lagarde de 2010 prévoyait un parfait encadrement de l’activité des IOBSP. Deux décrets d’application de cette loi ont été publiés en janvier 2012. Le premier oblige les IOBSP à être immatriculés au registre unique de l’Orias. Le second est beaucoup plus long et compliqué et définit ce qu’est désormais un IOBSP. Toute personne qui, par oral ou par écrit, expose les modalités d’une opération de banque ou de service de paiement est désormais un IOBSP. Ces intermédiaires sont divisés en quatre catégories : le courtier qui ne travaille qu’en vertu du mandat de son client, le mandataire exclusif qui travaille pour une banque en exclusivité, le mandataire non-exclusif qui est mandaté par plusieurs banques et le mandataire MIOBSP (mandataire d’intermédiaire en opérations de banque et services de paiement, NDLR). La partie la plus importante du décret dit que pour être IOBSP il faut soit avoir un diplôme reconnu par la profession de niveau bac+3, soit avoir une expérience professionnelle significative, soit suivre une formation de 150 heures. »
Quel était l’objectif de cette réforme ?
« L’objectif était bien sûr de protéger le consommateur. Grâce à l’inscription obligatoire sur le registre de l’Orias, le consommateur peut savoir si la personne qu’il a en face de lui a les capacités et la qualité pour lui présenter un prêt (1). C’est une vraie loi de protection du consommateur. »
Peut-on tirer un premier bilan de ces deux réformes ?
« Le bilan général est qu’effectivement la protection du consommateur s’est accrue. D’ailleurs, les associations de défense des consommateurs regardent les IOBSP d’un œil totalement différent : avant ils étaient un peu “bizarres” et pas forcément professionnels, maintenant un intermédiaire en opération de banque est devenu quelqu’un de “fréquentable”, un véritable professionnel. C’est une vraie avancée positive. »
Selon les chiffres publiés cette semaine par l’Orias, 92% des intermédiaires ont renouvelé leur inscription. C’est un chiffre satisfaisant ?
« Oui, il l’est. C’est vrai que lorsque l’on regarde les chiffres absolus, le nombre de professionnels à ne pas avoir renouvelé leur immatriculation est énorme. Mais en valeur relative, nous retrouvons les pourcentages des autres professions. Les 92% de renouvellement correspondent au tri classique d’une profession. Toutefois, pour être très clair et très sincère, il y a également des personnes qui ont décidé d’arrêter le métier parce qu’il devient tellement professionnel que certains estiment que cela ne leur convient plus, que cela devient trop compliqué. Et c’était le but recherché de la réforme. »
En se penchant un peu plus sur les chiffres de l’Orias, nous constatons que seulement 74% des courtiers en banque ont renouvelé leur inscription. Comment s’explique cet écart ?
« La différence existe parce que les courtiers forment la partie la plus compliquée de cette activité. J’ai personnellement beaucoup œuvré pour que l’on durcisse les conditions d’accès à ce métier car le courtier n’est pas contrôlé par une banque. Il ne faut pas qu’il fasse n’importe quoi, il ne faut pas que ce soit la jungle ! C’est pourquoi le courtier doit répondre à des exigences beaucoup plus grandes que le mandataire en opérations bancaires par exemple. Donc forcément, une fois encore, ces exigences en ont arrêté certains. Comme dans toutes les professions, le jour où elles sont encadrées, il y a de la casse… »
La Chambre nationale des conseils intermédiaires en opérations de banque (CNCIOB) dénonce la difficulté de ces courtiers à obtenir leur renouvellement. Vous comprenez leur réaction ?
« Je n’ai pas d’avis sur leur prise de position parce que le CNCIOB ne représente pas les intermédiaires en opérations de banque. Ce sont des CIF (conseillers en investissements financiers, NDLR) qui ont trouvé la solution intelligente de créer une section IOB. Il y a aujourd’hui deux associations représentatives de la profession qui sont l’Afib et l’Apic (Association professionnelle des intermédiaires en crédits, regroupant Cafpi, Empruntis et Meilleurtaux, NDLR). »
Quand la CNCIOB parle de fermeture de cabinets et de licenciements à cause de la réforme, ça vous paraît justifié ?
« Si des professionnels n’ont pas pu renouveler leur immatriculation, cela veut dire qu’ils n’en avaient pas les capacités. L’Afib ou l’Apic ne nous ont pas transmis de tels communiqués. Le retour que nous avons des professionnels est plutôt très bon parce que ces réformes professionnalisent enfin le secteur. Quand la réglementation s’est durcie en Angleterre, les parts de marché du courtage en crédits immobiliers sont passées de 20% à 60%. Il est en train de se passer la même chose en France et les IOBSP savent que c’est une bonne chose pour eux. Resteront sur le bord de la route ceux qui n’ont pas pu s’adapter à une réglementation contraignante. Mais c’est parce qu’elle est contraignante que la profession a de plus en plus de crédibilité. »
(1) Les particuliers peuvent vérifier sur le site www.orias.fr que leur interlocuteur est bien inscrit sur le registre des IOBSP.Source :
Par Sabrina LEVACHER
© cbanque.com / Propos recueillis par SL / Mars 2014
http://www.cbanque.com/actu/44018/reforme-des-iobsp-un-courtier-est-devenu-quelquun-de-frequentable -
COMMENT FINANCER AU MIEUX SON INVESTISSEMENT IMMOBILIER ?
Dans la décision d’un achat immobilier, les niveaux de taux de crédit sont un élément clé. Ceux-ci n’ont jamais été aussi bas pour un futur propriétaire souhaitant financer son logement via un crédit immobilier.
Quelles sont les pistes à suivre pour optimiser son prêt ?
– Profiter des taux avant qu’ils ne remontent
Les futurs propriétaires, qui suspendent leur projet dans l’attente d’une correction plus forte des prix, doivent toutefois prendre garde. Les faibles taux de crédit pourraient ne pas durer. Les banques soumises à de nouvelles contraintes réglementaires sur la liquidité et la solvabilité pourraient se retrouver dans la nécessité d’équilibrer le rapport entre les crédits qu’elles consentent et les dépôts collectés, ce qui les conduirait à relever progressivement leurs taux. Autre facteur en faveur d’une hausse : la remontée des taux longs en cas de reprise dans l’activité économique dans la zone euro, même si ce scénario n’est pas aujourd’hui très évident. L’entrée en vigueur depuis le 26 juillet de la loi Hamon, adoptée en mars 2014, pourrait aussi pousser à une hausse. Cette réforme autorise l’emprunteur à changer librement de contrat d’assurance, sans frais pendant un an à compter de la signature de l’offre de prêt. Or, les banques bénéficient sur ce produit de marges intéressantes, qui leur permettent parfois d’être plus avantageuses sur les taux de crédit immobilier. Dans ce nouveau contexte, elles pourraient prêter à des taux plus élevés. Ainsi, il faut rester attentif aux réajustements des banques dans les mois à venir.
– Décrocher le meilleur taux
Même quand les taux sont au plus bas, il n’est pas toujours aisé d’obtenir les meilleures conditions auprès de son conseiller habituel. Les banques doivent être mises en concurrence sur le taux de crédit immobilier. Passer par l’intermédiaire d’un courtier en crédit immobilier permet, outre le gain de temps, de donner accès à une marge de négociation supplémentaire. La période est donc particulièrement propice aux renégociations. Au-delà du taux, les professionnels du courtage ont pour mission de trouver la solution de financement la plus adéquate au regard de tous les éléments du prêt : durée, type, options comme le report d’échéance ou l’exonération des indemnités de remboursement anticipé, les garanties…
– Peaufiner son profil bancaire
Les futurs emprunteurs doivent soigner leurs dossiers. Revenus élevés et stabilité professionnelle ont naturellement la faveur des banques. Deux types de clients ont des atouts en main pour négocier au mieux leur prêt : d’un côté les jeunes de moins de 35 ans, cible prioritaire et à fort potentiel que les banques courtisent et qu’elles veulent fidéliser et de l’autre, les plus de 50 ans, aux revenus et à l’épargne élevés.
Pour améliorer son profil bancaire, il est recommandé de démontrer sa capacité d’épargne. C’est moins le montant que la régularité de l’effort d’épargne qui importe. L’apport personnel est quasi indispensable aujourd’hui, il doit être au moins de 20%, hors frais, pour accéder à des conditions avantageuses.
Il est aussi plus aisé d’acheter en couple que seul. Les revenus demandés à un célibataire sont proportionnellement plus élevés car le risque ne repose que sur une seule personne. Il en est de même pour le « reste-à-vivre », c’est-à-dire la somme restante une fois la mensualité du prêt remboursée.