Catégorie : Immobilier

  • Prêt à taux zéro Primo Accédant : Comment en profiter ?

    Prêt à taux zéro Primo Accédant : Comment en profiter ?

    [cs_content][cs_element_section _id= »1″ ][cs_element_row _id= »2″ ][cs_element_column _id= »3″ ][cs_element_text _id= »4″ ][cs_element_headline _id= »5″ ][cs_element_text _id= »6″ ][cs_element_headline _id= »7″ ][cs_element_text _id= »8″ ][cs_element_headline _id= »9″ ][cs_element_text _id= »10″ ][/cs_element_column][cs_element_column _id= »11″ ][cs_element_image _id= »12″ ][/cs_element_column][/cs_element_row][/cs_element_section][/cs_content][cs_content_seo]Les taux sont toujours bas à ce jour, cependant toute économie est la bienvenue quand il s’agit d’acheter son premier bien immobilier. Le Prêt à taux zéro : Primo Accédant (PTZ) est un succès depuis quelques années qui permet aux primo accédant un financement valorisant.
    Il permet de financer une partie de l’acquisition du logement à condition de n’avoir jamais été propriétaire auparavant. Il existe plusieurs financements possibles :

    1. Achat d’un logement neuf

    Les conditions de remboursement varient en fonction des ressources de l’emprunteur, de la localisation du bien, et du nombre de personnes à charge. Il faut savoir que le remboursement peut être différé de 5 à 15 ans selon la durée du prêt ainsi que les revenus de l’emprunteur.

    2. Achat d’un logement ancien

    Pour l’achat d’un logement neuf, le PTZ peut atteindre 40 % du coût de votre acquisition uniquement dans les zones dites « tendues » soit A et B1. Il ne couvre que 20 % pour les zones « non tendues », B2 et C.

    3. Les conditions du prêt à taux zéro : Primo Accédant

    L’achat d’un logement ancien, n’impact pas le PTZ de la même manière que le neuf. En effet, depuis le 1 er Janvier 2018, les acquisitions de biens anciens doivent se trouver dans les zones « non tendues » donc B2 et C. Il s’agit de zones n’ayant pas de déséquilibre entre l’offre et la demande. Pour l’acquisition d’un logement ancien à rénover, le PTZ peut atteindre 40 % du coût de l’opération. La prise en compte intervient également pour les travaux permettant de réaliser des économies d’énergie.Primo accédant : prêt à taux zéro[/cs_content_seo]

  • Changements pour Les assurances de vos crédits immobiliers !

    Changements pour Les assurances de vos crédits immobiliers !

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  • Devenir propriétaire : les avantages

    Devenir propriétaire : les avantages

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  • Comment réussir à financer son projet ?

    Comment réussir à financer son projet ?

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  • Que propose la Loi de Finances 2018 pour l’immobilier ?

    Que propose la Loi de Finances 2018 pour l’immobilier ?

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  • Les taux de crédit immobiliers touchent de nouveaux planchers

    Les taux de crédit immobiliers touchent de nouveaux planchers

    Le mois dernier, les taux ont une fois de plus touché de nouveaux plus bas, avec un taux moyen enfonçant la barre des 2%.
    Crédit Logement a fait état mardi 03 mai de son point mensuel sur les taux de crédit immobilier. Et pour la première fois depuis les années 40, le taux moyen est passé sous les 2% en mars, à 1,97 % contre 2.09 % en février. Jamais depuis la fin des années 40 les taux des crédits immobiliers ne s’étaient établis à un aussi bas niveau.
    Ils ont bénéficié pour cela de l’abondance de ressources d’épargne faiblement rémunérées, de taux des OAT revenus à leur niveau d’avant le déclenchement de la crise grecque et d’une nouvelle amélioration des conditions de refinancement de la BCE. Ils répercutent en outre les pratiques des établissements de crédit qui comme chaque année, avec l’arrivée du printemps, améliorent leurs offres commerciales.

    Baisse importante dans l’ancien
    La société de cautionnement de crédit immobilier indique toutefois que la baisse n’a pas été homogène, avec une baisse de 31 points de base dans l’ancien depuis octobre 2015 (1.97% en mars), tandis que le recul dans le neuf est moins prononcé, de l’ordre de 19 points de base (2.08% en mars). Toutes les durées et toutes les catégories ont été affectées par la baisse. On remarque toujours que la baisse des taux a bénéficié à toutes les catégories de prêts, même aux durées les plus longues : la baisse des taux sur les prêts à 25 ans a été de 36 points, alors que déjà la hausse qui était intervenue durant l’été dernier avait été la plus faible pour eux.
    Selon l’institution, ceci trouve son explication dans la volonté pour les établissements de crédit de soutenir la demande des jeunes et des ménages modestes dans la réalisation de leurs projets de primo accession. La durée moyenne des prêts était de 210 mois en moyenne.

    Forte activité
    Cette nouvelle baisse des taux tend toutefois à doper l’activité du marché : la production de crédits immobiliers a rebondi en mars, après des mois de janvier et février plus calmes. La production du premier trimestre 2016 est toutefois inférieure de 1.4% au premier trimestre 2015. En nombre de prêts, la baisse est même de 5% pour le nombre de prêts bancaires accordés. Sur 12 mois glissants, la production reste toutefois supérieure de 26.8 % à la période avril 2014-mars 2015. La hausse est de 23.6 % pour le nombre de prêts bancaires accordés.
    Le mouvement de baisse pourrait se prolonger en avril, cela ne s’arrête plus. Les banques semblent toujours aller plus loin dans la course au meilleur taux. Depuis janvier les taux mini ont ainsi perdu 60 centimes sur 15 ans et 50 sur 20 ans. On peut se demander combien de temps ces taux incroyables vont perdurer.

    Vers un prolongement du mouvement
    Par rapport au mois de mai 2015 au moment où les taux étaient descendus à un premier plancher, nous parvenons à obtenir des taux inférieurs de 0,15 % pouvant atteindre au mieux 1,3 % sur 15 ans, 1,50 % sur 20 ans et 1,95 % sur 25 ans ! Ces niveaux de taux inédits que proposent essentiellement des banques régionales s’inscrivent dans un contexte de forte concurrence entre les banques qui cherchent ainsi à capter une clientèle à fort potentiel avec des revenus élevés permettant la mise en place d’une relation bancaire sur le long terme.
    Si les précédents planchers sont bel et bien cassés, la baisse est toutefois moins forte qu’en mars ou en février. Les dernières évolutions des barèmes s’inscrivent dans le sillage du mouvement de fort repli des taux engagé depuis le début du premier temps fort habitat. Mais le ralentissement de ce mouvement est assez sensible sur le mois. On note que, pour la première fois depuis janvier, certains profils ou maturités de prêt n’enregistrent aucun mouvement. La politique menée par la Banque Centrale Européenne et les récentes déclarations de Mario Draghi tendent à encourager les banques à prêter à des taux bien inférieurs à ceux pratiqués en début d’année. La pression concurrentielle entre établissements joue à plein, et tire une fois de plus les taux vers le bas, sur quasiment l’ensemble des grilles.

  • BILAN 2015 : LE CREDIT IMMOBILIER REPART A LA HAUSSE

    BILAN 2015 : LE CREDIT IMMOBILIER REPART A LA HAUSSE

    Logiquement, la reprise sur le marché de l’immobilier en 2015 se fait aussi ressentir sur le crédit. Une reprise permise notamment par la baisse des taux des crédits nominaux et des prix de l’immobilier.

    Baisse des taux d’intérêts
    Les Français ont vu leur pouvoir d’achat immobilier croître cette année : la lente érosion des prix depuis 2011, ainsi que la nouvelle baisse inattendue des taux de crédits immobiliers nominaux, ont permis aux ménages, notamment aux primo-accédants, de revenir sur le marché et donc de souscrire un crédit.
    Renégociations inclues, le flux mensuel de crédits immobiliers nouveaux a atteint un pic en juillet 2015 à 20.9 milliards d’euros, soit le meilleur mois de la dernière décennie, d’après les chiffres de la Banque de France.

    Forte part de renégociations de crédits
    Cette hausse a été fortement portée par les renégociations de crédits existants, qui ont notamment atteint une part de 49.2% de la production nouvelle pour le seul mois d’août, soit 9.8 milliards d’euros sur 19.9 milliards d’euros au total. Le niveau historiquement bas des taux d’intérêt en juillet à 2.16% en moyenne toutes durées confondues, a donc clairement motivé les propriétaires à renégocier leur prêt auprès de leur courtier.
    Depuis juillet, les taux remontent légèrement, jusqu’à 2.27% en moyenne en octobre, et la part des rachats de crédits immobiliers baisse progressivement.

    Un marché dynamique
    Ces renégociations représentaient donc 40.3% de la production totale de crédits nouveaux en octobre. Mais sur un an, le niveau des crédits immobiliers nouveaux en octobre reste tout de même supérieur de 3.7% à celui du même mois de 2014, après une hausse similaire de 3.6% en septembre.

  • Le lissage d’un prêt immobilier : définition

    Le lissage d’un prêt immobilier : définition

    Qu’appelle-t-on le lissage d’un prêt immobilier ? Si vous souhaitez acheter un bien immobilier, il se peut que vous ayez déjà en cours des crédits à rembourser comme des crédits à la consommation. Pour pouvoir tout de même acheter et optimiser le montant de vos mensualités ainsi que la durée de tous ces prêts, vous pouvez avoir besoin de ce que l’on appelle un lissage de crédits. Le fait de lisser un prêt immobilier permet de recalculer vos échéances mensuelles, le temps que vos crédits en cours soient remboursés.

    Ainsi, grâce au lissage de prêt immo, vous pouvez faire débuter le paiement des mensualités plus tard. Lisser un prêt immobilier vous permet donc d’emprunter sans contraintes malgré les différents crédits auxquels vous avez déjà souscrits tout en bénéficiant d’un report de vos remboursements mensuels. Vous pouvez devenir propriétaires sans contraintes, vous gérez mieux votre budget et vous remboursez vos crédits de manière constante chaque mois. Un lissage de prêt immobilier concerne également les prêts à taux zéro, les prêts 1% employeur ou encore les PEL qui ont des durées de remboursement assez courtes et surtout imposées.

    Presta Finance vous permet d’accéder à un lissage de prêt immobilier en toute simplicité. Lorsque l’on a contracté plusieurs crédits, l’achat d’un bien immobilier peut paraît irréalisable. Voilà pourquoi Presta Finance étudie votre dossier avec attention et vous propose toujours la meilleure solution, et lisser votre prêt peut être celle-ci.

  • Rachat crédit immobilier

    Rachat crédit immobilier

    Pourquoi c’est le moment de demander un rachat de crédit immobilier ?

    Le rachat de crédit immobilier a été mis en place pour convenir aux besoins des emprunteurs qui ont contracté un ou plusieurs prêts. Cela consiste à renégocier les crédits et à les regrouper pour bénéficier d’un seul et unique taux de remboursement. Le but principal est de trouver un meilleur taux ou de diminuer le montant des mensualités, ou encore les deux en même temps.

    Depuis plusieurs mois, les taux immobiliers ne cessent de chuter. En ce moment, on enregistre même les taux les plus bas de ces dernières années. C’est pourquoi de plus en plus d’emprunteurs se tournent vers le rachat de crédit immobilier en vue d’obtenir un coût global de prêt diminué.

    En effet, c’est le bon moment pour faire appel à un courtier immobilier comme Presta Finance. Un professionnel peut vous accompagner dans votre démarche et faire jouer ses connaissances du secteur pour négocier au mieux les taux. Il met en concurrence son réseau de partenaires bancaires, ainsi que leurs offres de regroupement de crédit pour vous proposer la solution la plus adaptée.

    Si vous souhaitez en savoir davantage sur le rachat de crédit immobilier, n’hésitez pas à nous contacter.

  • Immobilier: c’est le moment d’acheter !

    Immobilier: c’est le moment d’acheter !

    Les taux de crédit restent à un niveau historiquement bas, les prix ont baissé et les vendeurs négocient. Tous les ingrédients sont réunis pour inciter les acheteurs à réaliser leur projet. PRESTA FINANCE vous aide avec ce tour complet du marché.
    De nombreux acheteurs ont repris le chemin des agences, après des années de doute et d’attentisme. Le niveau historique des taux de crédit, la correction des prix, plus ou moins forte selon les régions – mesurée à Paris et dans les grandes métropoles, importante dans les villes moyennes -, ont encouragé les familles à envisager à nouveau un projet de déménagement. Depuis 2011, le pouvoir d’achat immobilier a augmenté de 25%.
    Un assainissement bénéfique et nécessaire, qui sort le secteur de sa longue torpeur. Dans l’ancien, le frémissement du printemps et du début d’été est une divine surprise. Dans le neuf, c’est presque l’euphorie: les ventes, en pleine dégringolade en 2014, ont bondi, au premier trimestre 2015, de près de 15%, en province comme en région parisienne.
    Profiter d’une opportunité
    Pourtant, en cette rentrée, tout emballement serait prématuré. L’équilibre et l’engouement des acheteurs reste fragile: la situation économique française et européenne, avec la crise grecque, inquiète, comme l’alourdissement de la fiscalité ou la hausse continue du chômage, et empêche de se projeter trop loin dans l’avenir.
    Le soufflé peut vite retomber, notamment si les taux augmentent un peu trop – ils ont déjà gagné +0,2% en juillet – et si les prix, en voie de stabilisation, repartent à la hausse. Raison de plus pour profiter de cette opportunité, et de se lancer à la recherche de son nouveau toit. C’est vraiment le moment !
    Pour une fois, l’hirondelle a fait le printemps. Après un premier trimestre encore maussade, le marché a subitement retrouvé des couleurs. Dans l’ancien, les agences ont vu revenir des acquéreurs plus décidés que jamais. Les transactions, elles, se réalisent de plus en plus rapidement. Chez Guy Hoquet, par exemple, les délais de vente ont baissé de quinze jours depuis la fin de 2014. De quoi dégonfler les stocks d’appartements, parfois en vitrine depuis six mois ou un an!

    Dans le neuf, le décollage est encore plus flagrant. Partout, les ventes se sont accélérées au printemps. Chez Kaufman & Broad, elles ont grimpé de 31% entre le premier et le deuxième trimestre.
    Un engouement, essentiellement dû à un retour en force des investisseurs privés. Ce type d’acheteurs providentiels est passé de 30% entre 2011 et 2014, à 50% en 2015.
    Le phénomène est encore plus prononcé en province. La volonté du gouvernement de relancer le secteur, accompagnée du dispositif fiscal Pinel, plus souple et plus avantageux que le précédent, a fait revenir ceux qui veulent acheter pour louer.
    Les primo-accédants de retour, mais en nombre insuffisant
    Cet élan unanime a fait exploser les demandes de crédits. A la fin du printemps, les banques ont été submergées par un flot de dossiers impressionnant. Pourquoi un tel réveil, aussi soudain qu’inattendu ? Les raisons ne manquent pas. D’abord, les acheteurs ne pouvaient plus repousser éternellement leur projet immobilier.
    Après quatre années de retenue, pendant lesquelles seules les ventes contraintes (divorce, mobilité professionnelle) ont alimenté le marché – moins de 700000 transactions pour la France entière en 2014 -, l’attente a soudain paru trop longue, voire impossible.
    Le mouvement a été ensuite amplifié par l’anticipation, de la part des acquéreurs, de la hausse des taux d’emprunt, annoncée depuis quelques mois et effective – mais plutôt limitée – depuis juillet. Cette perspective a incité les acheteurs à conclure le plus rapidement possible. Depuis plus d’une décennie, l’immobilier vit sous perfusion des crédits. Elle a fortement contribué à solvabiliser les ménages, souvent incapables de devenir propriétaires sans ce précieux soutien.
    La baisse des prix a enfin été un vrai élément déclencheur dans la prise de décision. Certes, ils n’ont chuté que très progressivement, décrochant davantage en province – jusqu’à 20 à 30% dans certaines villes moyennes au marché sinistré – qu’en Ile-de-France, et particulièrement à Paris (- 6% en moyenne en trois ans). Cette décrue encourage les acheteurs à pousser leur avantage et à négocier sans relâche. Une demande facilitée par l’assouplissement de l’attitude des vendeurs.