Catégorie : Crédits

  • 2019 : Des taux d’emprunt historiquement bas

    2019 : Des taux d’emprunt historiquement bas

    [cs_content][cs_element_section _id= »1″ ][cs_element_row _id= »2″ ][cs_element_column _id= »3″ ][cs_element_text _id= »4″ ][cs_element_headline _id= »5″ ][cs_element_text _id= »6″ ][cs_element_headline _id= »7″ ][cs_element_headline _id= »8″ ][cs_element_text _id= »9″ ][cs_element_headline _id= »10″ ][cs_element_text _id= »11″ ][cs_element_headline _id= »12″ ][cs_element_text _id= »13″ ][cs_element_headline _id= »14″ ][cs_element_headline _id= »15″ ][cs_element_text _id= »16″ ][cs_element_headline _id= »17″ ][cs_element_text _id= »18″ ][cs_element_headline _id= »19″ ][cs_element_text _id= »20″ ][cs_element_headline _id= »21″ ][cs_element_text _id= »22″ ][/cs_element_column][cs_element_column _id= »23″ ][cs_element_image _id= »24″ ][/cs_element_column][/cs_element_row][/cs_element_section][/cs_content][cs_content_seo]1,29%, c’est le taux d’emprunt immobilier qui a été enregistré pour le mois de mai 2019. Un record puisque les taux n’avaient jamais été aussi bas depuis la fin 2016 où les taux étaient affichés à 1,33%. Depuis fin 2015, la conjoncture est particulièrement en faveur des emprunteurs puisque les taux moyens de prêt immobilier ne cessent d’évoluer à la baisse. Pour 2019, cette tendance se confirme et, selon certains experts, les taux ne devraient pas repartir à la hausse au moins jusqu’à la fin d’année. Une situation qui incite donc à l’investissement immobilier pour de nombreux français.

    Un record enregistré en mai 2019

     
    Dans la lignée des années précédentes, les taux d’emprunt immobiliers étaient en baisse depuis le début d’année 2019. Cette fois-ci, leur niveau a atteint un record puisqu’ils ont dépassé le précédent record de 1,33% enregistré à la fin 2016. Pour le mois de mai 2019, les taux d’emprunt pratiqués sur le marché ont continué sur la même dynamique en se fixant au niveau de 1,29%. Un record en France ! Cette évolution a été enregistrée par l’Observatoire Crédit Logement CSA qui avait déjà constaté une baisse depuis le mois de février : 1,44%, 1,39% en mars, 1,35% en avril, puis 1,29% en mai. Ces taux bruts (hors frais et assurances), ont été observés en englobant l’ensemble des durées des prêts.
     

    Pourquoi les taux d’emprunt continuent de baisser ?

    Une stratégie favorable de la BCE

     
    Dans son rapport, l’Observatoire Crédit Logement CSA commente cette baisse des taux : “Pour le 12ème mois consécutif, ils sont inférieurs au rythme de l’inflation”. L’une des principales raisons de cette baisse concerne la stratégie mise en place par la Banque Centrale Européenne (BCE). Depuis 2016, la BCE a adopté une position visant à favoriser l’économie. En effet, les banques peuvent aujourd’hui emprunter auprès de la BCE à un taux 0%. Logiquement, cette condition se répercute sur les emprunteurs qui bénéficient directement de cette situation avantageuse pour les banques. Aujourd’hui, selon la durée d’emprunt, il est possible d’emprunter à des taux moyens particulièrement bas :
     

    1,02% sur une durée de 15 ans (1,21% fin 2018)
    1,20% sur une durée de 20 ans (1,41% fin 2018)
    1,42% sur une durée de 25 ans (1,63% fin 2018)

     

    Une concurrence accrue

     
    En plus de cette politique mise en place par la BCE en faveur des banques, le marché bancaire joue également un rôle dans cette baisse des taux. En effet, face à une concurrence particulièrement importante, les organismes bancaires cherchent à séduire les clients en proposant des taux toujours plus attractifs. L’émergence des banques en ligne et des néobanques comme de véritables concurrents aux banque traditionnelles vient rajouter un peu plus de compétition, un élément qui bénéficie directement aux emprunteurs.
     

    Des durées d’emprunt plus longues

     
    L’accès à la propriété est également facilité par les banques qui sont désormais plus enclines à accorder des prêts sur des durées plus longues. Les prix de l’immobilier étant en perpétuelle augmentation, et ce, de manière très spectaculaire depuis plusieurs années, l’accès à la propriété devenait compliqué. L’importante baisse des taux d’intérêts a ainsi permis de compenser, en partie, la flambée des prix de l’immobilier. Cependant, afin de supporter le coût du remboursement des mensualités, les ménages privilégient désormais des durées plus longues de remboursement.
     
    Une tendance qui se retrouve dans les chiffres, puisque selon l’Observatoire Crédit Logement CSA, la durée moyenne d’emprunt a augmenté de 19 mois depuis la fin 2017, passant de 209 à 228 mois. Aujourd’hui, les banques acceptent plus facilement les demandes d’emprunt sur de longues durées : plus de 41% des emprunteurs ont un prêt sur une durée allant de 25 à 30 ans (contre 14,4% en 2014). Le marché de l’immobilier est donc en pleine mutation et les primo-accédants n’hésitent pas à s’endetter sur de longues durées. Cela leur permet d’accéder à la propriété malgré la hausse des prix de l’immobilier tout en conservant leur pouvoir d’achat.
     

    Un accès à l’emprunt facilité et bénéfique

    Un assouplissement des conditions d’emprunt

     
    Devenir propriétaire est un objectif important pour de nombreux français, et ce, quelles que soient les catégories sociales et les niveaux de revenus. Pour répondre aux souhaits de chacun de devenir propriétaire, les banques ont donc considérablement assoupli leur conditions d’accès à l’emprunt. En effet, en plus d’accepter plus facilement les prêts sur de longues durées, les organismes de prêt ont également réduit le niveau minimum de l’apport personnel. Alors qu’il était d’environ 30% dans les années 80, les banques acceptent désormais des dossiers d’achat dans l’ancien où l’apport ne représente que 14,7%. L’assouplissement des conditions d’accès à la propriété est donc favorable à de nombreuses catégories de personnes qui ne pouvaient pas y accéder auparavant.
     

    D’importants avantages pour les meilleurs profils

     
    Selon les profils d’emprunteurs, les conditions du prêt peuvent varier et influer sur le montant des mensualités. Dans la conjoncture actuelle, l’accès à l’emprunt est désormais possible pour une clientèle plus large. Concernant les meilleurs profils, ces derniers bénéficient de conditions encore plus intéressantes grâce à des décotes conséquentes selon leurs revenus ou bien leur âge.
     

    Faut-il renégocier son taux d’emprunt ?

     
    Au vu de la conjoncture et des conditions d’emprunt, la question est légitime. En effet, la renégociation d’emprunt est un bon moyen pour réduire sensiblement le coût ou la durée de son emprunt. Le niveau historiquement bas des taux d’emprunt incite donc fortement à la renégociation. Cette incitation à renégocier son emprunt se retrouve dans l’augmentation du nombre de demandes de renégociation. Pour que cette opération soit véritablement intéressante, plusieurs conditions doivent être réunies :
     

    Durée d’emprunt : être dans le premier tiers de remboursement
    Ecart de taux : différence d’au moins 0,70 point par rapport au crédit contracté
    Montant de remboursement restant : minimum de 70 000 euros

     

    La tendance à la baisse va-t-elle continuer ?

     
    Selon la majorité des experts du secteur, la situation économique actuelle reste en faveur des emprunteurs. A l’heure actuelle, aucun signe ne laisse présager d’une augmentation des taux d’emprunt, au moins à court terme. Plusieurs experts sont même d’accord pour estimer que la conjoncture sera toujours favorable au minimum jusqu’à l’été 2020.taux d’emprunt[/cs_content_seo]

  • Quels avantages à renégocier son emprunt ?

    Quels avantages à renégocier son emprunt ?

    [cs_content][cs_element_section _id= »1″ ][cs_element_row _id= »2″ ][cs_element_column _id= »3″ ][cs_element_text _id= »4″ ][cs_element_headline _id= »5″ ][cs_element_text _id= »6″ ][cs_element_headline _id= »7″ ][cs_element_text _id= »8″ ][cs_element_headline _id= »9″ ][cs_element_headline _id= »10″ ][cs_element_text _id= »11″ ][cs_element_headline _id= »12″ ][cs_element_text _id= »13″ ][cs_element_headline _id= »14″ ][cs_element_text _id= »15″ ][cs_element_headline _id= »16″ ][cs_element_text _id= »17″ ][cs_element_headline _id= »18″ ][cs_element_text _id= »19″ ][cs_element_headline _id= »20″ ][cs_element_text _id= »21″ ][/cs_element_column][cs_element_column _id= »22″ ][cs_element_image _id= »23″ ][/cs_element_column][/cs_element_row][/cs_element_section][/cs_content]

  • Loi Bourquin : Changer d’assurance emprunteur ?

    Loi Bourquin : Changer d’assurance emprunteur ?

    [cs_content][cs_element_section _id= »1″ ][cs_element_row _id= »2″ ][cs_element_column _id= »3″ ][cs_element_text _id= »4″ ][cs_element_headline _id= »5″ ][cs_element_text _id= »6″ ][cs_element_headline _id= »7″ ][cs_element_text _id= »8″ ][cs_element_headline _id= »9″ ][cs_element_text _id= »10″ ][cs_element_headline _id= »11″ ][cs_element_text _id= »12″ ][/cs_element_column][cs_element_column _id= »13″ ][cs_element_image _id= »14″ ][/cs_element_column][/cs_element_row][/cs_element_section][/cs_content][cs_content_seo] 
    Depuis l’entrée en vigueur de la loi Bourquin, aussi appelée loi Sapin 2 et applicable depuis le 1er janvier 2018, les emprunteurs ont la possibilité de résilier leur contrat d’assurance de prêt immobilier, chaque année.
     

    La loi Bourquin permet aux emprunteurs de changer d’assurance de prêt chaque année

     
    La loi Bourquin, dont l’objectif est de donner aux emprunteurs l’opportunité réelle de choisir leur assureur de prêt y compris après la souscription de ce dernier, offre aux consommateurs la possibilité de changer de contrat plus facilement si celui de leur banque ne leur convient plus. Depuis l’entrée en vigueur de cette loi, les emprunteurs peuvent ainsi réaliser des économies sur leur assurance emprunteur en optant pour une délégation d’assurance, c’est-à-dire une autre assurance que celle proposée par leur banque.
     
    Avant la loi Bourquin, les emprunteurs avaient la possibilité de changer d’assurance emprunteur seulement durant les douze premiers mois qui suivaient la signature de leur crédit. Désormais, les consommateurs dont la souscription à un prêt date de plus d’un an ont la possibilité, à chaque date anniversaire de leur assurance emprunteur, de résilier leur contrat d’assurance emprunteur pour en souscrire un nouveau. Un préavis de deux mois devra toutefois être respecté. Les emprunteurs peuvent de cette manière changer d’assurance de prêt tout au long du remboursement du crédit. Ce nouveau contrat d’assurance emprunteur doit évidemment posséder des garanties équivalentes au contrat initial.
     

    Pourquoi est-ce intéressant de changer d’assurance de prêt ?

     
    La loi Bourquin entraîne une mise en concurrence des banques et des assurances externes, permettant aux emprunteurs de faire des économies sur leur assurance emprunteur en jouant sur cette concurrence. Jusqu’ici, près de 85 % des emprunteurs ont souscrit à l’assurance de prêt proposée par leur établissement bancaire, au lieu de faire appel à des assureurs d’emprunt externes, qui pour la plupart proposent des tarifs moins chers.
     
    En moyenne, changer d’assurance de prêt permet à un emprunteur d’économiser 6 000 euros, une somme pouvant même atteindre les 30 000 euros selon les profils. Ainsi, si vous avez moins de 40 ans, que vous êtes en bonne santé et ne fumez pas, vous avez tout intérêt à changer d’assurance de prêt, car vous réaliserez d’importantes économies. L’idéal étant de souscrire à un nouveau contrat d’assurance de prêt avant 45 ans, car la majorité des compagnies d’assurance estiment que les problèmes de santé surviennent après cet âge et il sera donc plus difficile de faire jouer la concurrence.
     
    Changer d’assureur de prêt permet également aux emprunteurs de contracter un nouveau contrat, plus adapté à leur situation personnelle actuelle. En effet, si lors de la signature du contrat d’assurance d’emprunt initial, l’emprunteur présentait un problème de santé, exerçait une profession jugée dangereuse ou bien était atteint d’une pathologie à risque, alors il est fort probable que certaines garanties supplémentaires aient été ajoutées au contrat. Des garanties qui n’ont peut-être plus lieu d’être aujourd’hui, et qui supprimées peuvent faire réaliser d’importantes économies à l’emprunteur en faisant baisser considérablement le prix de leur assurance de prêt.
     
    Peu importe le profil de l’emprunteur, ce dernier a tout intérêt à faire jouer la concurrence en changeant d’assurance de prêt. La délégation d’assurance permettant en effet d’obtenir des tarifs plus avantageux auprès d’une banque ou bien en passant par un assureur de prêts externe. Dans tous les cas, même si les gains ne sont pas d’ordre financier, changer d’assurance d’emprunt en cours de remboursement de crédit peut aussi permettre d’obtenir de meilleures garanties.
     
    Depuis l’entrée en vigueur de la loi Bourquin et la possibilité de délégation d’assurance, les banques sont prêtes à réaliser d’importants efforts financiers pour continuer à assurer les emprunts de leurs clients. En effet, le montant des cotisations pour les contrats d’assurance emprunteur représentant près de 8 milliards d’euros, l’enjeu est de taille. Certains établissements bancaires n’hésitent donc pas à baisser leurs tarifs de près de 50 % afin de s’aligner sur les prix proposés par les compagnies d’assurances externes.
     

    L’importance de l’équivalence de garanties

     
    Pour qu’une banque valide la demande de changement d’assurance de l’emprunteur, ce dernier doit proposer un nouveau contrat incluant une équivalence de garanties avec le contrat initial. La loi étant particulièrement claire à ce sujet : « le prêteur ne peut pas refuser en garantie un autre contrat d’assurance dès lors que ce contrat présente un niveau de garantie équivalent au contrat d’assurance de groupe qu’il propose. Toute décision de refus doit être motivée ».
     
    En d’autres termes, une banque à l’obligation d’accepter une demande de changement d’assurance emprunteur, dès lors que l’offre souscrite propose des garanties d’un niveau équivalent à celles définies dans le contrat initial de prêt, notamment en ce qui concerne cinq garanties légalement obligatoires :
     

    La garantie décès ;
    La garantie perte totale et irréversible d’autonomie (PTIA) ;
    La garantie incapacité temporaire totale (ITT) ;
    La garantie invalidité permanente totale (IPT) ;
    La garantie invalidité permanente partielle (IPP).

     

    Comment résilier son assurance emprunteur depuis la loi Bourquin ?

     
    Lorsqu’un emprunteur souhaite changer en cours de prêt son contrat d’assurance, on parle alors de substitution d’assurance. Une substitution d’assurance, qui ne peut se faire qu’une fois par an et à la date anniversaire de souscription du dernier contrat, doit respecter des étapes bien précises :
     

    L’emprunteur doit trouver au préalable un nouveau contrat d’assurance respectant des garanties équivalentes à celles établies par le contrat initial ;
    Il doit transmettre à sa banque ces documents ;
    L’emprunteur doit ensuite envoyer à sa banque une demande de substitution d’assurance accompagnée de la délégation du bénéfice, du certificat d’adhésion ainsi que les conditions générales de son nouveau contrat ;
    L’accord écrit de la banque doit être obtenu par l’emprunteur, sachant que les établissements bancaires sont tenus de donner leur accord sous 10 jours ouvrés et d’émettre un avenant au contrat de crédit initial ;
    L’emprunteur doit également envoyer une lettre de résiliation à son assureur de prêt actuel, au moins deux mois avant l’échéance annuelle de son contrat d’assurance de prêt. Ce dernier a 10 jours ouvrés pour résilier le contrat en cours, à compter de la date de réception du courrier.Image[/cs_content_seo]

  • Prêt immobilier : peut-on dépasser le taux d’endettement maximum de 33 % ?

    Prêt immobilier : peut-on dépasser le taux d’endettement maximum de 33 % ?

    [cs_content][cs_element_section _id= »1″ ][cs_element_row _id= »2″ ][cs_element_column _id= »3″ ][cs_element_text _id= »4″ ][cs_element_headline _id= »5″ ][cs_element_text _id= »6″ ][cs_element_headline _id= »7″ ][cs_element_text _id= »8″ ][cs_element_headline _id= »9″ ][cs_element_text _id= »10″ ][cs_element_headline _id= »11″ ][cs_element_text _id= »12″ ][cs_element_headline _id= »13″ ][cs_element_text _id= »14″ ][/cs_element_column][cs_element_column _id= »15″ ][cs_element_image _id= »16″ ][/cs_element_column][/cs_element_row][/cs_element_section][/cs_content][cs_content_seo]Lorsque l’on souhaite souscrire à un prêt immobilier, le critère d’analyse de risque le plus important est l’endettement. Pour le définir, les banques étudient surtout le “reste à vivre”. Si celui-ci est suffisant, alors le taux d’endettement maximum de 33% peut être dépassé, bien qu’il soit souvent considéré comme un maximum à respecter pour le confort des ménages. Pour définir ce fameux taux, les établissements bancaires étudient les revenus des emprunteurs.
     

    De quelle manière sont calculés les revenus ?

     
    Pour établir votre taux d’endettement, les banques se basent sur vos revenus. Que comprennent-ils ?
     

    Les salaires sont bien évidemment pris en compte en premier lieu, à savoir le salaire net imposable. Les primes sont également prises en compte dans les revenus, dès lors qu’elles sont dites acquises comme la prime de 13e mois ou celle de Noël. En revanche, les primes d’intéressement ou de participation n’entrent pas dans ce calcul.
    Les avantages en nature offerts par votre société, tels que les tickets restaurant ou bien les chèques vacances peuvent également être pris en compte par les banques si par exemple votre ratio d’endettement se situe très légèrement au-dessus des 33% habituels.
    Les revenus locatifs sont aussi pris en compte, bien qu’ils n’aient pas la même importance que les salaires. Aux loyers bruts, il faudra déduire les charges incombant aux propriétaires, la taxe foncière ainsi que les mensualités du prêt.
    Les allocations familiales versées par la CAF peuvent également être prises en compte par les banques en fonction de l’âge des enfants à charge. Si un enfant avoisine la majorité, alors les établissements bancaires ne tiendront pas compte des aides qui lui sont allouées, puisqu’elles s’arrêteront dans quelques mois. En revanche, si vos enfants sont en bas âge, la totalité des allocations sera retenue.
    D’autres revenus à caractère incertain sont aussi pris en compte dans ce calcul, comme les pensions d’invalidité ou de réversion.

     

    Pourquoi retient-on majoritairement un taux d’endettement maximum de 33% ?

     
    Les services d’analyse de risque des banques se basent avant tout sur le taux de 33%, car celui-ci définit un reste à vivre confortable pour les ménages, qui ne sont alors pas obligés de se priver en réduisant, par exemple, les dépenses consacrées aux loisirs, voire à l’alimentation. Ainsi, un couple d’emprunteurs gagnant à deux 3 000 euros de revenus mensuels net se verra accorder approximativement une mensualité maximum de 1 000 euros de remboursement. Un calcul qui se base sur la fameuse règle des 33 % d’endettement, un taux correspondant au rapport entre les charges d’emprunt et les revenus nets d’un ménage.
     
    Ce taux d’endettement maximum de 33%, qui figure d’ailleurs sur les simulations de crédit immobilier que fournissent les banques, s’est imposé dans l’esprit des emprunteurs comme la règle d’or lorsque l’on souhaite obtenir un crédit immobilier. Est-il cependant possible d’y déroger et si oui, de quelle manière ?
     
    En réalité, l’ACPR (l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution, intégrée à la Banque de France) fait savoir qu’il n’existe pas de seuil réglementaire en termes d’emprunt, toutefois, les établissements financiers français sont dans l’obligation de veiller à ce que le taux d’endettement de leurs clients soit raisonnable compte tenu de leurs revenus et de leur patrimoine. Les établissements mettent donc en place leurs propres règles permettant d’allouer des crédits, définies en réalité sur la capacité de remboursement réelle, précise l’ACPR. La Fédération bancaire française (FBF) stipule également que ce taux de 33% n’est pas une norme professionnelle, mais davantage une référence destinée à être comprise facilement par le grand public puisqu’il correspond à la majorité des cas.
     

    Plus les emprunteurs présentent des revenus modestes, plus le taux de 33% est respecté

     
    Si les banques ne se basent pas forcément toutes sur ce taux précis de 33% d’endettement, elles définissent donc selon leurs propres critères un taux d’endettement acceptable en fonction du profil de chaque ménage et par rapport à son reste à vivre, au cas par cas. Ce taux de 33% s’applique dans la majorité des cas aux primo-accédants ou aux ménages justifiant de revenus modestes ou moyens. Plus les emprunteurs perçoivent des revenus faibles, plus cette règle est respectée. En effet, une personne gagnant 1 500 euros par mois a tout intérêt à ne pas dépasser 30% d’endettement immobilier, car il ne lui resterait alors pas assez pour les autres postes de dépense. Dans ce cas précis, monter jusqu’à 33% d’endettement ne serait pas raisonnable, car cela rajouterait près de 500 euros de mensualité, une somme trop lourde à supporter pour ce salaire. Les banques préféreront ainsi ne pas dépasser le fameux taux de 33%, mais jouer sur la durée de remboursement du prêt pour permettre l’emprunt d’une somme plus importante.
     
    De manière générale, les particuliers ne cherchent pas à s’endetter outre mesure lorsqu’ils souscrivent à un prêt immobilier, mais au contraire, à réduire les mensualités au maximum de manière à pouvoir obtenir la somme souhaitée tout en étant dans la capacité de la rembourser sans difficulté. L’ACPR rapporte ainsi qu’en 2017, le “taux d’effort moyen” soutenu par les ménages emprunteurs était de 29,7%.
     

    Qui peut emprunter au-delà du taux d’endettement maximum ?

     
    Toutefois, près d’un quart des emprunteurs font le choix de porter leur taux d’endettement immobilier au-delà de 35% de revenus. Quel est le profil de ces ménages pour lesquels les banques acceptent d’outrepasser la règle commune des 33% ? Il s’agit notamment de fonctionnaires ou bien de salariés du privé dont les salaires sont amenés à augmenter régulièrement et de ménages dont les revenus sont très confortables. Dans tous les cas, les banques examinent le profil de chaque emprunteur de manière distincte afin de déterminer le taux d’endettement possible. Certains établissements bancaires ne raisonnent qu’en “reste à vivre” dès lors que les revenus du ménage sont confortables, tandis que d’autres demeurent strictes sur le fameux 33%.
     

    Ce que vous pouvez faire si vous souhaitez dépasser 33% d’endettement

     
    Si vous ne faites pas partie des profils d’emprunteurs avec lesquels les banques se montrent plus flexibles quant au taux d’endettement, mais que le montant de l’emprunt proposé ne vous satisfait pas, alors vous serez sans doute amené à modifier certaines variables de votre financement, notamment :
     

    Allonger la durée de votre prêt : en revoyant votre plan de financement sur une durée supérieure, le coût du crédit sera certes plus important, mais vous pourrez réaliser votre projet immobilier.
    Lisser le prêt principal : en optant pour des prêts bonifiés permettant de bénéficier de taux attractifs, vous pourrez lisser votre prêt principal ce qui aura pour effet de diminuer la mensualité globale jusqu’au terme prévu pour des emprunts courts. C’est notamment le cas pour le prêt Action-logement et les prêts CEL et PEL.
    Tenter de solder les prêts à la consommation : il se peut que vous dépassiez le taux d’endettement maximum parce que vous devez également rembourser un ou plusieurs crédits à la consommation. Dans ce cas, mieux vaut essayer de solder l’un de ces prêts en vous tournant, par exemple, vers une aide familiale que vous pourrez rembourser à votre rythme, ou bien demander à votre banque de lisser le prêt principal en attendant d’avoir remboursé l’intégralité de vos prêts à la consommation. À noter que seules certaines banques acceptent de lisser les prêts à la consommation.taux d'endettement maximum[/cs_content_seo]

  • Peut-on emprunter sans apport ?

    Peut-on emprunter sans apport ?

    [cs_content][cs_element_section _id= »1″ ][cs_element_row _id= »2″ ][cs_element_column _id= »3″ ][cs_element_text _id= »4″ ][cs_content_seo]Lors d’un achat immobilier avec emprunt auprès d’une banque, la question de l’apport personnel se retrouve rapidement au cœur de tout projet. Cette somme d’argent, que l’emprunteur investit en complément de l’emprunt immobilier, permet de payer une partie du futur bien ou tout au moins les frais de notaire. Avant de vous lancer dans un achat immobilier avec demande de crédit, il vous faut donc vous assurer du montant de la somme dont vous disposez pour cet apport. Alors, peut-on emprunter sans apport ?
     \n\n[/cs_content_seo][cs_element_headline _id= »5″ ][cs_content_seo]Est-il possible de faire un prêt immobilier sans apport personnel ?\n\n[/cs_content_seo][cs_element_text _id= »6″ ][cs_content_seo] 
    Oui c’est possible, si vous avez un dossier béton, mais il n’est pas rare d’entendre dire que la réussite d’une demande de crédit immobilier tient avant tout à la capacité d’un emprunteur à apporter un apport personnel. Ce montant, exprimé bien souvent en pourcentage de la somme globale, permet en effet à une banque d’évaluer le risque pris en vous prêtant de l’argent. Il est par exemple vrai qu’un banquier qui aura à traiter une demande d’ouverture de crédit immobilier pour une personne pouvant apporter 20% d’apport personnel (soit 40.000 euros s’il souhaite acquérir un bien à 200.000 euros) sera plus enclin à accepter. Pourquoi ?
     

    Tout d’abord parce-que cela prouve votre capacité à mettre de l’argent de côté et donc votre aptitude à rembourser un prêt en temps et en heure. C’est ce qui s’appelle la capacité d’épargne, considérée par une banque comme votre future capacité de remboursement.
    C’est également particulièrement rassurant pour le banquier, qui y voit là un signe positif quant à votre manière de gérer vos revenus. Le taux d’emprunt que vous proposera alors la banque sera meilleur car votre profil d’emprunteur sera considéré comme moins risqué.
    Plus vous serez en mesure d’investir de l’argent personnel dans votre projet immobilier, meilleures seront les conditions d’emprunt consenties par la banque : réponse plus rapide, taux plus avantageux, frais de dossiers réduits, etc.

     \n\n[/cs_content_seo][cs_element_headline _id= »7″ ][cs_content_seo]Quelle somme pour un bon apport personnel ? \n\n[/cs_content_seo][cs_element_text _id= »8″ ][cs_content_seo] 
    En France, il n’existe aucune loi fixant l’apport minimal dont un emprunteur doit disposer pour déposer une demande de crédit auprès d’un établissement bancaire. Vous pouvez donc proposer une somme variant de 0% à 99% de la somme globale que vous souhaitez emprunter. Toutefois, il s’agit là de la théorie, puisqu’en pratique, les banques sont nombreuses à demander qu’une opération soit financée à hauteur d’au moins 10% par l’apport personnel. Ainsi, s’il s’agit d’un premier achat immobilier en tant que résidence principale, appartement comme maison, ou bien si vous souhaitez mettre directement en location ce bien nouvellement acquis dans un secteur judicieux, cela devrait amplement suffire. Toutefois, si votre objectif est avant tout d’obtenir les meilleures conditions d’emprunt possible, notamment un bon taux, alors un apport situé entre 20 et 30% du prix d’achat du bien immobilier convoité est fortement recommandé.
     
    À noter également que l’apport personnel attendu par les établissements bancaires lors d’un emprunt immobilier varie selon les profils d’emprunteurs. Ainsi, une personne seule ou bien un couple dont les revenus sont issus d’emplois en CDD ou bien en intérim ont tout intérêt à posséder un apport personnel de 30% pour obtenir de bonnes conditions d’emprunt. Un couple dont l’un est en CDI et l’autre en Intérim ou CDD devrait pouvoir investir 20% d’apport personnel, alors que l’apport personnel conseillé pour un couple dont les deux conjoints sont en CDI est de l’ordre de 10%. Un couple de fonctionnaires, âgés par exemple de 40 ans et souhaitant acquérir leur première résidence principale pourra même se passer d’apport personnel, cela ne l’empêchera pas d’obtenir, selon son profil bancaire bien sûr, un crédit immobilier.
     \n\n[/cs_content_seo][cs_element_headline _id= »9″ ][cs_content_seo]Comment se constituer un apport personnel ?\n\n[/cs_content_seo][cs_element_text _id= »10″ ][cs_content_seo] 
    Un apport personnel peut être issu d’un ou plusieurs types d’économies, à savoir un livret A (épargne préférée des Français), une assurance-vie, un plan d’épargne logement, etc. Cet apport personnel peut également provenir d’un héritage, d’une donation, d’un prêt familial ou bien de la vente d’un autre bien immobilier. Il est également possible d’avoir recours à certains prêts à coûts réduits ou bien d’autres dispositifs appelés des prêts complémentaires, afin de présenter un meilleur dossier aux banques. Par exemple :
     

    Le PTZ + (prêt à taux zéro), accordé dans certaines conditions aux primo-accédants.
    Des “petits prêts”, tels que les prêts consentis par les Caisses d’Allocations Familiales et autres prêts départementaux ou régionaux.
    Certaines entreprises de plus de 50 salariés proposent ce que l’on appelle des participations anticipées aux bénéfices de la société (valables uniquement en cas d’acquisition d’une résidence principale).

     \n\n[/cs_content_seo][cs_element_headline _id= »11″ ][cs_content_seo]Peut on emprunter sans apport personnel ? \n\n[/cs_content_seo][cs_element_text _id= »12″ ][cs_content_seo] 
    Si un apport personnel conséquent permet d’obtenir des conditions d’emprunt favorables, il est toutefois possible d’obtenir un crédit immobilier sans apport personnel, mais en finançant au minimum les frais annexes tels que les frais de notaire, les frais de garantie et les frais de dossier. Certains établissements bancaires acceptent de financer ces emprunts à 100%, à condition toutefois que l’emprunteur réponde à un certain nombre de critères. En effet, avant de demander l’ouverture d’un prêt sans apport personnel, il est fortement conseillé d’être en mesure de se constituer un dossier solide pour pouvoir apporter à l’établissement prêteur des garanties fiables, car les banquiers sont frileux avec ce type de profil d’emprunteur.
     
    Afin d’étudier votre demande, la banque étudiera notamment le montant de vos revenus, mais également votre capacité d’épargne et votre aptitude à gérer convenablement vos comptes (pas ou très peu de découverts). Votre historique d’endettement sera ainsi évalué ainsi que votre situation professionnelle. Si vous êtes en couple et demandez un crédit immobilier ensemble, ayez en tête que ces critères seront analysés pour les deux emprunteurs. La banque vérifiera également la localisation du bien immobilier convoité, car en cas de manquement au remboursement du prêt, l’établissement bancaire sera habilité à se rembourser sur la vente de ce bien qui sera alors saisi. Ainsi, plus le logement est bien situé, plus il constitue pour la banque une garantie supplémentaire, puisqu’il résistera convenablement à une éventuelle baisse des prix.
    En conclusion, même si cela demeure compliqué d’obtenir un prêt immobilier sans apport personnel, il est toutefois possible d’y parvenir en finançant tout de même les frais annexes, mais votre historique bancaire et votre situation professionnelle devront être irréprochables. Gardez également en tête que le taux d’intérêt sera forcément plus élevé en cas d’emprunt immobilier sans apport personnel. \n\n[/cs_content_seo][/cs_element_column][cs_element_column _id= »13″ ][cs_element_image _id= »14″ ][/cs_element_column][/cs_element_row][/cs_element_section][/cs_content]

  • Primo accédants : pourquoi faire appel à un courtier immobilier ?

    Primo accédants : pourquoi faire appel à un courtier immobilier ?

    [cs_content][cs_element_section _id= »1″ ][cs_element_row _id= »2″ ][cs_element_column _id= »3″ ][cs_element_text _id= »4″ ][cs_element_headline _id= »5″ ][cs_element_text _id= »6″ ][cs_element_headline _id= »7″ ][cs_element_headline _id= »8″ ][cs_element_text _id= »9″ ][cs_element_text _id= »10″ ][/cs_element_column][cs_element_column _id= »11″ ][cs_element_image _id= »12″ ][/cs_element_column][/cs_element_row][/cs_element_section][/cs_content][cs_content_seo]Accéder à la propriété en achetant son premier logement est une étape particulièrement importante pour beaucoup de Français. Devenir propriétaire comporte en effet bien des avantages. L’une des principales motivations demeurant le fait de commencer à se constituer un patrimoine immobilier, le plus tôt possible étant le mieux.
     
    Devenir propriétaire permet également de disposer davantage de liberté dans la jouissance de son logement (pour ce qui est des travaux notamment), ainsi que la sérénité de pouvoir conserver son habitation de manière pérenne. Toutefois, être propriétaire implique également quelques inconvénients qu’il est important de garder en tête, d’autant plus lorsque l’on s’apprête à le devenir pour la première fois. Ainsi, il vous faudra être en mesure de rembourser les mensualités d’un crédit immobilier pendant plusieurs décennies et vous acquitter de la taxe foncière et d’autres dépenses liées à votre logement et sa copropriété. Toutefois, accéder à la propriété plutôt que demeurer locataire s’avère nettement plus avantageux sur le long terme.

    Devenir primo accédants : est-ce le bon moment ?

     
    Lorsqu’il s’agit d’acquérir un premier logement, de nombreux ménages se questionnent quant à la conjoncture économique et la bonne santé du marché immobilier. Si 2017 a battu un record en matière de transactions immobilières (958.000 ventes, un chiffre en augmentation de 10% par rapport à 2016), 2018 demeure une bonne année pour investir dans la pierre. En ce qui concerne les prix de l’immobilier, la tendance est à la hausse, mais avec modération. Cette légère hausse des prix est à mettre en parallèle avec les taux de crédit immobilier qui demeurent encore très avantageux en restant sous la barre des 2%. Il est toutefois à noter que les banques, dont le souhait est de demeurer compétitives, n’augmentent pas leurs tarifs, mais se réservent le droit d’accorder de meilleures conditions d’emprunt aux excellents dossiers.
     
    Pour parvenir à devenir propriétaire, il est donc très important de bien préparer son dossier de demande de crédit immobilier, en particulier si l’on est primo accédant. Or, lorsqu’il s’agit du premier achat immobilier, beaucoup de ménages commettent des erreurs qu’il aurait été possible d’éviter en étant accompagné. Le rôle primordial du courtier immobilier dans l’acquisition d’un premier logement permet de faire toute la différence.

    Qu’est-ce qu’un courtier immobilier et pourquoi faire appel à son expertise ?

    Le Prêt à Taux Zéro pour les primo accédants

     
    Les primo accédants, qui comme leur nom l’indique accèdent pour la première fois à la propriété, réalisent donc leur premier achat immobilier. À noter que les ménages qui n’ont pas été propriétaires d’une résidence principale ces deux dernières années sont également considérés comme primo accédants, tout comme ceux qui sont locataires de leur résidence principale, mais possèdent toutefois une résidence secondaire en investissement locatif. Cette définition est particulièrement importante puisque les primo accédants ont accès de par leur statut au Prêt à Taux Zéro (PTZ), à savoir un prêt sans intérêts ni même frais de dossier.
     
    Le PTZ, à l’origine conçu pour inciter les primo accédants à acquérir un logement neuf, est depuis 2015 ouvert à l’achat de logements anciens qui nécessitent des travaux de réhabilitation. Pour pouvoir profiter du Prêt à Taux Zéro, certaines conditions de revenus sont demandées selon la composition du foyer, tout comme une exigence en termes de lieu de résidence. Le courtier immobilier est en mesure de vous accompagner dans la constitution de votre demande de PTZ. Il saura également vous renseigner sur les autres types d’aides et de prêts qui facilitent l’accès à la propriété pour les primo accédants, citons entre autres : le prêt conventionné, le prêt à l’accession sociale et le prêt action logement.

     
    Le courtier en prêt immobilier est par définition l’intermédiaire entre vous, ménage qui souhaitez acquérir un logement pour la première fois ou non, et les banques, qui sont en mesure de vous proposer divers crédits immobiliers. De ce fait, le courtier immobilier connaît parfaitement les différentes offres des banques et ce qu’elles attendent en matière de dossier, afin que le vôtre soit accepté, et ce dans les meilleures conditions d’emprunt. Faire appel à un courtier immobilier vous permet donc d’avoir accès aux taux les plus compétitifs en termes de crédit immobilier, mais également à des conditions d’emprunt nettement plus avantageuses (nombre de mensualités, assurance crédit, etc). De plus, le courtier en prêt immobilier s’occupant personnellement de faire les démarches nécessaires auprès des divers organismes bancaires, vous gagnez un temps précieux pour vous concentrer sur l’essentiel : trouver le bien immobilier qui comblera vos attentes.
     
    Outre son rôle essentiel d’intermédiaire avec les banques, le courtier en prêt immobilier possède une véritable expertise en matière d’acquisition de patrimoine. Son rôle ne s’arrête pas à la négociation, puisqu’il accompagne les ménages tout au long du processus d’achat, leur délivrant de précieux conseils quant aux aides dont ils peuvent bénéficier. Être accompagné par un courtier immobilier permet ainsi aux futurs propriétaires d’y voir plus clair dans le mécanisme complexe que représente un prêt bancaire.
     
    De plus, le courtier immobilier, de par son rôle d’apporteur d’affaires auprès des organismes bancaires, est en mesure de négocier pour votre dossier des taux d’emprunts préférentiels estimés à environ 0,25% en dessous des conditions obtenues par le grand public. Il est également en mesure de négocier la suppression d’éventuelles pénalités en cas de remboursement de crédit anticipé. Depuis la loi Lagarde, votée en 2010, le courtier en prêt immobilier est aussi capable de faire jouer la concurrence entre les différentes banques en ce qui concerne l’assurance de votre crédit.
     
    En effet, vous n’êtes pas obligé de souscrire une assurance et un emprunt immobilier dans un seul et même établissement bancaire. En faisant appel à une seconde banque pour souscrire une assurance de prêt immobilier, vous pouvez obtenir un rabais de l’ordre de 60%, ce qui est loin d’être négligeable surtout lorsque l’on est primo accédant. Pour finir, faire appel à un courtier immobilier permet d’obtenir des délais de traitement de dossier plus courts, pour enfin pouvoir acquérir le logement souhaité dans les meilleurs délais.
     
    Les primo accédants, tout comme les propriétaires souhaitant acquérir un nouveau bien immobilier, l’auront bien compris : être accompagné par un courtier immobilier ne comporte que des avantages. Pour ce qui est d’une première acquisition immobilière, le rôle du courtier sera particulièrement apprécié en ce qui concerne la constitution du dossier et les différentes aides qu’il est possible d’obtenir, notamment le Prêt à Taux Zéro.primo accedants courtier lyon[/cs_content_seo]

  • Crédit immobilier pour retraité

    Crédit immobilier pour retraité

    [cs_content][cs_element_section _id= »1″ ][cs_element_row _id= »2″ ][cs_element_column _id= »3″ ][cs_element_headline _id= »4″ ][cs_element_text _id= »5″ ][cs_element_headline _id= »6″ ][cs_element_text _id= »7″ ][/cs_element_column][cs_element_column _id= »8″ ][cs_element_image _id= »9″ ][/cs_element_column][/cs_element_row][/cs_element_section][/cs_content][cs_content_seo]Un apport conséquent

    Les emprunteurs à la retraite possèdent généralement un apport conséquent et peuvent donc souscrire un crédit immobilier pour retraité après 60 ans.
    Cependant les taux d’emprunts actuellement très bas, valent le coup de prendre un crédit immobilier plutôt que de dépenser son épargne dans un achat. Pour cela, il vaut donc mieux prévoir un achat immobilier avant de partir à la retraite.

    Les banques apprécient… mais pas les assureurs

    Il faut savoir que les banques aiment que les emprunteurs retraités prennent un crédit. Elles sont gagnantes sur le plan financement puisque généralement les retraités empruntent sur 15 ans, sont souvent déjà propriétaire et possèdent de l’épargne.Mais il faut également prendre en compte les assurances accompagnants le prêt. Avec l’âge il est estimé que des problèmes de santé peuvent apparaitre et les assurances vont jusqu’à doubler les taux par rapport à une personne d’environ 50 ans.Par ailleurs, l’achat d’un bien immobilier peut être une stratégie successorale car en cas de décès, le bien immobilier est remboursé intégralement par l’assurance et transmis aux ayants droits.Crédit immobilier pour retraité[/cs_content_seo]

  • Les frais de dossier d’un crédit immobilier

    Les frais de dossier d’un crédit immobilier

    [cs_content][cs_element_section _id= »1″][cs_element_row _id= »2″][cs_element_column _id= »3″][cs_element_headline _id= »4″][cs_element_text _id= »5″][cs_element_headline _id= »6″][cs_element_text _id= »7″][/cs_element_column][cs_element_column _id= »8″][cs_element_image _id= »9″][/cs_element_column][/cs_element_row][/cs_element_section][/cs_content]

  • Les Taux du 1er Trimestre 2018.

    Les Taux du 1er Trimestre 2018.

    [cs_content][cs_element_section _id= »1″][cs_element_row _id= »2″][cs_element_column _id= »3″][cs_element_text _id= »4″][/cs_element_column][cs_element_column _id= »5″][cs_element_image _id= »6″][/cs_element_column][/cs_element_row][/cs_element_section][/cs_content]

  • Prêt à taux zéro Primo Accédant : Comment en profiter ?

    Prêt à taux zéro Primo Accédant : Comment en profiter ?

    [cs_content][cs_element_section _id= »1″ ][cs_element_row _id= »2″ ][cs_element_column _id= »3″ ][cs_element_text _id= »4″ ][cs_element_headline _id= »5″ ][cs_element_text _id= »6″ ][cs_element_headline _id= »7″ ][cs_element_text _id= »8″ ][cs_element_headline _id= »9″ ][cs_element_text _id= »10″ ][/cs_element_column][cs_element_column _id= »11″ ][cs_element_image _id= »12″ ][/cs_element_column][/cs_element_row][/cs_element_section][/cs_content][cs_content_seo]Les taux sont toujours bas à ce jour, cependant toute économie est la bienvenue quand il s’agit d’acheter son premier bien immobilier. Le Prêt à taux zéro : Primo Accédant (PTZ) est un succès depuis quelques années qui permet aux primo accédant un financement valorisant.
    Il permet de financer une partie de l’acquisition du logement à condition de n’avoir jamais été propriétaire auparavant. Il existe plusieurs financements possibles :

    1. Achat d’un logement neuf

    Les conditions de remboursement varient en fonction des ressources de l’emprunteur, de la localisation du bien, et du nombre de personnes à charge. Il faut savoir que le remboursement peut être différé de 5 à 15 ans selon la durée du prêt ainsi que les revenus de l’emprunteur.

    2. Achat d’un logement ancien

    Pour l’achat d’un logement neuf, le PTZ peut atteindre 40 % du coût de votre acquisition uniquement dans les zones dites « tendues » soit A et B1. Il ne couvre que 20 % pour les zones « non tendues », B2 et C.

    3. Les conditions du prêt à taux zéro : Primo Accédant

    L’achat d’un logement ancien, n’impact pas le PTZ de la même manière que le neuf. En effet, depuis le 1 er Janvier 2018, les acquisitions de biens anciens doivent se trouver dans les zones « non tendues » donc B2 et C. Il s’agit de zones n’ayant pas de déséquilibre entre l’offre et la demande. Pour l’acquisition d’un logement ancien à rénover, le PTZ peut atteindre 40 % du coût de l’opération. La prise en compte intervient également pour les travaux permettant de réaliser des économies d’énergie.Primo accédant : prêt à taux zéro[/cs_content_seo]